Les femmes députés sont désormais plus aptes à assurer leur mission consistant à voter des lois. Elles se sont préparées à débattre de leurs prérogatives au cours de l’atelier organisé, hier, par l’Assemblée nationale. Ainsi, ces femmes élues du peuple se sentent prêtes à assumer leur mission le jour du vote de la loi instituant la parité dans les fonctions électives. La rencontre a été présidée par le président, Mamadou Seck, en présence du ministre d’Etat, ministre de la Femme, Ndèye Khady Diop.
Aux yeux de M. Seck, les Sénégalais doivent reconnaître les hautes qualités pédagogiques du président Wade.
« Avec le recul, la parité nous paraît comme un processus irréversible, eu égard aux actes posés par le président de la République, Me Wade, en particulier depuis son accession à la magistrature suprême en 2000. La nette impression qui se dégage est que le chef de l’Etat voulait accepter cette parité à dose homéopathique à notre société, et que le moment est venu d’apporter l’impulsion décisive. Cette méthode a un nom : la vision et le courage politiques », a fait savoir M. Seck. Le président de l’Assemblée nationale pense que la nomination d’une femme aux fonctions de Premier ministre, l’accès aux corps militarisés de l’armée et de la gendarmerie, le plaidoyer pour l’instauration de la parité dans les instances de l’Union africaine sont quelques-uns des nombreux exemples qui illustrent la constance de cette vision. Pour lui, les femmes qui constituent 52 % de la population sont représentées dans des proportions encore faibles (23% à l’Assemblée nationale, environ 10% dans le gouvernement, 12,97% dans les conseils régionaux, 20,03% dans les conseils municipaux et 27,32% dans les Collectivités rurales.
Gratitude, enthousiasme et espoir sont les termes utilisés par le ministre d’Etat, ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Micro-Finance et de la Petite enfance, Ndèye Khady Diop, pour exprimer sa satisfaction de voir la loi sur la parité prendre forme. « Aucun développement ne peut se faire sans l’implication des forces vives. Après avoir défendu la parité à l’Ua, le président Wade s’est tourné vers les hommes et les femmes de son pays pour mettre fin aux discriminations », a déclaré Mme Diop. « Il y a dix ans, il a montré la voie. Seule une volonté politique forte était à même de conduire à la parité intégrale », a ajouté le président de l’Assemblée nationale.
Fatou Youssous Aïdara, présidente du collectif des femmes députés, a estimé que le président Wade prend encore rendez-vous avec l’histoire et inaugure à la bonne manière la décennie déclarée « décennie de la femme 2010-2020 ». « Les femmes députés sont au cœur de l’action. Elles assumeront leurs responsabilités et appellent d’ores et déjà toutes les femmes et tous les hommes à venir les soutenir pour sensibiliser, partager avec tous les secteurs de notre société et expliquer afin de faire comprendre que c’est d’un problème de développement qu’il s’agit », a déclaré Mme Aïdara.
Aux yeux de M. Seck, les Sénégalais doivent reconnaître les hautes qualités pédagogiques du président Wade.
« Avec le recul, la parité nous paraît comme un processus irréversible, eu égard aux actes posés par le président de la République, Me Wade, en particulier depuis son accession à la magistrature suprême en 2000. La nette impression qui se dégage est que le chef de l’Etat voulait accepter cette parité à dose homéopathique à notre société, et que le moment est venu d’apporter l’impulsion décisive. Cette méthode a un nom : la vision et le courage politiques », a fait savoir M. Seck. Le président de l’Assemblée nationale pense que la nomination d’une femme aux fonctions de Premier ministre, l’accès aux corps militarisés de l’armée et de la gendarmerie, le plaidoyer pour l’instauration de la parité dans les instances de l’Union africaine sont quelques-uns des nombreux exemples qui illustrent la constance de cette vision. Pour lui, les femmes qui constituent 52 % de la population sont représentées dans des proportions encore faibles (23% à l’Assemblée nationale, environ 10% dans le gouvernement, 12,97% dans les conseils régionaux, 20,03% dans les conseils municipaux et 27,32% dans les Collectivités rurales.
Gratitude, enthousiasme et espoir sont les termes utilisés par le ministre d’Etat, ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Micro-Finance et de la Petite enfance, Ndèye Khady Diop, pour exprimer sa satisfaction de voir la loi sur la parité prendre forme. « Aucun développement ne peut se faire sans l’implication des forces vives. Après avoir défendu la parité à l’Ua, le président Wade s’est tourné vers les hommes et les femmes de son pays pour mettre fin aux discriminations », a déclaré Mme Diop. « Il y a dix ans, il a montré la voie. Seule une volonté politique forte était à même de conduire à la parité intégrale », a ajouté le président de l’Assemblée nationale.
Fatou Youssous Aïdara, présidente du collectif des femmes députés, a estimé que le président Wade prend encore rendez-vous avec l’histoire et inaugure à la bonne manière la décennie déclarée « décennie de la femme 2010-2020 ». « Les femmes députés sont au cœur de l’action. Elles assumeront leurs responsabilités et appellent d’ores et déjà toutes les femmes et tous les hommes à venir les soutenir pour sensibiliser, partager avec tous les secteurs de notre société et expliquer afin de faire comprendre que c’est d’un problème de développement qu’il s’agit », a déclaré Mme Aïdara.
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