Les conditions dans lesquelles vit l’ancien Directeur général du Pcrpe, Salif Bâ sont lamentables et indignes d’un ancien Ministre de la République.
L’ancien Ministre de l’Habitat a été évacué d’urgence à la Clinique chirurgicale Alleray-Labrouste, 64, Rue Labrouste 75015, Paris.
Son hospitalisation a été faite sur instruction du Président de la République. Selon nos sources, ce dernier a donné des instructions fermes, au Colonel Mbengue pour s’occuper du dossier du député libéral, Salif Bâ.
Le 08 juillet 2009, l’ancien Directeur général du Pcrpe a subi une intervention chirurgicale dans cette Clinique parisienne. Il est suivi par le Médecin Bancel spécialiste en la matière. Au terme de cette opération, la Clinique devait recevoir une somme de 10.000.000 Fcfa des autorités sénégalaises qui ont pris en charge les frais. Rien ne fut versé.
Le 8 septembre 2009 prochain, l’ancien Ministre de l’Habitat, Salif Bâ doit subir une seconde intervention chirurgicale. Cette fois-ci à la Clinique du Group Alleray-Labrouste 60, avenue Général De Gaule, 32130, Issy Les Moulineaux. Car après la première intervention, Salif Bâ a été interné dans cette clinique pour le suivi des traitements.
Dans moins de 15 jours, 10 millions F Cfa doit être versé pour que le député sénégalais puisse suivre ses traitements et subir la seconde opération chirurgicale. Et là, les responsables de la Clinique sont formels.
Or, le Président de la République qui pense que son ancien Ministre se porte bien, ignore qu’aucune de ses instructions n’a été respectée.
Salif Bâ souffre dans sa chair. Il est laissé à lui-même loin de ses parents, ses amis et proches.
Le paiement des 10 millions et du reste des dépenses pour compléter les soins est obligatoire.
Il faut trouver l’ancien Ministre dans son lit d’hôpital pour comprendre. Les autorités l’ont oublié royalement. Et l’on se demande comment peut-on manifester autant de mépris à l’égard d’un ancien Ministre et un député de l’Assemblée Nationale du Sénégal qui a servi ce pays pendant des années.
Salit Bâ, il faut le rappeler a été cité dans l’affaire des chantiers de Thiès. Il a été emprisonné puis libéré à la suite d’un non lieu accordé par la Haute Cour de Justice.
En prison, il a été atteint d’une maladie. C’est par la suite qu’il a été transféré à la Clinique Brévier. Il était affaibli par la maladie le jour de son évacuation. Aujourd’hui, la situation demeure entière.
L’ancien Ministre de l’Habitat a été évacué d’urgence à la Clinique chirurgicale Alleray-Labrouste, 64, Rue Labrouste 75015, Paris.
Son hospitalisation a été faite sur instruction du Président de la République. Selon nos sources, ce dernier a donné des instructions fermes, au Colonel Mbengue pour s’occuper du dossier du député libéral, Salif Bâ.
Le 08 juillet 2009, l’ancien Directeur général du Pcrpe a subi une intervention chirurgicale dans cette Clinique parisienne. Il est suivi par le Médecin Bancel spécialiste en la matière. Au terme de cette opération, la Clinique devait recevoir une somme de 10.000.000 Fcfa des autorités sénégalaises qui ont pris en charge les frais. Rien ne fut versé.
Le 8 septembre 2009 prochain, l’ancien Ministre de l’Habitat, Salif Bâ doit subir une seconde intervention chirurgicale. Cette fois-ci à la Clinique du Group Alleray-Labrouste 60, avenue Général De Gaule, 32130, Issy Les Moulineaux. Car après la première intervention, Salif Bâ a été interné dans cette clinique pour le suivi des traitements.
Dans moins de 15 jours, 10 millions F Cfa doit être versé pour que le député sénégalais puisse suivre ses traitements et subir la seconde opération chirurgicale. Et là, les responsables de la Clinique sont formels.
Or, le Président de la République qui pense que son ancien Ministre se porte bien, ignore qu’aucune de ses instructions n’a été respectée.
Salif Bâ souffre dans sa chair. Il est laissé à lui-même loin de ses parents, ses amis et proches.
Le paiement des 10 millions et du reste des dépenses pour compléter les soins est obligatoire.
Il faut trouver l’ancien Ministre dans son lit d’hôpital pour comprendre. Les autorités l’ont oublié royalement. Et l’on se demande comment peut-on manifester autant de mépris à l’égard d’un ancien Ministre et un député de l’Assemblée Nationale du Sénégal qui a servi ce pays pendant des années.
Salit Bâ, il faut le rappeler a été cité dans l’affaire des chantiers de Thiès. Il a été emprisonné puis libéré à la suite d’un non lieu accordé par la Haute Cour de Justice.
En prison, il a été atteint d’une maladie. C’est par la suite qu’il a été transféré à la Clinique Brévier. Il était affaibli par la maladie le jour de son évacuation. Aujourd’hui, la situation demeure entière.