Dans un article de deux pages intitulé "Un ambassadeur pas trés diplomate", Jeune Afrique révèle entre autres que l’ambassadeur de France a été convoqué le 15 décembre par le Premier ministre Hadjibou Soumaré. "Au cours de leur entretien au ton amical, Rufin a précisé le sens de son propos et allégué que celui-ci a été dénaturé par les médias, avant de marteler son respect pour les autorités et le peuple sénégalais" écrit Jeune Afrique. L’hebdomadaire parisien poursuit : « le premier ministre sénégalais l’a assuré qu’il continuait à bénéficier de la confiance et du respect des autorités sénégalaises et lui a renouvelé son soutien et son appui. »
Après cet entretien, M.Rufin confie à Jeune Afrique : « j’ai reçu des messages de soutien du chef de l’Etat sénégalais, de son épouse, du premier ministre, du ministre de l’intérieur, de son homologue du tourisme et de bien d’autres membres du gouvernement. » Toujours dans le registre des confidences, l’ambassadeur reconnaît : « je me suis peut être mal exprimé. Mon propos était maladroit mais pas mal intentionné ».
Pour rappel, c’est à l’occasion d’une cérémonie de signature de contrat que Jean Christophe Rufin avait tenu des propos jugés choquants, déplacés, méprisants et insultants par la septième vice-présidente du sénat sénégalais. La lettre ouverte de Mme Mbacké avait été suivie d’un communiqué dans lequel l’ambassadeur avait recadré et remis ses propos dans leur contexte.
Source Nettali
Après cet entretien, M.Rufin confie à Jeune Afrique : « j’ai reçu des messages de soutien du chef de l’Etat sénégalais, de son épouse, du premier ministre, du ministre de l’intérieur, de son homologue du tourisme et de bien d’autres membres du gouvernement. » Toujours dans le registre des confidences, l’ambassadeur reconnaît : « je me suis peut être mal exprimé. Mon propos était maladroit mais pas mal intentionné ».
Pour rappel, c’est à l’occasion d’une cérémonie de signature de contrat que Jean Christophe Rufin avait tenu des propos jugés choquants, déplacés, méprisants et insultants par la septième vice-présidente du sénat sénégalais. La lettre ouverte de Mme Mbacké avait été suivie d’un communiqué dans lequel l’ambassadeur avait recadré et remis ses propos dans leur contexte.
Source Nettali