Selon l’Ong, il a été, en effet, rapporté par les candidats non retenus, que plus de 900 000 électeurs ne figuraient pas dans le fichier électoral lors de l’examen des parrainages. Ce fait peut-être dû à des défauts sur la saisie des informations, ainsi qu'à d’autres causes inconnues.
Mais en tout état de cause, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) tient à rappeler que des correctifs doivent être apportés, afin de permettre à toutes ces personnes dont la carte d’électeur prévoit un lieu et un bureau de vote, d’accomplir leur droit, même s’il faille les rajouter sur les listes de leur bureau, le jour du scrutin.
Par ailleurs, l’Ong attire l’attention sur le droit de vote des personnes détenues dans les lieux de privation de libertés, ne faisant pas l’objet de condamnation définitive. Comme précisé dans son communiqué du 21 décembre 2023, ces personnes jouissent toujours de leurs droits civils et politiques, malgré qu’elles soient dans les liens de la détention. Elles doivent ainsi exercer leur droit de vote, au même titre que tous les autres citoyens Sénégalais.
A ce titre, le Bureau exécutif de Action pour les Droits Humains et l’Action interroge l'autorité, afin de savoir si des mesures sont prises pour permettre aux détenus d’exercer leur droit de vote le 24 mars 2024.
Dans le cas où aucune mesure ne serait prévue, l’ONG suggère de profondes réformes post-électorales, afin de prendre en charge ces questions fondamentales.
En conclusion, l’ADHA interpelle les différentes autorités pour la correction de tous ces manquements, à travers des procédés alternatifs, visant non seulement à permettre l’exercice du droit de vote, mais également à garantir l’égalité des citoyens.
Mais en tout état de cause, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) tient à rappeler que des correctifs doivent être apportés, afin de permettre à toutes ces personnes dont la carte d’électeur prévoit un lieu et un bureau de vote, d’accomplir leur droit, même s’il faille les rajouter sur les listes de leur bureau, le jour du scrutin.
Par ailleurs, l’Ong attire l’attention sur le droit de vote des personnes détenues dans les lieux de privation de libertés, ne faisant pas l’objet de condamnation définitive. Comme précisé dans son communiqué du 21 décembre 2023, ces personnes jouissent toujours de leurs droits civils et politiques, malgré qu’elles soient dans les liens de la détention. Elles doivent ainsi exercer leur droit de vote, au même titre que tous les autres citoyens Sénégalais.
A ce titre, le Bureau exécutif de Action pour les Droits Humains et l’Action interroge l'autorité, afin de savoir si des mesures sont prises pour permettre aux détenus d’exercer leur droit de vote le 24 mars 2024.
Dans le cas où aucune mesure ne serait prévue, l’ONG suggère de profondes réformes post-électorales, afin de prendre en charge ces questions fondamentales.
En conclusion, l’ADHA interpelle les différentes autorités pour la correction de tous ces manquements, à travers des procédés alternatifs, visant non seulement à permettre l’exercice du droit de vote, mais également à garantir l’égalité des citoyens.