Cette tournée qui s’effectuera sur un programme articulé en quatre points sera supervisée par son frère cadet El Béchir NIASSE :
• Urgence Absolue
Nourriture, habillements, médicaments. Il y aura aussi des Points Resto Mame Khalifa NIASSE, « KHETALY » pour une période étalée sur 30 jours. Avec une distribution d’habillements, achat d’ordonnance et de médicaments
• Logements provisoires
Location de locaux non inondables pour abriter des familles pendant six mois. Don de parcelles non inondables à Niagues Niasséne
• Solution durable
Financement pour l’achat de machines-outils afin de lutter contre le chômage des jeunes, des femmes et, même, des retraités. Ces machines pourront confectionner des boutons, des fermetures, des lames à raser, des chaussettes, des épingles et des aiguilles.
• Solution définitive
M. NIASSE conseille au gouvernement de mettre en place un projet de fleuve artificiel. Sous la forme de plusieurs cercles concentriques constitués par des canaux déversant, chacun d’eux, les surplus d’eau dans des lacs artificiels interconnectés. Pour desservir un réseau d’irrigation au profit de la culture maraîchère.
Ainsi, un million de tonnes pourraient être produits, permettant, par là même, la création, en aval, de dizaines de PME et PMI.
Ce projet pourrait coûter 1000 milliards de C.F.A sur cinq ans.
Le projet en question peut inclure des volets Recasements et la création de postes de police permanents dans les zones non édificandi.
Par ailleurs, M. NIASSE demande au gouvernement de retourner le chèque de 300 millions remis par Aguibou Soumaré par prélèvement sur les fonds communautaires de l’UEMOA. En effet il s’agit beaucoup plus d’un nouvel acte d’allégeance que d’autre chose. Car plusieurs pays membres de la communauté se trouvent avec des sinistres localisés. Donner la priorité à quelques quartiers de Dakar au détriment des sinistrés sous l’état de guerre, notamment au Mali, est un acte qui n’est ni patriotique, ni responsable.
Le gouvernement doit faire gérer les zones inondées habitées par l’Armée. Il doit aussi les déclarer « Zones Sinistrées » pour permettre, ainsi, à l’aide extérieure de leur parvenir.
• Urgence Absolue
Nourriture, habillements, médicaments. Il y aura aussi des Points Resto Mame Khalifa NIASSE, « KHETALY » pour une période étalée sur 30 jours. Avec une distribution d’habillements, achat d’ordonnance et de médicaments
• Logements provisoires
Location de locaux non inondables pour abriter des familles pendant six mois. Don de parcelles non inondables à Niagues Niasséne
• Solution durable
Financement pour l’achat de machines-outils afin de lutter contre le chômage des jeunes, des femmes et, même, des retraités. Ces machines pourront confectionner des boutons, des fermetures, des lames à raser, des chaussettes, des épingles et des aiguilles.
• Solution définitive
M. NIASSE conseille au gouvernement de mettre en place un projet de fleuve artificiel. Sous la forme de plusieurs cercles concentriques constitués par des canaux déversant, chacun d’eux, les surplus d’eau dans des lacs artificiels interconnectés. Pour desservir un réseau d’irrigation au profit de la culture maraîchère.
Ainsi, un million de tonnes pourraient être produits, permettant, par là même, la création, en aval, de dizaines de PME et PMI.
Ce projet pourrait coûter 1000 milliards de C.F.A sur cinq ans.
Le projet en question peut inclure des volets Recasements et la création de postes de police permanents dans les zones non édificandi.
Par ailleurs, M. NIASSE demande au gouvernement de retourner le chèque de 300 millions remis par Aguibou Soumaré par prélèvement sur les fonds communautaires de l’UEMOA. En effet il s’agit beaucoup plus d’un nouvel acte d’allégeance que d’autre chose. Car plusieurs pays membres de la communauté se trouvent avec des sinistres localisés. Donner la priorité à quelques quartiers de Dakar au détriment des sinistrés sous l’état de guerre, notamment au Mali, est un acte qui n’est ni patriotique, ni responsable.
Le gouvernement doit faire gérer les zones inondées habitées par l’Armée. Il doit aussi les déclarer « Zones Sinistrées » pour permettre, ainsi, à l’aide extérieure de leur parvenir.