En effet, selon les "Confidentiels" de "Nouvel Horizon" dans son édition n° 650 du 5 au 11 décembre 2008, à travers un article intitulé : « Avion de commandement présidentiel : L’Airbus A 340, hors de prix », le nouvel avion de commandement présidentiel que les autorités sénégalaises voulaient acquérir au service du président Wade est un appareil de type A 340 et non A 319 comme révélé précédemment dans nos colonnes ». Et l’équipe d’Abdoulaye Bamba Diallo et d’Issa Sall de confirmer les dires de Souleymane Jules Diop à l’occasion de sa conférence à Paris, rencontre initiée par « Res Publica » en avril 2008 » : « Cet avion qui a été acquis à l’origine par le sultanat de Brunei avait été rétrocédé au fils du Colonel Khadaffi qui l’a ensuite proposé comme avion de commandement au Sénégal.
Cet avion airbus A 340 aménagé comme un véritable palace volant a ainsi séjourné à Dakar pendant 48 heures l’année dernière afin qu’il soit visité par les autorités sénégalaises. Et c’est au retour d’un bref séjour à Touba que Abdoulaye Wade est descendu par hélicoptère à l’aéroport Lss pour découvrir « son palais volant ». Toujours selon « Nouvel Horizon », « la déliquescence des finances publiques ayant commencé depuis la fin 2006 n’a pas permis finalement de mener cette opération jusqu’à son terme, car cet avion était proposé à un prix avoisinant les 70 milliards de francs Cfa. Ce sont finalement les autorités de Pékin qui sont venues au secours du Sénégal en leur offrant un jet d’affaires que le président du Conseil de surveillance de l’Anoci utilise jusqu’à présent dans le cadre de ses déplacements internationaux » .
Pour rappel, Ferloo.com, le 8 avril 2008 à ce sujet, avait écrit ceci : « Sur invitation de Res Publica, une société civile du Sénégal basée en France, Souleymane Jules Diop tenait, il y a deux semaines, une conférence publique, à l’Université Panthéon-Sorbonne, sur le thème « L’Etat de la démocratie au Sénégal ». Comme dans ses chroniques dans Internet, le journaliste-politologue s’était livré à une vraie diatribe contre le régime libéral et son chef, Me Abdoulaye Wade... A cette occasion, Jules Diop était revenu de long en large sur le nouvel avion qui aurait été acheté par le président Wade et avait dit que cet avion serait à l’origine une propriété du Sultan de Bruneï. Ferloo.com ne peut ni confirmer ni infirmer ses propos, par contre, est en mesure de mettre à votre disposition, une diapositive de cet « oiseau » au luxe insolent. Quel régal pour les yeux !
« Vous avez entendu (…) il y a quelques jours, que le président de la République, en même temps qu’il mettait en place des structures de surveillance dans l’attribution des marchés publics, l’information relative à l’achat d’un nouvel avion (…). Aujourd’hui, dans la presse, on parle d’un avion Airbus qui, en réalité, sert déjà au déplacement du président de la République. Ce n’est pas un avion neuf. C’est un avion qui est pré-positionné à Casablanca en même temps qu’un avion Jet privé Kruman qui sert en réalité au déplacement de l’Anoci au Moyen Orient, que les Chinois ont offert à l’Etat du Sénégal. Aujourd’hui, il a été enregistré au nom d’une société de droit suisse et sert de transport à des privés. Où va cet argent ? On ne le sait pas. Cet avion, (Ndlr : un Airbus A 320) appartenait au Sultan de Brunei qui l’a utilisé, qui ne l’aimait plus et l’a vendu au fils de Mouammar Kadhafi. Ce dernier l’a parqué ; il ne s’en servait plus… », disait Souleymane Jules Diop, à l’époque.
Alassane DIALLO
Source: Ferloo.com
Cet avion airbus A 340 aménagé comme un véritable palace volant a ainsi séjourné à Dakar pendant 48 heures l’année dernière afin qu’il soit visité par les autorités sénégalaises. Et c’est au retour d’un bref séjour à Touba que Abdoulaye Wade est descendu par hélicoptère à l’aéroport Lss pour découvrir « son palais volant ». Toujours selon « Nouvel Horizon », « la déliquescence des finances publiques ayant commencé depuis la fin 2006 n’a pas permis finalement de mener cette opération jusqu’à son terme, car cet avion était proposé à un prix avoisinant les 70 milliards de francs Cfa. Ce sont finalement les autorités de Pékin qui sont venues au secours du Sénégal en leur offrant un jet d’affaires que le président du Conseil de surveillance de l’Anoci utilise jusqu’à présent dans le cadre de ses déplacements internationaux » .
Pour rappel, Ferloo.com, le 8 avril 2008 à ce sujet, avait écrit ceci : « Sur invitation de Res Publica, une société civile du Sénégal basée en France, Souleymane Jules Diop tenait, il y a deux semaines, une conférence publique, à l’Université Panthéon-Sorbonne, sur le thème « L’Etat de la démocratie au Sénégal ». Comme dans ses chroniques dans Internet, le journaliste-politologue s’était livré à une vraie diatribe contre le régime libéral et son chef, Me Abdoulaye Wade... A cette occasion, Jules Diop était revenu de long en large sur le nouvel avion qui aurait été acheté par le président Wade et avait dit que cet avion serait à l’origine une propriété du Sultan de Bruneï. Ferloo.com ne peut ni confirmer ni infirmer ses propos, par contre, est en mesure de mettre à votre disposition, une diapositive de cet « oiseau » au luxe insolent. Quel régal pour les yeux !
« Vous avez entendu (…) il y a quelques jours, que le président de la République, en même temps qu’il mettait en place des structures de surveillance dans l’attribution des marchés publics, l’information relative à l’achat d’un nouvel avion (…). Aujourd’hui, dans la presse, on parle d’un avion Airbus qui, en réalité, sert déjà au déplacement du président de la République. Ce n’est pas un avion neuf. C’est un avion qui est pré-positionné à Casablanca en même temps qu’un avion Jet privé Kruman qui sert en réalité au déplacement de l’Anoci au Moyen Orient, que les Chinois ont offert à l’Etat du Sénégal. Aujourd’hui, il a été enregistré au nom d’une société de droit suisse et sert de transport à des privés. Où va cet argent ? On ne le sait pas. Cet avion, (Ndlr : un Airbus A 320) appartenait au Sultan de Brunei qui l’a utilisé, qui ne l’aimait plus et l’a vendu au fils de Mouammar Kadhafi. Ce dernier l’a parqué ; il ne s’en servait plus… », disait Souleymane Jules Diop, à l’époque.
Alassane DIALLO
Source: Ferloo.com