Du 3 mars 2010 à Vólos au 11 novembre 2011 à Paris, en passant par Alborg, Lubumbashi, Yaoundé, Port Louis, Paris et Dakar, Amara Traoré a livré au total 13 matches depuis qu’il est arrivé à la tête de la sélection nationale des Lions, le 15 décembre 2009.
Faisant le bilan de son parcours, hier, vendredi 18 novembre 2011, au salon d’honneur, Abdoul Wahab Bâ, du stade Léopold Sédar Senghor, “Mamar“ a déclaré que la “force de mon équipe ne réside pas dans son attaque“ comme le laissent entendre, beaucoup d’observateurs et de techniciens du football.
Mais indique-t-il, “sa force se trouve plutôt dans son équilibre“. Pour étayer ses propos, Amara Traoré revient sur le parcours des “Lions“ depuis qu’il a pris les rênes du pouvoir. “Nous avons livré 13 matches dont six officiels en éliminatoires de la Coupe d’Afrique. Sur ce plan, nous avons marqué 14 buts contre deux buts encaissés à l’extérieur“, note-t-il.
Et d’ajouter : “nous avons joué sept matches amicaux soldés par cinq victoires, deux défaites. Nous avons inscrit lors de ces rencontres 12 buts contre six encaissés. Au total, nous avons marqué 26 buts et pris huit. Donc, la véritable question ne devrait pas être pourquoi, nous marquons des buts. Mais plutôt pourquoi, nous n’en encaissons pas beaucoup“.
Et fait-il remarquer, “la plupart des buts que nous avons encaissé, c’est dans les matches amicaux“. “Je fais cette précision parce que dans ces rencontres, on joue pour se préparer“, souligne-t-il comme pour justifier la défaite (0-2) encaissé devant le Maroc à Dakar. Sur ce dira-t-il, “contre le Maroc, nous n’avons jamais monté contre le porteur du ballon. Pire, nous n’avons pas respecté les règles les plus élémentaires de la défense, notamment en première mi-temps“.
Images à l’appui, Amara Traoré a aussi essayé de récuser les critiques formulées à son encontre notamment dans son système de jeu, trop porté en avant avec notamment quatre attaquants et un milieu de terrain complètement dégarni.
“Je ne sais pas ce que signifie un projet de jeu. Je sais simplement que pour marquer un but dans une phase offensive terminale, il faut être à quatre“, indique-t-il.
Auparavant, le sélectionneur des Lions a tressé des lauriers à ses joueurs. “Depuis 1986, je suis en équipe nationale. J’ai assisté à plusieurs discussions sur les primes. Mais, je n’ai jamais vu une discussion des primes se terminer en cinq minutes seulement. C’est le cas avec mes joueurs. Ils sont pieux, talentueux, rigoureux. C’est vraiment du pain béni que d’être entraîneur de ses joueurs“, a-t-il relevé.
Par ailleurs, ses “collaborateurs“ et non adjoints, Mayaine Mar et Abdoulaye Sarr sont revenus sur la méthode Mamar ainsi que la répartition des taches dans le staff technique où l’ancien directeur technique du Stade de Mbour se taille la part du lion. Expérience oblige !, justifient-il. Sans occulter Ferdinand Coly.
Sudonline.sn
Faisant le bilan de son parcours, hier, vendredi 18 novembre 2011, au salon d’honneur, Abdoul Wahab Bâ, du stade Léopold Sédar Senghor, “Mamar“ a déclaré que la “force de mon équipe ne réside pas dans son attaque“ comme le laissent entendre, beaucoup d’observateurs et de techniciens du football.
Mais indique-t-il, “sa force se trouve plutôt dans son équilibre“. Pour étayer ses propos, Amara Traoré revient sur le parcours des “Lions“ depuis qu’il a pris les rênes du pouvoir. “Nous avons livré 13 matches dont six officiels en éliminatoires de la Coupe d’Afrique. Sur ce plan, nous avons marqué 14 buts contre deux buts encaissés à l’extérieur“, note-t-il.
Et d’ajouter : “nous avons joué sept matches amicaux soldés par cinq victoires, deux défaites. Nous avons inscrit lors de ces rencontres 12 buts contre six encaissés. Au total, nous avons marqué 26 buts et pris huit. Donc, la véritable question ne devrait pas être pourquoi, nous marquons des buts. Mais plutôt pourquoi, nous n’en encaissons pas beaucoup“.
Et fait-il remarquer, “la plupart des buts que nous avons encaissé, c’est dans les matches amicaux“. “Je fais cette précision parce que dans ces rencontres, on joue pour se préparer“, souligne-t-il comme pour justifier la défaite (0-2) encaissé devant le Maroc à Dakar. Sur ce dira-t-il, “contre le Maroc, nous n’avons jamais monté contre le porteur du ballon. Pire, nous n’avons pas respecté les règles les plus élémentaires de la défense, notamment en première mi-temps“.
Images à l’appui, Amara Traoré a aussi essayé de récuser les critiques formulées à son encontre notamment dans son système de jeu, trop porté en avant avec notamment quatre attaquants et un milieu de terrain complètement dégarni.
“Je ne sais pas ce que signifie un projet de jeu. Je sais simplement que pour marquer un but dans une phase offensive terminale, il faut être à quatre“, indique-t-il.
Auparavant, le sélectionneur des Lions a tressé des lauriers à ses joueurs. “Depuis 1986, je suis en équipe nationale. J’ai assisté à plusieurs discussions sur les primes. Mais, je n’ai jamais vu une discussion des primes se terminer en cinq minutes seulement. C’est le cas avec mes joueurs. Ils sont pieux, talentueux, rigoureux. C’est vraiment du pain béni que d’être entraîneur de ses joueurs“, a-t-il relevé.
Par ailleurs, ses “collaborateurs“ et non adjoints, Mayaine Mar et Abdoulaye Sarr sont revenus sur la méthode Mamar ainsi que la répartition des taches dans le staff technique où l’ancien directeur technique du Stade de Mbour se taille la part du lion. Expérience oblige !, justifient-il. Sans occulter Ferdinand Coly.
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