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Abdoulaye Wade : Le dernier combat du vieux lutteur

Rédigé par leral.net le Samedi 10 Mars 2012 à 15:38 | | 6 commentaire(s)|

Par Aziz BANE

Mis en ballotage par Macky Sall alors qu'il clamait urbi et orbi qu'il sera élu au premier tour de la présidentielle 2012, Abdoulaye Wade, pour le même moment sans soutien, aura fort à faire le 18 mars prochain face à son ancien disciple. Créera-t-il la surprise ou prendra-t-il la porte de sortie comme certains le pronostiquent déjà ? En tous les cas, ce sera le dernier combat du vieux gladiateur. Cesti info vous propose à nouveau le portrait du président sortant publié au début de la campagne électorale.


Abdoulaye Wade : Le dernier combat du vieux lutteur
Avec sa participation à l’élection présidentielle du 26 février 2012, le président sortant, Abdoulaye Wade, 86 ans, entame sans nul doute sa septième et dernière campagne électorale, après 1978, 1983, 1988, 1993, 2000 et 2007. Cette fois-ci, il aura fort à faire en raison de la vive contestation du « Mouvement du 23 juin » ou « M 23 » - un agrégat de partis d’opposition et de mouvements de la société civile – et des violences occasionnées par la validation de sa candidature par le Conseil constitutionnel. Son mandat actuel, qui s’achève dans quelques semaines, aura sans doute été plus difficile que le précédent en raison du mécontentement occasionné par la hausse du coût de la vie, les coupures d’électricité et le coup de sang de certains segments de la société sénégalaise comme les transporteurs et les enseignants, sans compter les appels de certains milieux maraboutiques lui demandant de retirer sa candidature. L’opposition pourra-t-elle en tirer profit ? En tous les cas, malgré la baisse de sa cote de popularité chez certains jeunes urbains, malgré le contexte politico-social difficile, Abdoulaye Wade reste un redoutable lutteur, au talent oratoire et à la force financière incontestables, qui a l’expérience des campagnes électorales et qui a eu à affronter de sacrés adversaires comme les présidents Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf. Rusé comme « Leuk-le-lièvre », Ndiombor – un surnom que lui donna le président Senghor - a plus d’un tour dans sa besace.

De brillantes études

Abdoulaye Wade est né le 26 mai 1926 à Saint-Louis. Après de brillantes études primaires à Kébémer, Saint-Louis et Dakar sanctionnées en 1941 par le certificat d’études primaires (Cep), il intègre en 1944 l’Ecole normale William Ponty, creuset de l’élite de l’Afrique occidentale française. En 1947, le diplôme d’instituteur en poche, l’insatiable Abdoulaye Wade se lance à la conquête du baccalauréat qu’il décroche en 1949 comme candidat libre. Après un poste de maître d’internat au lycée Van Vollenhoven de Dakar, il obtient une bourse pour la France. Dans ce pays, il étudie les mathématiques supérieures et générales, la psychologie générale, les sciences économiques et juridiques. Abdoulaye Wade obtient son doctorat de droit et de sciences économiques. Il fait également un stage au barreau de Grenoble avant de rentrer au Sénégal au début des années 1960. Il mène de front une carrière d’avocat et d’universitaire. En 1971, il devient agrégé en droit. Il occupe également le poste de Doyen de la Faculté des Sciences juridiques et économiques de l’Université de Dakar. Sommé par Senghor de choisir entre l’université et son cabinet, Wade opte pour son métier d’avocat et fait de la consultance.

De la « contribution » à l’opposition systématique

Au plan politique, après avoir essuyé un échec à l’Union progressiste sénégalaise (UPS, au pouvoir), Abdoulaye Wade a fonde le 31 juillet 1974 le Parti démocratique sénégalais (PDS), un « parti de contribution », après avoir eu, quelques semaines avant, le feu vert du président Senghor en marge du sommet de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) de Mogadiscio. Parti travailliste à son début, le PDS opte pour le libéralisme conformément à la loi sur le tripartisme – ou les trois courants - de 1976.
Pour sa première participation à la présidentielle de 1978, Abdoulaye Wade ne profite pas de la dégradation de l’environnement économique avec la flambée du prix du pétrole, les grandes sécheresses de 1969 et 1973, les baisses de la production et du cours de l’arachide. De même, les relations difficiles entre le président Senghor et Serigne Abdou Lahat, le Khalife général des mourides, ne profitent pas à Wade qui obtient 17, 38 % des voix. Mais le PDS entre à l’Assemblée nationale.
Le 31 décembre 1980, le président Senghor quitte volontairement le pouvoir. Abdou Diouf, son Premier ministre, lui succède en vertu de l’article 35 de la constitution. A l’élection présidentielle de 1983, Abdoulaye Wade lui fait face. Surfant sur les succès engrangés dans le cadre de certaines initiatives – multipartisme intégral, états généraux de l’éducation et de la formation – et soutenu par la classe maraboutique et par des personnalités de la société civile, Abdou Diouf s’impose face à Abdoulaye Wade.
A la présidentielle de 1988, Abdoulaye Wade croit que son heure est arrivée. Le front social est en ébullition avec les effets désastreux des politiques d’ajustement structurel : grève des étudiants et des élèves, hausse des prix des denrées de première nécessité, augmentation du chômage, etc. Wade bénéficie du soutien de partis significatifs de l’opposition comme le Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) et la Ligue démocratique/ Mouvement pour le Parti du Travail (LD /MPT) ainsi que de celui des jeunes qualifiés de « pseudo jeunesse malsaine » par le président Diouf. Le 29 février 1988, à l’annonce de la victoire du président sortant avec 73, 20 % des voix, des émeutes éclatent à Dakar et dans de grandes villes comme Saint-Louis, Kaolack, Louga, etc. L’état d’urgence est instauré à Dakar. Wade, ses principaux collaborateurs et ses soutiens dans l’opposition sont accusés d’atteinte à la sûreté de l’Etat et embastillés. Le leader « sopiste » est condamné à un an d’emprisonnement avec sursis pour « provocation d’un attroupement non armé ». Malgré la politique d’ouverture du président Abdou Diouf – levée de l’état d’urgence, amnistie générale et ouverture d’une concertation dans le cadre d’une « table ronde – la crise perdure. Ce n’est qu’en 1991 que la tension baisse. Abdoulaye Wade rejoint en avril 1991 le « gouvernement de majorité présidentielle élargie » dirigé par Habib Thiam et occupe le poste de « ministre d'Etat sans portefeuille ». Mais en octobre 1992, il rend le tablier.

Ministre d’Etat sous Abdou Diouf

A la présidentielle de 1993, Abdoulaye Wade est encore deuxième avec 32% derrière le candidat Abdou Diouf qui a obtenu 58%. Aux yeux des jeunes et de la classe moyenne, son combat est délégitimé par sa participation au gouvernement d’Habib Thiam. Il est à nouveau arrêté à la suite de l'assassinat de Me Babacar Sèye, le vice-président du Conseil constitutionnel, après la publication des résultats des élections législatives. Accusé de « complicité d’assassinat » du juge Sèye, il est libéré au bout de cinq jours. En février 1994, à la suite d’une manifestation de l’opposition contre la dévaluation du F CFA – survenue le 11 janvier – six policiers sont assassinés. Wade est envoyé à Reubeuss et ne sera libéré que près de six mois après, à la suite d’une grève de la faim. Il retourne au gouvernement en mars 1995 avec Ousmane Ngom, Idrissa Seck, Aminata Tall et Massokhna Kane. Le PDS quitte le gouvernement quelques semaines avant les élections législatives de 1998. Au cours de celles-ci, il n’obtient que 23 sièges contre 25 au cours de la législature précédente. La crise s’installe au sein du parti. Ousmane Ngom accuse Wade de « dérive monarchique », claque la porte pour créer le Parti libéral sénégalais (PLS). Idrissa Seck est promu n° 2 du PDS.

An 2000 : le déboulonnage du baobab socialiste

A la présidentielle de l’an 2000, soutenu par les partis de la gauche sénégalaise comme le PIT, la LD/MPT et AJ/PADS dans le cadre de la « Coalition alternance 2000 » et face à un PS affaibli par les départs de poids lourds comme Djibo Ka et Moustapha Niasse, Abdoulaye Wade prend sa revanche sur Abdou Diouf, le 19 mars 2000, au second tour avec 51, 84 % des suffrages, grâce au soutien du Front pour l’Alternance (FAL) regroupant toutes les forces de l’opposition, à l’exception de Djibo Kâ. C’est la première alternance de l’histoire politique du Sénégal. Cette alternance a été rendue possible par une prise de conscience citoyenne et par le rôle joué par les médias privés dans l’information d’un large public d’analphabètes.
Malgré le départ de ses alliés et l’éclatement du front anti-Diouf aux premières années de l’alternance, sa rupture avec son « fils d’emprunt Idrissa Seck », n° 2 du PDS, en dépit également des nombreuses morts enregistrés dans le cadre de l’émigration clandestine, des scandales politico-financiers, Abdoulaye Wade rempile au premier tour de la présidentielle de 2007, face à une opposition divisée et sans leader charismatique. Il obtient 55 % des suffrages. Sa campagne axée sur les « projets » et les nombreux chantiers ouverts dans la capitale sénégalaise, Dakar, ont joué en faveur d’Abdoulaye Wade. Sans compter les résultats qu’il a obtenus à travers le « plan sésame », l’augmentation de la part réservée à l’éducation dans le budget national (40%) et la hausse des salaires de certains segments de l’administration comme les magistrats, les universitaires et les enseignants du secondaire-moyen et de l’élémentaire. L’opposition conteste sa légitimité et boycotte les législatives de 2007.
Ce mandat de Wade est marqué par des problèmes sociaux occasionnés par la crise financière et énergétique mondiale. La vie devient chère pour les Sénégalais, également confrontés à des coupures d’électricité. Au moment où Wade se lance dans des dépenses somptueuses comme l’organisation du Festival mondial des Arts nègres (FESMAN) et la construction du monument de la renaissance africaine. La colère populaire est marquée par l’irruption sur la scène publique de nouvelles figures de la contestation, en marge des partis politiques, qui mettent en œuvre à la fois des procédures violentes à travers la manifestation d’un ras-le-bol ou l’explosion d’un trop plein de frustrations (marchands ambulants, émeutes de la faim, celles de l’électricité) et non violentes ou citoyennes (Mouvement « Y en a marre », Imams du « Collectif des quartiers de Guédiawaye », etc.). Ces derniers acteurs réclament une rupture avec une certaine conception de la politique et un véritable Etat de droit.

18 mars 2012, le chant du cygne ?

Au plan politique, la cote d’alerte est atteinte avec la défaite du PDS aux élections locales. L’opposition reprend l’initiative et organise avec la société civile, les « Assises nationales ». Le PDS enregistre le départ de poids lourds comme Macky Sall qui crée l’Alliance pour la République (APR) et Aminata Tall. Sans compter que Idrissa Seck revenu au bercail, se radicalise dans son combat contre la « dévolution monarchique » du pouvoir. Le 23 juin 2011, la contestation se ravive suite à la décision du président Wade de modifier la constitution. L’opposition et la société civile remporte une éclatante victoire et mettent sur pied le « M 23 » dont l’objectif est de s’opposer à un troisième mandat du Wade jugé anticonstitutionnel par les universitaires spécialistes en droit constitutionnel. Le 27 janvier 2012, le Conseil Constitutionnel valide la candidature de Wade. Cela provoque des manifestations violentes dans tout le pays avec leur lot de morts. Ce qui oblige Abdoulaye Wade à devoir livrer la mère des batailles. Ironie de l'histoire, ce sera face à son "apprenti" Macky Sall.



1.Posté par Haby DIA le 10/03/2012 21:43 | Alerter
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Cheikh Yerim SECK, le bras armé de Wade cherche t il à discréditer Idrissa SECK ?
Après s’être formé à Jeune Afrique dont les pratiques sont connues de tout le monde, Cheikh Yérim SECK (CYS) continue, avec son site dakaractu, ces pratiques peu orthodoxes qui rompent d’avec la déontologie journalistique.

Après avoir rencontré nuitamment le Président Abdoulaye Wade, le site dakaractu nous livre en exclusivité l’entretien qui sonne le début du compagnonnage payant entre Abdoulaye Wade et le mercenaire CYS.

Le jeudi 26 Janvier 2012 il nous livre la première partie de cette interview qui sonne comme une propagande déguisée. Mieux, celui qui aurait reçu de l’argent de Wade, attendra le Mardi 21 Fevrier 2012 soit cinq jours avant le début de l’élection présidentielle et un mois après la première partie, pour nous livrer la seconde partie de cette interview. Une manière de jouer sa partition et de respecter ses engagements surtout quand on sait que dans cette seconde partie le pape du sopi nous livre une partie importante de son programme de campagne et essaie de justifier la décision, controversée, du Conseil Constitutionnel et promet aux électeurs de ne faire au plus que trois ans des sept que lui confèrent la constitution s’il est élu.

Mais CYS ne s’arrêtera pas là. Après la débâcle du PDS ayant conduit son candidat au second tour, le mercenaire de la plume choisit de s’attaquer à Idrissa SECK après avoir tenté de semer le doute sur les choix politiques du maire de Thiès.

Dans un article intitulé « Idrissa Seck va-t-il soutenir Macky Sall ? » paru le Jeudi 1 Mars 2012 dans son site à la rubrique Yerimpost, il tente de saper le moral des plus de 200 000 sénégalais qui ont porté leur choix sur le Maire de Thies. Il écrit « Ce que Mbacké Seck a dit tout haut, tout l’appareil militant de Rewmi le pense tout bas ». Il continue « On se demande d’ailleurs si Idy ne le pense pas lui-même, n’imaginant pas une personne de son parti faisant une telle sortie, alors qu’il le dirige d’une main de fer ». Il dit ainsi en filigrane que ce que Mbacké SECK, responsable de Rewmi, a dit, c’est ce que pense réellement Idrissa SECK. Pour ainsi mieux brouiller les pistes, il continue ses allégations mensongères, toujours dans le même article, en déclarant « S’il a rencontré un proche de Macky Sall à qui il a confié qu’il soutenait le challenger de Wade en vue du second tour, une grande conviction n’a pas transpiré de ces propos. » Il affirme ainsi, sans le dire, que les propos de Idrissa SECK n’étaient pas sincères.

Dans un autre article paru dans son site le Vendredi 02 Mars 2012 et intitulé « Macky Sall - Idrissa Seck: les dessous d'un rendez-vous manqué » et signé de lui-même, il continue sa nauséabonde propagande en affirmant qu’ « Après avoir reçu une offre de discussion ( de Macky SALL le Jeudi 01 Mars 212), Idrissa Seck a fait le mort jusqu'en début d'après-midi où son protocole a appelé celui de Macky Sall pour transmettre pareil message: "Idrissa Seck n'est pas encore prêt à recevoir Macky Sall ». Il qualifie cette réponse de « diplomatique » insinuant que Idrissa SECK n’a fait, par ce geste, que rejeter l’offre de Macky SALL. Et pour mieux appuyer la thèse d’un deal qui se préparerait entre le Président de Rewmi et Abdoulaye Wade, CYS assène que « des avancées dans les pourparlers entre Idrissa Seck et les émissaires d'Abdoulaye Wade » ont conduit à ce refus « diplomatique ».

Cependant, comme le mensonge ne remporte jamais son duel face à la vérité, le même jour (Vendredi 02 Mars 2012), Idrissa SECK annonçait son soutien sans condition à Macky SALL, arguant que l’intérêt du peuple prime sur tout autre intérêt.

Mais, le démagogue ne s’arrête toujours pas. Dans un article paru le lendemain et plus précisément le Lundi 05 Mars 2012 et intitulé (Que faisait Pape Samba Mboup chez Idrissa Seck samedi après-midi ? rubrique Yerimpost), il écrit « On croyait que la messe était dite depuis vendredi, à l’instant où Macky Sall avait rencontré Idrissa Seck chez lui et l’avait entendu prononcer les mots de ralliement à la cause commune ». Il sous entend ainsi et sans pudeur que les pourparlers entre Idrissa SECK et Abdoulaye Wade continuaient malgré la déclaration publique du candidat de la coalition Idy4president de soutenir celui de la coalition Macky2012.
Dans le même article il déclare, sans en apporter la preuve et toujours pour discréditer Idrissa SECK au profit de son candidat Abdoulaye Wade qu’ « Il semble toutefois qu’Abdoulaye Wade n’ait pas encore renoncé à faire revenir son ancien poulain à son giron libéral et qu’il n’ait pas encore dit son dernier mot. ».

Celui qui n’écrit que pour de l’argent, sentant que sa stratégie n’était plus en phase avec les faits puisque Idrissa Seck a définitivement rompu les amarres avec son ancien parti le PDS, tente de justifier autrement la décision prise par Mara. Dans un article intitulé « Exclusif! Qu'est-ce qui a fait perdre Idrissa Seck à Abdoulaye Wade ? » paru le Mardi 06 Mars 2012, dans la rubrique yerimpost de son site d’information, il martèle péremptoirement « Contrairement à une opinion répandue, le choix de l'entre-deux-tours d'Idrissa Seck n'a pas été automatique, encore moins facile » avant de conclure « pendant des jours (Idrissa SECK a hésité) entre le choix de la cohérence (Macky Sall) et celui de la stratégie politique (Abdoulaye Wade). » Ces propos sont des pures mensonges surtout quand on sait que le porte parole de Idrissa, Abdourahmane Diouf, avait déclaré dés l’annonce des premières tendances, sur le plateau de Walf TV, que Rewmi respecterait, sans conditions, ses engagements d’avant élection à savoir soutenir le candidat de l’opposition le mieux placé au second tour. Malgré tous ces faits CYS, le surmoi, affirme que c’est parce que Madické Niang, émissaire de Wade, rendait compte à Karim Wade, qu’« Idrissa Seck s'est braqué » et a appelé Macky Sall le Vendredi 02 Mars 2012 pour le soutenir.

Ce mercenaire sans pudeur doit savoir qu’il dégage l’odeur nauséabonde des caniveaux et que sa démarche mesquine pour discréditer Idrissa SECK ne passera pas. Il peut continuer jour après jour a débité des contre vérités, mais jamais sa démarche ne prospérera. Idrissa SECK a choisi de sacrifier ses intérêts politiques au profit de ceux du peuple sénégalais et en homme d’état il a fait le meilleur choix. Quant à son candidat il doit se rendre à l’évidence et savoir que la messe est dite et que les sénégalais souhaitent un changement.

Les lecteurs de dakaractu doivent aussi savoir, que CYS tente de les manipuler, avec des articles bidons qui se contredisent les uns aux autres.

Haby Sirah DIA
habysirahdia@yahoo.fr

2.Posté par Papon le 11/03/2012 01:22 | Alerter
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Abdoulaye Wade mi amoul diom amoul dignite. 86 ans ngaye kheutio ngour. Nitt dafaye doylou te am ngorr. Badola rek moye deff des choses comme ca. Nitt day am loumouye rouss.

3.Posté par schwarzeraal le 11/03/2012 09:51 | Alerter
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il a peur d´etre poursuivi pour vol. il s´accroche pour gagner du temps et sauver son clan. il ne peut plus mais il doit etre maintenu par son parti comme dans les anciens regimes communistes.

4.Posté par Famille de victime du Naufrage du Joola le 11/03/2012 10:39 | Alerter
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TANT DE MORTS SOUS LE REGIME DES WADE....CES FANTOMES QUI HANTENT....
IL Y A DE LA FRANCAFRIQUE DANS LA GESTION DU DRAME DU JOOLA.... LES FAMILLES DE VICTIMES VOUDRAIENT CROIRE A UNE JUSTICE INDEPENDANTE EN FRANCE ET UN PRESIDENT QUI NE MEPRISERA PAS SON PEUPLE ET RESPECTERA LES DROITS DE L'HOMME. EN SERA-T-IL AINSI ????
LE NAUFRAGE DU JOOLA 26 SEPTEMBRE 2002 AU SENEGAL, près de 2000 victimes mortes dans d'atroces souffrances ....... FAMILLES DE VICTIMES : NOS ENFANTS ONT BESOIN DE NOUS, DE LA VERITE....ET D'UNE JUSTICE INDEPENDANTE....
Ils sont partis dans la plus grande catastrophe maritime civile mondiale à ce jour et nous nous devons de refuser la fatalité.... refuser que l'on dise "c'est l'Afrique". Il n'y a pas de couleur de peau dans la souffrance, dans le coeur d'une mère, d'un père, d'un proche, d'un ami.... soyons unis pour que la vérité surgisse... soyons unis pour une justice indépendante....soyons responsables afin que nos enfants soient fiers de leurs parents.
TOUS, du Président, son fils, aux ministres savaient que le bateau n'était plus navigable et pourtant il a été remis en rotation malgré une importante avarie le 10 septembre 2002, le 26 septembre 2002 il chavirait faisant près de 2000 victimes mortes dans d'atroces souffrances.
Pourquoi les secours que 18 h après, pourquoi on a refusé que les forces françaises basées à Dakar interviennent ? Pourquoi l'affaire a été classée au Sénégal en 2003 ?

5.Posté par Famille de victime du Naufrage du Joola le 11/03/2012 10:39 | Alerter
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suite : Pourquoi tant de pressions diplomatiques (au nom des intérêts économiques et politiques-françafrique) pour faire annuler les mandats et faire reculer sans cesse la vérité et la justice....
DIEU EST GRAND ET IL SAURA APPORTER VERITE ET JUSTICE
DES FAMILLES DE VICTIMES DETERMINEES.

MERCI D'HONORER LA MEMOIRE DES DISPARUS : RECHERCHER sur Youtube des vidéos sur le naufrage du Joola au LENDEMAIN DU DRAME, des images douloureuses et des témoignages très forts dont certains qui confirment que l'état était au courant très tôt.... et des témoignages qui accusent le pouvoir sénégalais.

6.Posté par Famille de victime du Naufrage du Joola le 11/03/2012 10:40 | Alerter
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UN POOL D'AVOCATS SENEGALAIS ET DEUX AVOCATS FRANCAIS PAYES SUR LES DENIERS PUBLICS PAR LE PRESIDENT WADE POUR FAIRE ANNULER LA PROCEDURE JUDICIAIRE EN FRANCE.
IL Y A DE LA FRANCAFRIQUE DANS LA GESTION DU DRAME DU JOOLA....

Si on se référe à l'affaire BOURGI, son avocat Me DUPONT MORETTI, en FACE Me FARTHOUAT pour Karim WADE, CES MEMES AVOCATS CONTRE L'ASSOCIATION DES FAMILLES DE VICTIMES FRANCAISES DU NAUFRAGE DU JOOLA qui a fait 2000 victimes en 2002 pour faire annuler la procédure judiciaire en France.
UNE EPINE ENTRE LA FRANCE ET LE SENEGAL. AU VUE DES DECLARATIONS DE M. BOURGI CONCERNANT LES FINANCEMENTS OCCULTES EN 2002 : ON PEUT SUPPOSER TRES PROBABLEMENT UNE DES RAISONS POUR LAQUELLE LE PRESIDENT CHIRAC A BACHE LE NAUFRAGE DU JOOLA SURVENU LE 26/09/2002 LA PLUS GRANDE CATASTROPHE MARITIME CIVILE MONDIALE A CE JOUR.... NAUFRAGE DU JOOLA 26/09/2002 près de 2000 victimes, 13 nationalités,
MAIS DES FAMILLES DE VICTIMES UNIES ET DETERMINEES. LES INTERETS ECONOMIQUES ET POLITIQUES (Françafrique) doivent- ils entraver la vérité et la justice et bafouer les droits de l’homme.
UNE EPINE ENTRE LE SENEGAL ET LA FRANCE..... CES FANTOMES QUI HANTENT….. DIEU EST GRAND ET IL SAURA APPORTER VERITE ET JUSTICE.

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