Le concert de réactions né de la tentative de corruption de l’ex Représentant résident du Fonds monétaire international (Fmi) n’est pas prêt de s’estomper. L’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustapha Niasse vient d’y mêler sa voix pour crier son indignation de ce qui est convenu d’appeler "l’affaire Segura".
Dans le communiqué de Bureau politique, les camarades de MOustapha Niasse soutiennent que « "l’affaire Segura" a mis à nu la face hideuse du régime de Me Wade, qui enfile le manteau de la démocratie pour mieux dérouler son projet de construction d’une dictature sournoise, mais anachronique et violente, comme toutes ses sœurs jumelles en Afrique : violence à l’état brut, violence de l’injustice, violence de l’impunité, violence de la corruption avec ses conséquences dramatiques sur l’économie et sur le champ social, violence du mensonge au profit d’un clan, violence du mépris à l’endroit du peuple souverain ».
Mais ce qui outrent les progressistes, c’est le fait que le Fmi change apporte une nouvelle disposition à son Code éthique à cause de cette tentative de corruption. « Les tenants du pouvoir viennent d’entrer dans les annales noires de l’histoire universelle en provoquant, suite à l’affaire Segura, une nouvelle réglementation que vient d’adopter le Fmi, pour protéger ses fonctionnaires contre la tentation, à l’occasion des tête-à-tête avec des chefs d’Etat », a fait savoir l’Afp qui ajoute cependant qu’« il est illusoire de compter sur la convocation de la Haute cour de justice, étant donné qu’aujourd’hui, notre république ne l’est que de façade, avec une Assemblée nationale illégitime et aux ordres ».
C’est pourquoi, les progressistes estiment qu’il « appartient donc au peuple, dans ses différents segments de s’organiser, pour prendre ses responsabilités, en luttant activement, pour chasser Me Wade et ses affidés du pouvoir et mettre fin ainsi à la longue nuit cauchemardesque qui dure depuis bientôt dix ans ».
- Par Nettali -
Dans le communiqué de Bureau politique, les camarades de MOustapha Niasse soutiennent que « "l’affaire Segura" a mis à nu la face hideuse du régime de Me Wade, qui enfile le manteau de la démocratie pour mieux dérouler son projet de construction d’une dictature sournoise, mais anachronique et violente, comme toutes ses sœurs jumelles en Afrique : violence à l’état brut, violence de l’injustice, violence de l’impunité, violence de la corruption avec ses conséquences dramatiques sur l’économie et sur le champ social, violence du mensonge au profit d’un clan, violence du mépris à l’endroit du peuple souverain ».
Mais ce qui outrent les progressistes, c’est le fait que le Fmi change apporte une nouvelle disposition à son Code éthique à cause de cette tentative de corruption. « Les tenants du pouvoir viennent d’entrer dans les annales noires de l’histoire universelle en provoquant, suite à l’affaire Segura, une nouvelle réglementation que vient d’adopter le Fmi, pour protéger ses fonctionnaires contre la tentation, à l’occasion des tête-à-tête avec des chefs d’Etat », a fait savoir l’Afp qui ajoute cependant qu’« il est illusoire de compter sur la convocation de la Haute cour de justice, étant donné qu’aujourd’hui, notre république ne l’est que de façade, avec une Assemblée nationale illégitime et aux ordres ».
C’est pourquoi, les progressistes estiment qu’il « appartient donc au peuple, dans ses différents segments de s’organiser, pour prendre ses responsabilités, en luttant activement, pour chasser Me Wade et ses affidés du pouvoir et mettre fin ainsi à la longue nuit cauchemardesque qui dure depuis bientôt dix ans ».
- Par Nettali -