Notre cher Sénégal, berceau jadis du « joom, fuula, et fayda » est devenu le théâtre de la prolifération des « Pédés » et des « Lesbiennes » : le phénomène qui jadis effrayait rien qu’à sa prononciation est devenu chose banale et la société évolue avec.
Avant on pointait du doigt les étrangers qui foulaient notre sol comme les vecteurs de ces ignobles actes, et on disait souvent que la majeure partie des touristes qui viennent au Sénégal sont des homosexuels. Mais actuellement conformément au siècle présent, la prolifération de ces vices se fait à un rythme inquiétant au Sénégal, de sorte qu’il est aujourd’hui difficile de distinguer le bien du mal, l’anormal du normal. Autrement dit, ce qui est anormal chez certaines personnes peut être accepté et recherché par d’autres, comme étant même l’idéal par le biais des télévisions et certains sites de rencontre comme facebook ou des blogs sont crées pour regrouper 5OOO lesbiennes (http://www.facebook.com/group.php?gid=37210185038). A cela s’ajoute la ténacité d’Amnesty international Sénégal qui dénonce souvent l'intolérance à l'endroit des homosexuels. Pourtant il n'y a aucune religion révélée au monde qui accepte l'homosexualité. Ici au Sénégal, ni les musulmans qui comptent 95% de la population, ni les chrétiens n'acceptent cette pratique.
Observez un peu, les dernières danses créées par certains de nos musiciens, en allant de la fameuse « GOANA » à l’endiablée « YOUZA » : tous les gestes qui y sont effectuées frisent la pédérastie, pourtant ce sont les garçons qui le dansent encore mieux que les filles …c’est grave.
C’est pourquoi, lorsque certains hommes rechercheront des femmes pour se marier, d’autres seront à la recherche d’homme pour la même cause. Entendons par là que, la pédérastie et le lesbianisme, considérés comme des pratiques profanes dans certaines bonnes sociétés, sont aujourd’hui acceptés et presque légalisés sous nos cieux. Les religieux sont au courant, mais ne disent rien.
La jeunesse sans se rendre compte adopte les comportements de ces vicieux par leur port vestimentaire en se parant de « chemises prés du corps » pour les garçons et de piercing pour les filles ; pourtant ce sont bien là des accoutrements homosexuels et les parents n’y voient que du feu.
En ce moment la drague des lesbiennes fait rage sur le net et nos enfants inconsciemment se laissent avoir. Il est alors plus qu’urgent pour les parents de prendre à bras le corps l’éducation de ces jeunes qui incarnent l’avenir de notre nation, sinon, c’est toute notre société qui en pâtira.
Ces vicieux sont allés jusqu’à conquérir certains quartiers de Dakar et y élire domicile en masse. Pourtant leur proximité avec la jeunesse de ces quartiers n’est pas du tout favorable à l’éducation. Les gens le savent, mais ils se taisent. Actuellement ils sont présents partout, aussi bien dans les lycées que dans les espaces de travail. Ils gagnent du terrain, l’Etat en est conscient mais fait mine de ne rien remarquer ; en attendant notre progéniture est menacée.
Quelles que soient les raisons évoquées et les sociétés qui acceptent l’homosexualité, cette pratique est contre nature et peut même favoriser la disparition de l’espèce humaine ; car les conjoints homosexuels ne peuvent pas pour le moment procréer.
Mamadou Lamine CAMARA
Avant on pointait du doigt les étrangers qui foulaient notre sol comme les vecteurs de ces ignobles actes, et on disait souvent que la majeure partie des touristes qui viennent au Sénégal sont des homosexuels. Mais actuellement conformément au siècle présent, la prolifération de ces vices se fait à un rythme inquiétant au Sénégal, de sorte qu’il est aujourd’hui difficile de distinguer le bien du mal, l’anormal du normal. Autrement dit, ce qui est anormal chez certaines personnes peut être accepté et recherché par d’autres, comme étant même l’idéal par le biais des télévisions et certains sites de rencontre comme facebook ou des blogs sont crées pour regrouper 5OOO lesbiennes (http://www.facebook.com/group.php?gid=37210185038). A cela s’ajoute la ténacité d’Amnesty international Sénégal qui dénonce souvent l'intolérance à l'endroit des homosexuels. Pourtant il n'y a aucune religion révélée au monde qui accepte l'homosexualité. Ici au Sénégal, ni les musulmans qui comptent 95% de la population, ni les chrétiens n'acceptent cette pratique.
Observez un peu, les dernières danses créées par certains de nos musiciens, en allant de la fameuse « GOANA » à l’endiablée « YOUZA » : tous les gestes qui y sont effectuées frisent la pédérastie, pourtant ce sont les garçons qui le dansent encore mieux que les filles …c’est grave.
C’est pourquoi, lorsque certains hommes rechercheront des femmes pour se marier, d’autres seront à la recherche d’homme pour la même cause. Entendons par là que, la pédérastie et le lesbianisme, considérés comme des pratiques profanes dans certaines bonnes sociétés, sont aujourd’hui acceptés et presque légalisés sous nos cieux. Les religieux sont au courant, mais ne disent rien.
La jeunesse sans se rendre compte adopte les comportements de ces vicieux par leur port vestimentaire en se parant de « chemises prés du corps » pour les garçons et de piercing pour les filles ; pourtant ce sont bien là des accoutrements homosexuels et les parents n’y voient que du feu.
En ce moment la drague des lesbiennes fait rage sur le net et nos enfants inconsciemment se laissent avoir. Il est alors plus qu’urgent pour les parents de prendre à bras le corps l’éducation de ces jeunes qui incarnent l’avenir de notre nation, sinon, c’est toute notre société qui en pâtira.
Ces vicieux sont allés jusqu’à conquérir certains quartiers de Dakar et y élire domicile en masse. Pourtant leur proximité avec la jeunesse de ces quartiers n’est pas du tout favorable à l’éducation. Les gens le savent, mais ils se taisent. Actuellement ils sont présents partout, aussi bien dans les lycées que dans les espaces de travail. Ils gagnent du terrain, l’Etat en est conscient mais fait mine de ne rien remarquer ; en attendant notre progéniture est menacée.
Quelles que soient les raisons évoquées et les sociétés qui acceptent l’homosexualité, cette pratique est contre nature et peut même favoriser la disparition de l’espèce humaine ; car les conjoints homosexuels ne peuvent pas pour le moment procréer.
Mamadou Lamine CAMARA