Il avait pourtant déclaré orbi et urbi qu’ « à la demande générale », tous les pays membres lui avaient demandé de se représenter. Un mensonge démenti et dont l’Elysée qui semblait le soutenir s’est fait écho. Du coup, alors qu’une rencontre qu’il avait sollicité avec Nicolas Sarkozy le lundi 5 juillet 2010, avant de s’envoler pour le Sénégal hier, a été renvoyée sine die. Diouf est furax. Aujourd’hui, on apprend qu’il aurait déclaré qu’il se présentera, même si son pays ne le soutient pas. D’ailleurs, officiellement, son pays, le Sénégal, malgré une rencontre avec le président Wade, n’a pas encore donné un accord favorable, mais de principe, pour sa candidature controversée.
Constatant qu’il se bat finalement seul, puisque la plupart des pays, notamment africains ne lui ont pas renouvelé leur confiance malgré un lobbying tous azimuts, Abdou Diouf multiplie les interventions. Il semble patauger désormais telle une larve dans la bouse. Selon certaines indiscrétions, pour faire entendre sa voix qui ne porte plus au-delà de la rue de Bourgogne, il menace. Après avoir été président du Sénégal pendant deux décennies, il semble vouloir gouverner la Francophonie, telle une République bananière. Or, diriger une telle institution qu’il a endormi, implique la tolérance, la générosité, l’humanisme et l’éthique.
Encore une belle image de l’Afrique et des Africains qui, une fois au pouvoir, ne tienne pas leurs promesses, triturent le trait, affirmant in fine, le défaitisme francophone. Abdou Diouf a en tous cas donné le gagne de la médiocrité pur les quatre années à venir. Il souille à la fois son pays et l’Afrique. Mourir au pouvoir est la pathologie déroutante des Africains. Se servir au lieu de servir, avec le népotisme qui va avec, aussi. Que va-t-il réellement se passer dans les jours et les mois à venir ? Personne ne sait.
L’ancien président sénégalais est simplement entrain de vouloir faire un coup d’Etat honteux. Ce putsch qui desservira à termes l’Afrique. Nous assisterons à un fiasco retentissant. L’élection aura lieu lors du sommet marquant le 40e anniversaire de l’Organisation, du 22 au 24 octobre, à Montreux, en Suisse. Ce qui est sûr, sur les 56 membres que comptent l’organisation, la plupart, face aux élucubrations de l’actuel secrétaire général qui veut rester 12 ans en place -une folie-, partagent une autre conception de ce mastodonte aux pieds d’argile, trop politisé, et qu’ils veulent dépoussiérer. Il serait intelligent que Diouf se retire avec les honneurs et non l’inverse…
source : centpapier.com
Constatant qu’il se bat finalement seul, puisque la plupart des pays, notamment africains ne lui ont pas renouvelé leur confiance malgré un lobbying tous azimuts, Abdou Diouf multiplie les interventions. Il semble patauger désormais telle une larve dans la bouse. Selon certaines indiscrétions, pour faire entendre sa voix qui ne porte plus au-delà de la rue de Bourgogne, il menace. Après avoir été président du Sénégal pendant deux décennies, il semble vouloir gouverner la Francophonie, telle une République bananière. Or, diriger une telle institution qu’il a endormi, implique la tolérance, la générosité, l’humanisme et l’éthique.
Encore une belle image de l’Afrique et des Africains qui, une fois au pouvoir, ne tienne pas leurs promesses, triturent le trait, affirmant in fine, le défaitisme francophone. Abdou Diouf a en tous cas donné le gagne de la médiocrité pur les quatre années à venir. Il souille à la fois son pays et l’Afrique. Mourir au pouvoir est la pathologie déroutante des Africains. Se servir au lieu de servir, avec le népotisme qui va avec, aussi. Que va-t-il réellement se passer dans les jours et les mois à venir ? Personne ne sait.
L’ancien président sénégalais est simplement entrain de vouloir faire un coup d’Etat honteux. Ce putsch qui desservira à termes l’Afrique. Nous assisterons à un fiasco retentissant. L’élection aura lieu lors du sommet marquant le 40e anniversaire de l’Organisation, du 22 au 24 octobre, à Montreux, en Suisse. Ce qui est sûr, sur les 56 membres que comptent l’organisation, la plupart, face aux élucubrations de l’actuel secrétaire général qui veut rester 12 ans en place -une folie-, partagent une autre conception de ce mastodonte aux pieds d’argile, trop politisé, et qu’ils veulent dépoussiérer. Il serait intelligent que Diouf se retire avec les honneurs et non l’inverse…
source : centpapier.com