Le nouveau ministre du Tourisme et des Transports aériens, Abdoulaye Diouf Sarr, a indiqué jeudi à Dakar qu’il comptait mener une "démarche participative" incluant tous les acteurs concernés, pour relancer l'économie touristique actuellement en crise.
"Je lance un appel à tous les collaborateurs pour leur dire que nous avons un secteur stratégique et extrêmement important. Notre démarche sera participative et va intégrer tous les acteurs" concernés, a expliqué M. Sarr.
Il s’exprimait lors d’une cérémonie de passation de service, durant laquelle son prédécesseur à ce poste, Oumar Guèye, lui a passé le témoin.
Abdoulaye Diouf Sarr a qualifié de "remarquable" le travail de M. Guèye au département du Tourisme et des Transports aériens.
"Nous nous engageons à respecter scrupuleusement la feuille de route (…) du gouvernement en matière de tourisme et de transport aérien'', a-t-il déclaré.
"Il s’agit au bout du compte de faire en sorte que la destination Sénégal (…) cadre bien avec les objectifs d’émergence contenus dans le Plan Sénégal émergent", a expliqué M. Sarr, faisant allusion au plan gouvernemental censé conduire le pays à l’"émergence" économique, dans les 20 prochaines années.
Le tourisme, l’un des secteurs les plus vitaux de l’économie sénégalaise, est en crise depuis plusieurs années. C'est aussi l’un des piliers du PSE, un programme que de nombreux partenaires financiers de l’Etat du Sénégal ont promis de financer.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, le tourisme et la pêche sont des secteurs sur lesquels le Sénégal doit s’appuyer pour réaliser ses objectifs de développement.
"Ce département (le Tourisme et les Transports aériens) et celui que va prendre mon prédécesseur Oumar Guèye, la Pêche et l’Economie maritime, constituent les deux socles essentiels de notre économie", a-t-il souligné.
M. Guèye a évoqué, avec son successeur, les "défis" à relever et les "objectifs" à atteindre dans la politique touristique du gouvernement.
"Nous avons un certain nombre d’objectifs pour le secteur", lui a-t-il dit, en expliquant qu’il s’agit de faire venir au Sénégal 1,5 million de touristes en 2016, de porter ensuite ce chiffre à deux millions en 2018, et enfin à trois millions en 2023.
"Je lance un appel à tous les collaborateurs pour leur dire que nous avons un secteur stratégique et extrêmement important. Notre démarche sera participative et va intégrer tous les acteurs" concernés, a expliqué M. Sarr.
Il s’exprimait lors d’une cérémonie de passation de service, durant laquelle son prédécesseur à ce poste, Oumar Guèye, lui a passé le témoin.
Abdoulaye Diouf Sarr a qualifié de "remarquable" le travail de M. Guèye au département du Tourisme et des Transports aériens.
"Nous nous engageons à respecter scrupuleusement la feuille de route (…) du gouvernement en matière de tourisme et de transport aérien'', a-t-il déclaré.
"Il s’agit au bout du compte de faire en sorte que la destination Sénégal (…) cadre bien avec les objectifs d’émergence contenus dans le Plan Sénégal émergent", a expliqué M. Sarr, faisant allusion au plan gouvernemental censé conduire le pays à l’"émergence" économique, dans les 20 prochaines années.
Le tourisme, l’un des secteurs les plus vitaux de l’économie sénégalaise, est en crise depuis plusieurs années. C'est aussi l’un des piliers du PSE, un programme que de nombreux partenaires financiers de l’Etat du Sénégal ont promis de financer.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, le tourisme et la pêche sont des secteurs sur lesquels le Sénégal doit s’appuyer pour réaliser ses objectifs de développement.
"Ce département (le Tourisme et les Transports aériens) et celui que va prendre mon prédécesseur Oumar Guèye, la Pêche et l’Economie maritime, constituent les deux socles essentiels de notre économie", a-t-il souligné.
M. Guèye a évoqué, avec son successeur, les "défis" à relever et les "objectifs" à atteindre dans la politique touristique du gouvernement.
"Nous avons un certain nombre d’objectifs pour le secteur", lui a-t-il dit, en expliquant qu’il s’agit de faire venir au Sénégal 1,5 million de touristes en 2016, de porter ensuite ce chiffre à deux millions en 2018, et enfin à trois millions en 2023.