‘’L’accord que vous avez réalisé, vous les envoyés ici au Sénégal, je voudrais donc dire sur ce plan, c’est un grand jour. C’est un jour où la Mauritanie se réconcilie avec elle-même à travers ses forces politiques’’, a dit Abdoulaye Wade.
Les trois pôles politiques mauritaniens ont conclu, mardi à Dakar, six jours de négociations en signant un accord de sortie de crise, en présence du facilitateur, le chef de l’Etat sénégalais Abdoulaye Wade.
L’accord cadre prévoit la constitution d’un gouvernement transitoire d’union nationale et la constitution de la Commission électorale nationale. Il stipule aussi le report du premier tour de l’élection présidentielle initialement prévu le 6 juin jusqu’au 18 juillet et, au cas échéant, l’organisation d’un second tour, le 1-er août prochain.
Le Premier ministre de la transition sera choisi dans le camp du général Mohamed Ould Abdelaziz, auteur du putsch qui a renversé le premier président démocratiquement élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
‘’Nous savons combien il a été difficile d’amener chacun d’entre vous à ce document. Ça a été élaboré de manière intelligente et avec de générosité par la communauté internationale’’, a expliqué le chef de l’Etat.
Selon M. Wade, la communauté internationale représentée par le Groupe de contact international (GCI) ne s’est pas arrêtée aux ‘’détails’’.
‘’Il est de mon devoir de vous donner des conseils, les accords sont fragiles. Il ne faut pas se faire des illusions. Tout accord est fragile. C’est à nous d’éviter les écueils. Parmi les écueils, il y a la mauvaise information. La mauvaise information peut avoir des conséquences sur tous les accords’’, a insisté le président Wade.
Le chef de l’Etat sénégalais a par ailleurs demandé aux acteurs politiques mauritaniens d’éviter de faire des déclarations.
Les trois pôles de la vie politique mauritanienne qui obtenu l’accord de Dakar sont le Front national de défense de la démocratie (FNDD), le Rassemblement des forces démocratique (RFD) et la mouvance du général Mohamed Ould Abdelaziz.
L’accord de Dakar sera signé mercredi à Nouakchott.
Les trois pôles politiques mauritaniens ont conclu, mardi à Dakar, six jours de négociations en signant un accord de sortie de crise, en présence du facilitateur, le chef de l’Etat sénégalais Abdoulaye Wade.
L’accord cadre prévoit la constitution d’un gouvernement transitoire d’union nationale et la constitution de la Commission électorale nationale. Il stipule aussi le report du premier tour de l’élection présidentielle initialement prévu le 6 juin jusqu’au 18 juillet et, au cas échéant, l’organisation d’un second tour, le 1-er août prochain.
Le Premier ministre de la transition sera choisi dans le camp du général Mohamed Ould Abdelaziz, auteur du putsch qui a renversé le premier président démocratiquement élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
‘’Nous savons combien il a été difficile d’amener chacun d’entre vous à ce document. Ça a été élaboré de manière intelligente et avec de générosité par la communauté internationale’’, a expliqué le chef de l’Etat.
Selon M. Wade, la communauté internationale représentée par le Groupe de contact international (GCI) ne s’est pas arrêtée aux ‘’détails’’.
‘’Il est de mon devoir de vous donner des conseils, les accords sont fragiles. Il ne faut pas se faire des illusions. Tout accord est fragile. C’est à nous d’éviter les écueils. Parmi les écueils, il y a la mauvaise information. La mauvaise information peut avoir des conséquences sur tous les accords’’, a insisté le président Wade.
Le chef de l’Etat sénégalais a par ailleurs demandé aux acteurs politiques mauritaniens d’éviter de faire des déclarations.
Les trois pôles de la vie politique mauritanienne qui obtenu l’accord de Dakar sont le Front national de défense de la démocratie (FNDD), le Rassemblement des forces démocratique (RFD) et la mouvance du général Mohamed Ould Abdelaziz.
L’accord de Dakar sera signé mercredi à Nouakchott.