Rocambolesque. C’est le moins que l’on puisse dire pour qualifier cette histoire d’adultère qui a pour cadre Missirah, communauté rurale situé à 30 kilomètres de la capitale orientale. Pour mieux vous camper dans l’histoire de ce délit qui alimente les différentes conversations des habitants de ce patelin, il faut retourner quelques années en arrière.
Il y a plus de dix ans, B. Keita, domicilié à Missirah, fait la connaissance de B Cissé (25 ans), une jeune fille établie au village de Madialy, à 7 Kms de Missirah. La passion était telle entre les deux amoureux que le mariage fut inévitable. B. Keita et B. Cissé se marièrent. L’union fût célébrée avec fastes. Le couple s’arrangea rapidement pour se trouver un nid douillet et commença à fonder un foyer.
Tout allait bien. Très bien même. D’ailleurs, de cette union naquirent des enfants.
Et comme la question de l’émigration constitue un phénomène majeur dans cette localité, B Keita, pour mieux gérer son épouse et ses enfants, se rend en Espagne et laisse derrière lui son épouse qui gère comme elle peut, la lourde charge de l’éducation de ses enfants. Fatiguée d’attendre son époux depuis des années, sans argent et sans travail, la dame fit des connaissances. Particulièrement, celle d’un homme du nom de K. Fadiga. Leurs rencontres sont toujours torrides et sulfureuses,mais cela finit par se faire savoir dans un si petit village.Exactement quand l’époux revint de son voyage, avec toutes sortes de cadeaux pour ses enfants et sa femme qu’il ne savait pas infidèle. Ill était loin de s’imaginer que Madame avait failli par ce qu’adepte de la bagatelle.
Keita manqua de s’évanouir quand il vit son ventre bedonnant. Interpellée, la dame B Cissé pointa du doigt son amant K. Fadiga. Elle dit que cet homme qui la soutenait financièrement, par ailleurs. N’empêche. L’migré ne chercha pas de midi à quatorze heures. Aussi sec, il s’en est allé porter plainte auprès des hommes de Gassama, le Commandant la brigade de gendarmerie de Dialacoto. L’enquête et les prochains jours nous édifieront. Pour l’heure, ce sont plutôt les commentaires sur l’originalité de la démarche.
Pape Ousseynou DIALLO rewmi
Il y a plus de dix ans, B. Keita, domicilié à Missirah, fait la connaissance de B Cissé (25 ans), une jeune fille établie au village de Madialy, à 7 Kms de Missirah. La passion était telle entre les deux amoureux que le mariage fut inévitable. B. Keita et B. Cissé se marièrent. L’union fût célébrée avec fastes. Le couple s’arrangea rapidement pour se trouver un nid douillet et commença à fonder un foyer.
Tout allait bien. Très bien même. D’ailleurs, de cette union naquirent des enfants.
Et comme la question de l’émigration constitue un phénomène majeur dans cette localité, B Keita, pour mieux gérer son épouse et ses enfants, se rend en Espagne et laisse derrière lui son épouse qui gère comme elle peut, la lourde charge de l’éducation de ses enfants. Fatiguée d’attendre son époux depuis des années, sans argent et sans travail, la dame fit des connaissances. Particulièrement, celle d’un homme du nom de K. Fadiga. Leurs rencontres sont toujours torrides et sulfureuses,mais cela finit par se faire savoir dans un si petit village.Exactement quand l’époux revint de son voyage, avec toutes sortes de cadeaux pour ses enfants et sa femme qu’il ne savait pas infidèle. Ill était loin de s’imaginer que Madame avait failli par ce qu’adepte de la bagatelle.
Keita manqua de s’évanouir quand il vit son ventre bedonnant. Interpellée, la dame B Cissé pointa du doigt son amant K. Fadiga. Elle dit que cet homme qui la soutenait financièrement, par ailleurs. N’empêche. L’migré ne chercha pas de midi à quatorze heures. Aussi sec, il s’en est allé porter plainte auprès des hommes de Gassama, le Commandant la brigade de gendarmerie de Dialacoto. L’enquête et les prochains jours nous édifieront. Pour l’heure, ce sont plutôt les commentaires sur l’originalité de la démarche.
Pape Ousseynou DIALLO rewmi