Suite à la révélation du journal Business Insider, Karim avait adopté sa vieille stratégie de défense : les menaces de poursuites judiciaires, pour que nul ne parle de ses méfaits. L’actuel médiateur Serigne Diop, ministre des Télécommunications quand Sentel, filiale de Millicom s’installait en 1998, sera plus courageux. Il rappellera qu’il n’a eu qu’un rôle technique, parce que seul le ministre de l’Économie et des Finances est habilité à négocier des questions financières. Du coup, il donnait raison au journaliste américain et condamnait Karim, qui a négocié avec Sentel, à la place de Abdoulaye Diop.
Pourtant, à l’époque, il n’était qu’un simple conseiller de son père. Il doit s’expliquer pour avoir enfreint les règles régissant le fonctionnement de la République. Il doit s’expliquer devant les Sénégalais, d’autant que, tôt ou tard, il répondra de ses turpitudes devant une juridiction du Sénégal, en tant qu’accusé. Mais, il préfère se calfeutrer dans une position irresponsable.
Karim est tenu de se défendre avec des arguments. Le journaliste américain a saisi, pour une deuxième fois, Karim Wade pour qu’il donne sa version des faits dans l’accusation de chantage, qui pèse contre lui. Mais il a préféré faire le mort, comme suite aux révélations du journaliste Latif Coulibaly dans la gestion de l’Anoci.
La révélation de son deal avorté contre Millicom a, encore nuit à l’image du Sénégal, écornée, plus que jamais, depuis que son père a tenté de soudoyer un fonctionnaire international. Sa construction d’une statue à 14 milliards, suite à un troc de terres d’une valeurs de cent milliards de nos francs Cfa a fini d’ulcérer l’opinion nationale, comme internationale.
Karim est tenu de s’expliquer, parce que ses agissements portent atteinte aux intérêts de notre pays. Car, le Sénégal est classé parmi les pays les plus corrompus du monde, où la pratique de la bonne gouvernance est transgressée au quotidien, à cause des Wade, qu’on soupçonne même de chercher à liquider la République pour instituer une monarchie, qui ne dit pas son nom : le président Wade, influencé par son épouse, chercherait à se faire remplacer par son fils.
La Redaction XIBAR.NET
Pourtant, à l’époque, il n’était qu’un simple conseiller de son père. Il doit s’expliquer pour avoir enfreint les règles régissant le fonctionnement de la République. Il doit s’expliquer devant les Sénégalais, d’autant que, tôt ou tard, il répondra de ses turpitudes devant une juridiction du Sénégal, en tant qu’accusé. Mais, il préfère se calfeutrer dans une position irresponsable.
Karim est tenu de se défendre avec des arguments. Le journaliste américain a saisi, pour une deuxième fois, Karim Wade pour qu’il donne sa version des faits dans l’accusation de chantage, qui pèse contre lui. Mais il a préféré faire le mort, comme suite aux révélations du journaliste Latif Coulibaly dans la gestion de l’Anoci.
La révélation de son deal avorté contre Millicom a, encore nuit à l’image du Sénégal, écornée, plus que jamais, depuis que son père a tenté de soudoyer un fonctionnaire international. Sa construction d’une statue à 14 milliards, suite à un troc de terres d’une valeurs de cent milliards de nos francs Cfa a fini d’ulcérer l’opinion nationale, comme internationale.
Karim est tenu de s’expliquer, parce que ses agissements portent atteinte aux intérêts de notre pays. Car, le Sénégal est classé parmi les pays les plus corrompus du monde, où la pratique de la bonne gouvernance est transgressée au quotidien, à cause des Wade, qu’on soupçonne même de chercher à liquider la République pour instituer une monarchie, qui ne dit pas son nom : le président Wade, influencé par son épouse, chercherait à se faire remplacer par son fils.
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