Or, elle était déçue du résultat à chaque intervention, les multipliant en quatre ans, jusqu’à ce qu’il devienne démesuré. Toujours avide de transformation, la jeune femme a aussi entrepris de faire retoucher son visage, faisant rehausser ses pommettes ou gonfler les lèvres.
« J’avais 20 ans quand j’ai eu ma première procédure et oui, je dirais que je suis obsédée. La première chose que je fais le matin, est d'aller au miroir et de regarder mon bum. Peut-être que j'ai une dysmorphie corporelle ou quelque chose, mais je ne me sens pas tellement grave. Je veux vraiment plus », explique Natasha, maintenant à moitié défigurée.
Cette course à « la beauté » inquiète ses proches, mais n’effraie pas son chirurgien, qui approuve ses décisions.
« Évidemment, il faut faire attention à ne pas faire de chirurgie à quiconque a peut-être besoin d'aide psychiatrique ou est vulnérable, mais regardez Natasha. Il est évident qu'elle a un esprit fort et elle sait ce qu’elle veut », explique le Dr Berne, qui réopérera sûrement Natasha prochainement.
Cette course à « la beauté » inquiète ses proches, mais n’effraie pas son chirurgien qui approuve ses décisions.
« Évidemment, il faut faire attention à ne pas faire de chirurgie à quiconque a peut-être besoin d'aide psychiatrique ou est vulnérable, mais regardez Natasha. Il est évident qu'elle a un esprit fort et elle sait ce qu’elle veut, » explique le Dr Berne, qui réopérera sûrement Natasha prochainement.