''Le secrétaire général de la Francophonie appelle à une mobilisation urgente en faveur d’une intervention internationale au Mali'', rapporte le communiqué de l'OIF.
''Abdou Diouf, secrétaire général de la Francophonie, exprime sa profonde préoccupation face à l’avancée des groupes armés, qui contrôlent le Nord du pays [...] et affichent leur volonté d’occuper la totalité du territoire malien'', ajoute la même source.
Selon M. Diouf, l'avancée des rebelles vers le Sud du pays est de nature à mettre ''en péril les fragiles espoirs d’une issue négociée à la crise''.
''J’appelle à la mobilisation urgente de la communauté internationale pour une intervention militaire, recours ultime mais nécessaire, afin de mettre un terme aux agissements des groupes armés radicaux responsables de l’insécurité, des enlèvements et des violations graves des droits de l’homme au Mali'', réagit l'ancien chef de l'Etat sénégalais.
Les rebelles au Nord-Mali ''constituent une menace pour l’ensemble de la région [ouest-africaine] et de ses populations'', a-t-il déclaré.
Abdou Diouf ''affirme la disponibilité pleine et entière de la Francophonie pour contribuer aux efforts coordonnés de la communauté internationale pour rétablir la paix, la stabilité et la démocratie au Mali''.
Vendredi, le gouvernement malien a affirmé de son côté que la France, le Nigeria et le Sénégal fournissaient sur le terrain une aide militaire pour faire reculer les rebelles islamistes.
Mais, l’état-major général des armées sénégalaises a démenti le même jour toute présence militaire sénégalaise sur le territoire malien.
Le Nord du Mali est occupé depuis plus de neuf mois par Ansar Dine, Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO), qui sont tous des groupes islamistes.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté mercredi à Bamako, la capitale du Mali, et à Kati, une autre ville du pays, pour réclamer des "concertations" sur la transition au Mali, la libération des régions du Nord par les islamistes et le départ du président intérimaire Dioncounda Traoré.
Ce dernier est au pouvoir depuis le coup d’Etat perpétré par des militaires
qui, le 22 mars dernier, ont renversé le président Amadou Toumani Touré, actuellement vivant en exil au Sénégal.
Source:APS
''Abdou Diouf, secrétaire général de la Francophonie, exprime sa profonde préoccupation face à l’avancée des groupes armés, qui contrôlent le Nord du pays [...] et affichent leur volonté d’occuper la totalité du territoire malien'', ajoute la même source.
Selon M. Diouf, l'avancée des rebelles vers le Sud du pays est de nature à mettre ''en péril les fragiles espoirs d’une issue négociée à la crise''.
''J’appelle à la mobilisation urgente de la communauté internationale pour une intervention militaire, recours ultime mais nécessaire, afin de mettre un terme aux agissements des groupes armés radicaux responsables de l’insécurité, des enlèvements et des violations graves des droits de l’homme au Mali'', réagit l'ancien chef de l'Etat sénégalais.
Les rebelles au Nord-Mali ''constituent une menace pour l’ensemble de la région [ouest-africaine] et de ses populations'', a-t-il déclaré.
Abdou Diouf ''affirme la disponibilité pleine et entière de la Francophonie pour contribuer aux efforts coordonnés de la communauté internationale pour rétablir la paix, la stabilité et la démocratie au Mali''.
Vendredi, le gouvernement malien a affirmé de son côté que la France, le Nigeria et le Sénégal fournissaient sur le terrain une aide militaire pour faire reculer les rebelles islamistes.
Mais, l’état-major général des armées sénégalaises a démenti le même jour toute présence militaire sénégalaise sur le territoire malien.
Le Nord du Mali est occupé depuis plus de neuf mois par Ansar Dine, Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO), qui sont tous des groupes islamistes.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté mercredi à Bamako, la capitale du Mali, et à Kati, une autre ville du pays, pour réclamer des "concertations" sur la transition au Mali, la libération des régions du Nord par les islamistes et le départ du président intérimaire Dioncounda Traoré.
Ce dernier est au pouvoir depuis le coup d’Etat perpétré par des militaires
qui, le 22 mars dernier, ont renversé le président Amadou Toumani Touré, actuellement vivant en exil au Sénégal.
Source:APS