Les délégués du personnel de Teranga Sûreté Aéroportuaire ont tenu un point de presse ce Mercredi 21. Ils ont fait part des nombreuses difficultés rencontrées par le personnel de la boîte. Occasion pour eux d’interpeller le Premier ministre Ousmane Sonko.
Pour mémoire, ces derniers avaient observé, il y’a quatre mois, un mouvement d’humeur. Et c’était sur demande de leur ministre de tutelle El Malick NDIAYE que les cinq cents agents de la TSA avaient tous cessé les ports de brassards rouges. « La direction générale fait sourde oreille et n’entend pas respecter ses propres engagements, ni l’accord d’établissement qui nous régit tous. Nous avons envoyé plusieurs lettres aux différentes structures étatiques de l’AIBD et même au ministère des transports pour leur faire part de nos situations. Mais les difficultés perdurent et les agents souffrent de tous les maux.
Et, le comble est que depuis qu’on a tenu notre dernier mouvement d’humeur, les sanctions contre les agents ont multiplié. Moi-même j’ai reçu une demande d’explication suite à une question posée lors d’une réunion syndicale. Pour vous montrer que la situation est grave et que le ministre en charge du transport aérien doit se saisir directement de cette affaire », a fait savoir Mouhamed Faye, un des délégués.
Magueye Sy a, pour sa part, rappelé « les conditions précaires » dans lesquelles ils évoluent au sein de la plateforme aéroportuaire. Sans compter les revenus mensuels jugés très en deçà des normes et réalités du milieu. « Nous sommes pressés comme du citron et abandonnés à notre sort en cas d’incapacité de travail » , dénonce-t-il.
Mbaye Diagne Diaw, lui aussi délégué du personnel a tenu à attirer l’attention du ministère des Transports sur les « pratiques trompeuses de la hiérarchie qui n’hésite pas à envoyer des faux procès verbaux pour justifier sa forfaiture. D’ailleurs certains ont rapporté auprès du ministre que ceux qui s’activent sont des politiciens. Ces propos sont faux et sonnent comme une insulte envers l’activité syndicale ».
Mamadou Fall Diedhiou, lui aussi du collège des délégués a rappelé les points de revendications tels que « la revalorisation des salaires, une prime de prudence pour les chauffeurs, une prime PRESTA, une indemnité de prime de risque dénommée ISA, une prime de logement conséquente, une salle des opérations pour la prestation compagnie. Nous assurons le régime en place que nous restons professionnels, disponibles et ouverts à la négociation ».
Pour mémoire, ces derniers avaient observé, il y’a quatre mois, un mouvement d’humeur. Et c’était sur demande de leur ministre de tutelle El Malick NDIAYE que les cinq cents agents de la TSA avaient tous cessé les ports de brassards rouges. « La direction générale fait sourde oreille et n’entend pas respecter ses propres engagements, ni l’accord d’établissement qui nous régit tous. Nous avons envoyé plusieurs lettres aux différentes structures étatiques de l’AIBD et même au ministère des transports pour leur faire part de nos situations. Mais les difficultés perdurent et les agents souffrent de tous les maux.
Et, le comble est que depuis qu’on a tenu notre dernier mouvement d’humeur, les sanctions contre les agents ont multiplié. Moi-même j’ai reçu une demande d’explication suite à une question posée lors d’une réunion syndicale. Pour vous montrer que la situation est grave et que le ministre en charge du transport aérien doit se saisir directement de cette affaire », a fait savoir Mouhamed Faye, un des délégués.
Magueye Sy a, pour sa part, rappelé « les conditions précaires » dans lesquelles ils évoluent au sein de la plateforme aéroportuaire. Sans compter les revenus mensuels jugés très en deçà des normes et réalités du milieu. « Nous sommes pressés comme du citron et abandonnés à notre sort en cas d’incapacité de travail » , dénonce-t-il.
Mbaye Diagne Diaw, lui aussi délégué du personnel a tenu à attirer l’attention du ministère des Transports sur les « pratiques trompeuses de la hiérarchie qui n’hésite pas à envoyer des faux procès verbaux pour justifier sa forfaiture. D’ailleurs certains ont rapporté auprès du ministre que ceux qui s’activent sont des politiciens. Ces propos sont faux et sonnent comme une insulte envers l’activité syndicale ».
Mamadou Fall Diedhiou, lui aussi du collège des délégués a rappelé les points de revendications tels que « la revalorisation des salaires, une prime de prudence pour les chauffeurs, une prime PRESTA, une indemnité de prime de risque dénommée ISA, une prime de logement conséquente, une salle des opérations pour la prestation compagnie. Nous assurons le régime en place que nous restons professionnels, disponibles et ouverts à la négociation ».