Abdoulaye Wilane a raté une bonne occasion de se taire ! Grande gueule du PS, connu pour avoir l’habitude de constamment parler à tort et à travers, à chaque fois qu’il ouvre la bouche, c’est pour énoncer des inepties. Mais cette fois, il a dépassé d’un cran les limites admissibles. D’emblée dans son interview, de manière préméditée, il a aussitôt violemment mis en cause le patriotisme, ce sentiment d’attachement à la communauté nationale à laquelle on appartient et qui se manifeste par le désir de la servir et la défendre, de deux anciens Premier Ministre de la République, oubliant de manière certaine dans son délire, que les deux personnalités incriminés ont été les Chefs de la Primature, deuxième organisme officiel de l’Etat républicain, dont le premier rôle inscrit dans leur mission est de défendre les principes et valeurs républicains mais aussi l’exigence de justice sociale.
La mise en cause du patriotisme de deux personnalités est à la fois grave et lourde de conséquences, dont le porte-parole adjoint du Parti socialiste pourrait répondre devant la loi. Car il est inadmissible et inacceptable de s’attaquer au sentiment d’attachement national d’un citoyen ordinaire à plus forte raison que de personnalités importantes. Il est surtout grand temps que « ce fou du roi » comprenne qu’il y a des limites dans ses délires qu’on ne peut dépasser, dans un pays en Etat de droit. L’inconscience de ses propos ahurissants : « peut-être que c’est au contact du Parti socialiste, qu’ils ont été convertis à la République », qui frappe par son évidence et s‘impose à l‘esprit, démontre le manque de logique d’Abdoulaye Wilane.
En conséquence, si le porte-parole adjoint du PS considère de droit que, sans concertation, son mentor Ousmane Tanor Dieng est d’autorité le meilleur choix pour Bennoo, c’est le degré extrême de l’absurdité ! S’il ne se complait que dans la polémique, au lieu de croire que ce n’est qu’ensemble et tous solidaires pour le Sénégal, que nous retrouverons au sein de Bennoo la confiance et l’espoir, il préfère commettre un acte majeur résultant d’un comportement inqualifiable, par une violente attaque, en dehors de toute règle contre deux candidats déclarés à la présidence de 2012.
Wilane s’enrage et se rue toujours vers des directions parfois très opposées. C’est comme un grand malentendu posé sur un hurluberlu ou un incompris. Ce n’est pas Abdoulaye Wilane qui est complexe, c’est notre relation avec ses ambivalences et ses sorties d’une agressivité violente et véhémente, qui le desservent et font de lui un personnage antipathique.
Après un très long règne et sans partage, qui a duré quarante années, au cours desquelles les dirigeants du Parti socialiste étaient sur un petit nuage… est brusquement apparu en 2000, par la volonté souveraine du peuple sénégalais, le moment de pénitence qui, si l’on y prend garde, risque de durer très longtemps. Car les Sénégalais sont loin d’avoir la mémoire courte, ils n’ont rien oublié de la gestion catastrophique du système socialiste et des souffrances, auxquelles ils étaient tous les jours, sans exception, à un degré excessif, confrontés.
Cellule de Communication
CCR de France
La mise en cause du patriotisme de deux personnalités est à la fois grave et lourde de conséquences, dont le porte-parole adjoint du Parti socialiste pourrait répondre devant la loi. Car il est inadmissible et inacceptable de s’attaquer au sentiment d’attachement national d’un citoyen ordinaire à plus forte raison que de personnalités importantes. Il est surtout grand temps que « ce fou du roi » comprenne qu’il y a des limites dans ses délires qu’on ne peut dépasser, dans un pays en Etat de droit. L’inconscience de ses propos ahurissants : « peut-être que c’est au contact du Parti socialiste, qu’ils ont été convertis à la République », qui frappe par son évidence et s‘impose à l‘esprit, démontre le manque de logique d’Abdoulaye Wilane.
En conséquence, si le porte-parole adjoint du PS considère de droit que, sans concertation, son mentor Ousmane Tanor Dieng est d’autorité le meilleur choix pour Bennoo, c’est le degré extrême de l’absurdité ! S’il ne se complait que dans la polémique, au lieu de croire que ce n’est qu’ensemble et tous solidaires pour le Sénégal, que nous retrouverons au sein de Bennoo la confiance et l’espoir, il préfère commettre un acte majeur résultant d’un comportement inqualifiable, par une violente attaque, en dehors de toute règle contre deux candidats déclarés à la présidence de 2012.
Wilane s’enrage et se rue toujours vers des directions parfois très opposées. C’est comme un grand malentendu posé sur un hurluberlu ou un incompris. Ce n’est pas Abdoulaye Wilane qui est complexe, c’est notre relation avec ses ambivalences et ses sorties d’une agressivité violente et véhémente, qui le desservent et font de lui un personnage antipathique.
Après un très long règne et sans partage, qui a duré quarante années, au cours desquelles les dirigeants du Parti socialiste étaient sur un petit nuage… est brusquement apparu en 2000, par la volonté souveraine du peuple sénégalais, le moment de pénitence qui, si l’on y prend garde, risque de durer très longtemps. Car les Sénégalais sont loin d’avoir la mémoire courte, ils n’ont rien oublié de la gestion catastrophique du système socialiste et des souffrances, auxquelles ils étaient tous les jours, sans exception, à un degré excessif, confrontés.
Cellule de Communication
CCR de France