« Aujourd’hui l’Afrique doit développer le solaire », domaine de l’énergie dans lequel les pays du continent sont « les mieux placés. Nous en avons à foison », a déclaré le président Wade dans des propos rapportés dimanche par la Télévision publique sénégalaise (RTS).
« L’Europe est en train de développer des centrales solaires au Sahara, qui est notre Sahara », a-t-il observé, ajoutant que sa position sur cette question, « en attendant que tout le monde l’adopte », c’est que si les Européens se construisent une centrale solaire au Sahara, ils doivent également en construire une pour l’Afrique.
Les Européens, Allemands en tête, envisagent de construire au Sahara la plus grande centrale solaire du monde, en partant du fait que Si 0.3% du désert Saharien était utilisé pour fournir de l’énergie, via des centrales solaires, cela permettrai d’alimenter par exemple toute l’Europe en énergie renouvelable.
Selon un communiqué du Conseil des ministres sénégalais, le président Wade a fait une présentation sur « les énergies renouvelables » au cour de la séance à huis clos du Sommet spécial organisé du 2 au 3 juillet au Cap-Vert.
« Cette communication reprend la proposition qu’il a déjà faite au Sommet Mondial de Copenhague sur les changements climatiques, à savoir que l’Afrique doit s’engager dans la bataille du solaire non seulement parce que c’est l’énergie la plus abondante, la moins chère, mais aussi parce que c’est une exigence pour rendre l’industrie africaine plus concurrentielle et plus résistante face aux chocs exogènes », rapporte cette source officielle.
« Le Président WADE a expliqué que l’Afrique peut s’équiper en solaire sans solliciter les budgets des Etats grâce à un montage financier qu’il exposera aux chefs d’Etat à la fin des études qu’il est en train de mener sur la question », a ajouté le communiqué du Conseil des ministres.
Le sommet a ainsi retenu de donner mandat au Président Wade « pour réaliser les centrales solaires qu’il propose en faveur de l’Afrique de l’Ouest afin de lui assurer l’autosuffisance en énergie solaire propre et très bon marché. »
Les Etats membres ont été aussi invités à désigner chacun auprès de lui un ingénieur en énergie solaire si possible et un financier ou expert-comptable en vue de la constitution d’une Commission du solaire opérant sous sa présidence et son autorité.
« L’Europe est en train de développer des centrales solaires au Sahara, qui est notre Sahara », a-t-il observé, ajoutant que sa position sur cette question, « en attendant que tout le monde l’adopte », c’est que si les Européens se construisent une centrale solaire au Sahara, ils doivent également en construire une pour l’Afrique.
Les Européens, Allemands en tête, envisagent de construire au Sahara la plus grande centrale solaire du monde, en partant du fait que Si 0.3% du désert Saharien était utilisé pour fournir de l’énergie, via des centrales solaires, cela permettrai d’alimenter par exemple toute l’Europe en énergie renouvelable.
Selon un communiqué du Conseil des ministres sénégalais, le président Wade a fait une présentation sur « les énergies renouvelables » au cour de la séance à huis clos du Sommet spécial organisé du 2 au 3 juillet au Cap-Vert.
« Cette communication reprend la proposition qu’il a déjà faite au Sommet Mondial de Copenhague sur les changements climatiques, à savoir que l’Afrique doit s’engager dans la bataille du solaire non seulement parce que c’est l’énergie la plus abondante, la moins chère, mais aussi parce que c’est une exigence pour rendre l’industrie africaine plus concurrentielle et plus résistante face aux chocs exogènes », rapporte cette source officielle.
« Le Président WADE a expliqué que l’Afrique peut s’équiper en solaire sans solliciter les budgets des Etats grâce à un montage financier qu’il exposera aux chefs d’Etat à la fin des études qu’il est en train de mener sur la question », a ajouté le communiqué du Conseil des ministres.
Le sommet a ainsi retenu de donner mandat au Président Wade « pour réaliser les centrales solaires qu’il propose en faveur de l’Afrique de l’Ouest afin de lui assurer l’autosuffisance en énergie solaire propre et très bon marché. »
Les Etats membres ont été aussi invités à désigner chacun auprès de lui un ingénieur en énergie solaire si possible et un financier ou expert-comptable en vue de la constitution d’une Commission du solaire opérant sous sa présidence et son autorité.