"Je me trouve dans l'obligation de justifier le retrait de ma plainte, parce que ce n'est plus mon affaire à moi, tout seul. Mais c'est devenu l'affaire de tout un peuple", a expliqué d'emblée Abdoulaye Ndao. "Mbathio comme Miss Jongoma ont commis des fautes, qu'elles même acceptent. Leurs tenues extravagantes, indécentes et leurs exhibitions ne passent pas inaperçus. C'est une violence aux bonnes moeurs de notre pays. Personne n'en doute. Elles déclarent elles-mêmes d'avoir commis des dérapages, mais nul ne peut démentir aussi que l'erreur est humaine, embraie-t-il dans un élan de pardon.
Très objectif dans sa démarche, malgré les critiques essuyées ça et là, Abdoulaye Ndao explique:"Je ne m'acharne contre personne. Je ne souhaiterai pas voir cette fille dans un cachot, ou être humiliée devant la justice, ce n'est pas mon souhait. Je ne juge pas cette fille dans sa vie. je la juge selon l'acte qu'elle a commis ce soir-là, qui m'a choqué, d'autres personnes aussi. Je ne vais pas l'insulter ou dire du mal d'elle, je ne la connais pas, je ne l'ai jamais rencontrée personnellement, je ne lui ai jamais parlé, mais je suis libre de penser que son acte est punissable par le droit et la loi..." a-t-on noté dans L'Obs.
Très objectif dans sa démarche, malgré les critiques essuyées ça et là, Abdoulaye Ndao explique:"Je ne m'acharne contre personne. Je ne souhaiterai pas voir cette fille dans un cachot, ou être humiliée devant la justice, ce n'est pas mon souhait. Je ne juge pas cette fille dans sa vie. je la juge selon l'acte qu'elle a commis ce soir-là, qui m'a choqué, d'autres personnes aussi. Je ne vais pas l'insulter ou dire du mal d'elle, je ne la connais pas, je ne l'ai jamais rencontrée personnellement, je ne lui ai jamais parlé, mais je suis libre de penser que son acte est punissable par le droit et la loi..." a-t-on noté dans L'Obs.