Les membres de la Ligue sénégalaise des droits humains sont à la fois amers et tristes des nombreux cas de morts sur les routes ces derniers jours. L’accident survenu dans la nuit du lundi à mardi faisant 22 morts sur la route de Kaffrine semble faire monter l’adrénaline des membres de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme.
« Nous refusons la banalisation des pertes en vue humaine. Deux accidents seulement font 50 morts, plus dans les zones de conflit », s’insurge le Président de la Ligue sénégalaise des droits humains, Me Assane Dioma Ndiaye, qui estime que « le droit à la vie est fondamentale pour être banalisé ainsi sur nos routes ».
C’est pourquoi, cette structure de défense des droits humains demande au gouvernement de sévir contre tous les chauffeurs qui violent les règles de prudence sur les routes, en les traduisant devant les tribunaux. Aussi, ils exigent de forces de sécurité et des services des mines d’être stricts dans le respect du code de route.
Ferloo.com
« Nous refusons la banalisation des pertes en vue humaine. Deux accidents seulement font 50 morts, plus dans les zones de conflit », s’insurge le Président de la Ligue sénégalaise des droits humains, Me Assane Dioma Ndiaye, qui estime que « le droit à la vie est fondamentale pour être banalisé ainsi sur nos routes ».
C’est pourquoi, cette structure de défense des droits humains demande au gouvernement de sévir contre tous les chauffeurs qui violent les règles de prudence sur les routes, en les traduisant devant les tribunaux. Aussi, ils exigent de forces de sécurité et des services des mines d’être stricts dans le respect du code de route.
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