Abdoulaye Wade et le P.D.S. et leurs alliés sont devenus le cauchemar des Sénégalais. Depuis l’avènement de l’alternance, qui était censé inaugurer une ère nouvelle faite de prospérité, de justice, de progrès, de bonheur, des pans entiers de notre société ont déchanté. La misère et la précarité sont devenues le lot de millions de Sénégalais qui ont vu leurs suffrages, donc leurs volontés, détournés. Tous les moyens, toutes les ressources dont dispose l’Etat sont mis à profit à la seule fin de faire avaler aux Sénégalais ce mensonge qui consiste à dire que le Sénégal est un pays émergent. Ils ne trompent personne.
Quatre siècles d’esclavage et de colonisation, quatre décennies de règne socialiste n’ont pas eu raison des braves Sénégalais que nous sommes. Mais il a suffi d’une seule décennie de pouvoir libéral pour nous faire perdre nos illusions, nos rêves et nos espoirs. Tel un tsunami venu des enfers, Abdoulaye Wade et ses acolytes ont tout dévasté sur leur passage. Les plaintes, les gémissements, les pleurs, les cris jaillissent de partout et inondent les maisons, les rues, les marchés, les télés, les radios, les journaux, les mosquées et les églises. Les jeunes comprennent seulement maintenant pourquoi les moins jeunes ne voulaient pas, alors pas du tout, de ce bonhomme chauve au regard de lynx et à la langue de vipère. D’aucuns n’hésitaient même pas à le comparer au diable. L’histoire nous montre qu’à chaque fois qu’un homme a voulu dépasser le pouvoir de son pays, il n’a réussi qu’à installer le chaos et la catastrophe.
La majorité de l’opposition regroupée au sein de Benno porte une grande part de responsabilité dans la situation actuelle du pays. C’est Bathily, Landing, Dansokho et compagnie qui sont allés chercher le Pape du Sopi, politiquement mourant, pour lui donner un pays qu’il avait perdu tout espoir de diriger un jour. On ne voulait pas de Wade, on voulait simplement une situation meilleure pour nos pères, nos mères, nos enfants. Mais en fait de changement, c’est sa situation à lui Abdoulaye Wade et sa famille biologique et politique qui a changé, au grand dam de ses alliés des premières heures de l’alternance. On le sait, en politique, la communauté des haines fait presque toujours le fond des amitiés, et Benno Siggil Sénégal n’est que le résultat de ces haines et déceptions. Ils ne se préoccupent pas le moins du monde de la situation des Sénégalais. Benno est un attelage de leaders sans envergure, incapables de se relever de leurs erreurs de calculs politiques.
P.D.S et A.S.T et nombreux au sein de Benno trainent des casseroles aussi bruyantes que le plus assourdissant des tonnerres. Qu’attendent-ils pour rendre des comptes aux Sénégalais ? Que ne font-ils pas leur mea culpa ? Pourquoi les procureurs de la République ne s’autosaisissent pas, ou faut-il que le peuple leur procure les preuves pour le faire ?
Le Parti du Nouveau Centre du Sénégal s’est joint aux Sénégalais afin de reprendre les choses en main et de mettre un terme, brutal si besoin en est, à cette politique de piétinement de notre dignité, de destruction de notre fierté, d’anéantissement de notre espoir, de négation de notre bon droit tout court.
ferloo.com
Quatre siècles d’esclavage et de colonisation, quatre décennies de règne socialiste n’ont pas eu raison des braves Sénégalais que nous sommes. Mais il a suffi d’une seule décennie de pouvoir libéral pour nous faire perdre nos illusions, nos rêves et nos espoirs. Tel un tsunami venu des enfers, Abdoulaye Wade et ses acolytes ont tout dévasté sur leur passage. Les plaintes, les gémissements, les pleurs, les cris jaillissent de partout et inondent les maisons, les rues, les marchés, les télés, les radios, les journaux, les mosquées et les églises. Les jeunes comprennent seulement maintenant pourquoi les moins jeunes ne voulaient pas, alors pas du tout, de ce bonhomme chauve au regard de lynx et à la langue de vipère. D’aucuns n’hésitaient même pas à le comparer au diable. L’histoire nous montre qu’à chaque fois qu’un homme a voulu dépasser le pouvoir de son pays, il n’a réussi qu’à installer le chaos et la catastrophe.
La majorité de l’opposition regroupée au sein de Benno porte une grande part de responsabilité dans la situation actuelle du pays. C’est Bathily, Landing, Dansokho et compagnie qui sont allés chercher le Pape du Sopi, politiquement mourant, pour lui donner un pays qu’il avait perdu tout espoir de diriger un jour. On ne voulait pas de Wade, on voulait simplement une situation meilleure pour nos pères, nos mères, nos enfants. Mais en fait de changement, c’est sa situation à lui Abdoulaye Wade et sa famille biologique et politique qui a changé, au grand dam de ses alliés des premières heures de l’alternance. On le sait, en politique, la communauté des haines fait presque toujours le fond des amitiés, et Benno Siggil Sénégal n’est que le résultat de ces haines et déceptions. Ils ne se préoccupent pas le moins du monde de la situation des Sénégalais. Benno est un attelage de leaders sans envergure, incapables de se relever de leurs erreurs de calculs politiques.
P.D.S et A.S.T et nombreux au sein de Benno trainent des casseroles aussi bruyantes que le plus assourdissant des tonnerres. Qu’attendent-ils pour rendre des comptes aux Sénégalais ? Que ne font-ils pas leur mea culpa ? Pourquoi les procureurs de la République ne s’autosaisissent pas, ou faut-il que le peuple leur procure les preuves pour le faire ?
Le Parti du Nouveau Centre du Sénégal s’est joint aux Sénégalais afin de reprendre les choses en main et de mettre un terme, brutal si besoin en est, à cette politique de piétinement de notre dignité, de destruction de notre fierté, d’anéantissement de notre espoir, de négation de notre bon droit tout court.
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