La région de Dakar concentre à elle seule, 121 de ces accidents mortels, révélant une situation particulièrement alarmante dans la capitale. Mais ce qui retient surtout l’attention, c’est la part très élevée des deux-roues dans les drames recensés : près de la moitié (49,31 %) des accidents mortels concernent des motos. Les véhicules à quatre roues sont responsables du reste.
La police n’a pas communiqué le nombre exact de décès survenus dans ces 290 accidents, mais les comparaisons font froid dans le dos. En 2022, seuls 93 accidents mortels avaient été comptabilisés, pour un bilan de 700 morts, selon les chiffres officiels.
La tendance actuelle laisse craindre un lourd tribut humain pour l’année 2024, sans qu’aucun chiffre officiel ne soit avancé pour le moment.
Ce constat relance la nécessité urgente de renforcer la sécurité routière, en particulier pour les conducteurs de deux-roues, souvent vulnérables et peu protégés. Sensibilisation, régulation du trafic, contrôle technique et port du casque, restent plus que jamais d’actualité face à cette hécatombe silencieuse sur les routes sénégalaises.
La police n’a pas communiqué le nombre exact de décès survenus dans ces 290 accidents, mais les comparaisons font froid dans le dos. En 2022, seuls 93 accidents mortels avaient été comptabilisés, pour un bilan de 700 morts, selon les chiffres officiels.
La tendance actuelle laisse craindre un lourd tribut humain pour l’année 2024, sans qu’aucun chiffre officiel ne soit avancé pour le moment.
Ce constat relance la nécessité urgente de renforcer la sécurité routière, en particulier pour les conducteurs de deux-roues, souvent vulnérables et peu protégés. Sensibilisation, régulation du trafic, contrôle technique et port du casque, restent plus que jamais d’actualité face à cette hécatombe silencieuse sur les routes sénégalaises.