‘’Le grand problème, c’est que la croissance doit s’accompagner de justice sociale. Nous avons réglé le problème de la justice politique avec la démocratie. Mais, la justice sociale doit être là, avec la croissance économique’’, a-t-il soutenu au cours de ‘’International’’, une émission hebdomadaire de TV5 et de RFI.
‘’Il faut qu’on n’y prenne garde parce que si avec la croissance nous voyons les inégalités se creuser ça ne résoudra aucun problème de l’Afrique. Donc, la lutte contre la pauvreté doit être au premier plan de nos préoccupations (…)’’, a souligné l’ancien président sénégalais (1981-2000).
Selon Abdou Diouf, ‘’la pauvreté n’est pas faite pour faciliter les choses’’ sur le continent africain où tous les problèmes sont liés. Il a cité la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue et le terrorisme, autant de problèmes auxquels font face de nombreux pays africains.
Le secrétaire général de l’OIF a cependant noté que ces problèmes doivent trouver des solutions dans le cadre d’un monde interdépendant. ‘’Je ne suis pas tellement d’accord avec cette façon de poser les problèmes en disant « l’Afrique aux Africains’’, a-t-il dit.
‘’Bien sûr, « l’Afrique aux Africains », parce que c’est leurs pays. Mais, nous sommes dans un monde d’interdépendance et de solidarité. Il faut que tout le monde sache que nous sommes interdépendants’’, a-t-il fait valoir.
APS
‘’Il faut qu’on n’y prenne garde parce que si avec la croissance nous voyons les inégalités se creuser ça ne résoudra aucun problème de l’Afrique. Donc, la lutte contre la pauvreté doit être au premier plan de nos préoccupations (…)’’, a souligné l’ancien président sénégalais (1981-2000).
Selon Abdou Diouf, ‘’la pauvreté n’est pas faite pour faciliter les choses’’ sur le continent africain où tous les problèmes sont liés. Il a cité la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue et le terrorisme, autant de problèmes auxquels font face de nombreux pays africains.
Le secrétaire général de l’OIF a cependant noté que ces problèmes doivent trouver des solutions dans le cadre d’un monde interdépendant. ‘’Je ne suis pas tellement d’accord avec cette façon de poser les problèmes en disant « l’Afrique aux Africains’’, a-t-il dit.
‘’Bien sûr, « l’Afrique aux Africains », parce que c’est leurs pays. Mais, nous sommes dans un monde d’interdépendance et de solidarité. Il faut que tout le monde sache que nous sommes interdépendants’’, a-t-il fait valoir.
APS