Selon l'association France AVC, 1 personne sur 5 décède dans le mois qui suit un accident vasculaire cérébral. Quant aux 3/4 des survivants, ils gardent des séquelles définitives et 1/3 devient dépendant dans la vie de tous les jours. D'où l'importance de savoir le reconnaître et d'identifier les principaux facteurs de risque de cette maladie neurologique grave.
C'est quoi un AVC ?
L'accident vasculaire cérébral (AVC) ou "attaque" est une pathologie qui touche les vaisseaux chargés d'amener le sang vers le cerveau. Certains obstacles bloquent le flux sanguin, privant le cerveau d'oxygène :
Un caillot de sang qui se forme dans une artère ou dans le cœur et migre vers le cerveau bloquant une partie de son irrigation.
Une artère qui se bouche peu à peu empêchant une bonne irrigation d'une partie du cerveau.
Une explosion des vaisseaux du cerveau qui provoque une hémorragie cérébrale entraînant une mauvaise irrigation de ce dernier.
AVC : les signes qui doivent alerter
Si un AVC est pris en charge à temps, il peut ne laisser aucune séquelle. En effet, le sigle AVC pourrait très bien se traduire par "Agir Vite pour le Cerveau", car chaque minute compte : plus l'accident est pris en charge tôt, moins les séquelles sont, a priori, importantes.
Il faut donc savoir repérer les signes avant-coureurs les plus courants :
Paralysie ou engourdissement brutaux d'un côté du corps ou du visage, faiblesse générale.
Difficulté soudaine à parler, à articuler ou à comprendre.
Diminution de la vue d'un œil ou des yeux, troubles de la vision.
Perte d'équilibre, de coordination, vertiges.
Difficulté à avaler, incontinence.
Maux de tête souvent accompagnés de nausées et de vomissements.
Quelles sont les causes d'un accident vasculaire cérébral ?
L'hypertension artérielle représente le premier facteur de risque d'AVC. Certaines maladies cardiovasculaires, le diabète, un taux de cholestérol élevé ou encore une consommation de tabac et d'alcool en excès, peuvent également être responsables. Enfin, les personnes atteintes de fibrillation auriculaire, un trouble spécifique du rythme cardiaque, sont cinq fois plus sujettes aux AVC.
Dès la première apparition de ces symptômes et même s'ils s'estompent peu à peu, il faut impérativement appeler les secours afin d'être rapidement pris en charge et redirigé vers une unité de soins spécialisés.
Marie Claire
C'est quoi un AVC ?
L'accident vasculaire cérébral (AVC) ou "attaque" est une pathologie qui touche les vaisseaux chargés d'amener le sang vers le cerveau. Certains obstacles bloquent le flux sanguin, privant le cerveau d'oxygène :
Un caillot de sang qui se forme dans une artère ou dans le cœur et migre vers le cerveau bloquant une partie de son irrigation.
Une artère qui se bouche peu à peu empêchant une bonne irrigation d'une partie du cerveau.
Une explosion des vaisseaux du cerveau qui provoque une hémorragie cérébrale entraînant une mauvaise irrigation de ce dernier.
AVC : les signes qui doivent alerter
Si un AVC est pris en charge à temps, il peut ne laisser aucune séquelle. En effet, le sigle AVC pourrait très bien se traduire par "Agir Vite pour le Cerveau", car chaque minute compte : plus l'accident est pris en charge tôt, moins les séquelles sont, a priori, importantes.
Il faut donc savoir repérer les signes avant-coureurs les plus courants :
Paralysie ou engourdissement brutaux d'un côté du corps ou du visage, faiblesse générale.
Difficulté soudaine à parler, à articuler ou à comprendre.
Diminution de la vue d'un œil ou des yeux, troubles de la vision.
Perte d'équilibre, de coordination, vertiges.
Difficulté à avaler, incontinence.
Maux de tête souvent accompagnés de nausées et de vomissements.
Quelles sont les causes d'un accident vasculaire cérébral ?
L'hypertension artérielle représente le premier facteur de risque d'AVC. Certaines maladies cardiovasculaires, le diabète, un taux de cholestérol élevé ou encore une consommation de tabac et d'alcool en excès, peuvent également être responsables. Enfin, les personnes atteintes de fibrillation auriculaire, un trouble spécifique du rythme cardiaque, sont cinq fois plus sujettes aux AVC.
Dès la première apparition de ces symptômes et même s'ils s'estompent peu à peu, il faut impérativement appeler les secours afin d'être rapidement pris en charge et redirigé vers une unité de soins spécialisés.
Marie Claire