
«Ce n’est pas Sidiki Kaba qui va juger ce dossier mais c’est la justice», a-t-il dit. Selon Abdou Latif Coulibaly, «il n’est aucunement gênant que Me Kaba gère ce ministère même s’il était l’avocat de Bibo Bourgi. Sinon aucun avocat ne devrait pas être nommé à ces charges. Parce qu’un avocat qui a eu une carrière aussi brillante et aussi riche que celle de Kaba qui a eu à traiter des dossiers qui sont encore pendants devant la justice…», a-t-il tranché.
Pour Abdou Latif Coulibaly Me Kaba «est un grand juriste ; son engagement est indéfectible par rapport aux droits de l’homme». C’est la raison pour laquelle certains disent qu’il ne peut pas assumer aujourd’hui ces charges parce qu’il serait en conflit d’intérêt. Ce qui n’est pas du tout possible parce qu’il n’est en aucune façon en conflit par rapport à ça, a-t-il indiqué.
Pour le cas d’Abdoulaye Daouda Diallo, ancien ministre délégué, chargé du budget, bombardé ministre de l’Intérieur alors qu’il militant actif de l’Alliance pour la République (APR), le porte-parole du gouvernement indique qu’il avait défendu dans les assises que l’occupant de ce poste soit de la société civile. Mais, concède-t-il, cette vision n’est pas celle du président de la République, Macky Sall. Pour Latif Coulibaly, le débat suscité par ces nominations est la preuve de la vivacité de la démocratie dans notre pays.
Ferloo
Pour Abdou Latif Coulibaly Me Kaba «est un grand juriste ; son engagement est indéfectible par rapport aux droits de l’homme». C’est la raison pour laquelle certains disent qu’il ne peut pas assumer aujourd’hui ces charges parce qu’il serait en conflit d’intérêt. Ce qui n’est pas du tout possible parce qu’il n’est en aucune façon en conflit par rapport à ça, a-t-il indiqué.
Pour le cas d’Abdoulaye Daouda Diallo, ancien ministre délégué, chargé du budget, bombardé ministre de l’Intérieur alors qu’il militant actif de l’Alliance pour la République (APR), le porte-parole du gouvernement indique qu’il avait défendu dans les assises que l’occupant de ce poste soit de la société civile. Mais, concède-t-il, cette vision n’est pas celle du président de la République, Macky Sall. Pour Latif Coulibaly, le débat suscité par ces nominations est la preuve de la vivacité de la démocratie dans notre pays.
Ferloo