Le Secrétaire général du Mouvement pour réforme et la démocratie sociale (Mrds) n’a pas voté le budget du ministère de la Cooépration internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures. Et pour cause, Imam Mbaye Niang a formulé la demande de voir Karim Wade démissionner de son poste de ministre pour se mettre à la diposition de la Justice suite aux révélations contenues dans "Contes et mécomptes de l’Anoci" du journaliste Abdou Latif Coulibaly.
Selon l’Imam Niang, "il y a de grave accusations de gaspillages, de dépenses unitiles" qui pèsent sur Karim Wade pour qu’il continue d’exercer des fonctions publiques. Mieux, le leader du Mrds évoque le cas Idrissa Seck qui a avait été mis en prison pour des accusations portant sur 40 milliards pour dire qu’avec Kari Wade, le montant est plus grand.
Mais l’invitation de l’Imam Niang n’a pas trouvé de réponse chez l’intéressé. Karim Wade ayant préféré zapper cette question durant son intervention. Tout au plus, c’est Doudou Wade qui est allé au front en rétorquant qu’on ne peut pas demander la démission de quelqu’un en se basant "sur des rumeurs non fondées". Mais Imam Mbaye Niang a répliqué à la fin de la plénière pour dire que "ce qui est écrit dans un livre, signé par un auteur connu, et diffusé dans les journaux ne saurait être rangé dans le lot des rumeurs".
Selon l’Imam Niang, "il y a de grave accusations de gaspillages, de dépenses unitiles" qui pèsent sur Karim Wade pour qu’il continue d’exercer des fonctions publiques. Mieux, le leader du Mrds évoque le cas Idrissa Seck qui a avait été mis en prison pour des accusations portant sur 40 milliards pour dire qu’avec Kari Wade, le montant est plus grand.
Mais l’invitation de l’Imam Niang n’a pas trouvé de réponse chez l’intéressé. Karim Wade ayant préféré zapper cette question durant son intervention. Tout au plus, c’est Doudou Wade qui est allé au front en rétorquant qu’on ne peut pas demander la démission de quelqu’un en se basant "sur des rumeurs non fondées". Mais Imam Mbaye Niang a répliqué à la fin de la plénière pour dire que "ce qui est écrit dans un livre, signé par un auteur connu, et diffusé dans les journaux ne saurait être rangé dans le lot des rumeurs".