Pour l’ancien président du Sénégal, «Des évolutions enregistrées dans l’espace francophone au cours des derniers mois, je dis qu’il faut maintenant apprendre. Apprendre du printemps arabe, des récentes transitions démocratiques survenues en Afrique de l’Ouest et des crises qui persistent ou qui naissent.
Apprendre de ces leçons et avancer ensemble. » Et d’ ajouter «Il nous faut, ensemble, trouver de nouveaux chemins pour le progrès permanent des droits universels, pour prendre en considération les nouvelles parties prenantes, politiques et institutionnelles, et promouvoir une autre diversité qui réponde à la réalité de notre monde, pour faire la démonstration d’une écoute attentive quant aux messages que les peuples francophones nous adressent. Le rôle de nouvelles forces politiques représentatives des attentes des populations dans la consécration des dispositifs institutionnels devra être au cœur de nos préoccupations.»
Abordant la question sur le climat politique au Sénégal, Diouf admet que La Francophonie « doit évidemment prendre part aux débats internationaux qui font suite aux événements survenus dans plusieurs de nos pays membres. Le monde arabe bien entendu, et ce printemps dont nous ne mesurons pas encore toute la portée. L’Afrique subsaharienne confrontée à des transitions démocratiques majeures mais aussi à des dérives et des dangers porteurs d’échecs ».
PiccMi.Com - La Rédaction
Apprendre de ces leçons et avancer ensemble. » Et d’ ajouter «Il nous faut, ensemble, trouver de nouveaux chemins pour le progrès permanent des droits universels, pour prendre en considération les nouvelles parties prenantes, politiques et institutionnelles, et promouvoir une autre diversité qui réponde à la réalité de notre monde, pour faire la démonstration d’une écoute attentive quant aux messages que les peuples francophones nous adressent. Le rôle de nouvelles forces politiques représentatives des attentes des populations dans la consécration des dispositifs institutionnels devra être au cœur de nos préoccupations.»
Abordant la question sur le climat politique au Sénégal, Diouf admet que La Francophonie « doit évidemment prendre part aux débats internationaux qui font suite aux événements survenus dans plusieurs de nos pays membres. Le monde arabe bien entendu, et ce printemps dont nous ne mesurons pas encore toute la portée. L’Afrique subsaharienne confrontée à des transitions démocratiques majeures mais aussi à des dérives et des dangers porteurs d’échecs ».
PiccMi.Com - La Rédaction