Selon le maraîcher, dont l'identité n'a pas encore été révélée, sa parcelle de terre aurait été rasée par GCO sans qu'il ait été consulté ni informé au préalable. Les détails exacts de l'incident restent flous, mais le maraîcher a exprimé son désarroi face à cette perte qui constitue sa principale source de revenus.
Des questions se posent quant à la connaissance de cette situation par les dirigeants de GCO Sénégal, notamment le directeur général Guillaume Kurek, ainsi que la PDG d'Eramet, Christel Bories. Jusqu'à présent, ni GCO ni Eramet n'ont commenté publiquement l'incident ni confirmé s'ils étaient au courant de la situation.
Cette affaire soulève également des inquiétudes quant à l'accaparement des terres dans la région des Niayes, qui comprend Diogo, Fass Boye, et Lompoul. Certains se demandent si de telles actions ne contribuent pas à l'émigration irrégulière de jeunes habitants désespérés de la région, cherchant des opportunités ailleurs en raison de la perte de leurs moyens de subsistance.
Dans tous les cas, les habitants de Diogo et Fass Boye signalent une augmentation du nombre de jeunes qui tentent de rejoindre les îles Canaries dans l'espoir d'une vie meilleure, mais souvent au péril de leur vie.
Les autorités locales et les organisations de la société civile sont appelées à enquêter sur cette affaire et à prendre des mesures pour prévenir de telles situations à l'avenir, tout en garantissant le respect des droits des communautés locales et des petits agriculteurs.
Les chefs villageois environnants sont reçus chaque fin du mois par un représentant de GCO. Nous allons y revenir.
Des questions se posent quant à la connaissance de cette situation par les dirigeants de GCO Sénégal, notamment le directeur général Guillaume Kurek, ainsi que la PDG d'Eramet, Christel Bories. Jusqu'à présent, ni GCO ni Eramet n'ont commenté publiquement l'incident ni confirmé s'ils étaient au courant de la situation.
Cette affaire soulève également des inquiétudes quant à l'accaparement des terres dans la région des Niayes, qui comprend Diogo, Fass Boye, et Lompoul. Certains se demandent si de telles actions ne contribuent pas à l'émigration irrégulière de jeunes habitants désespérés de la région, cherchant des opportunités ailleurs en raison de la perte de leurs moyens de subsistance.
Dans tous les cas, les habitants de Diogo et Fass Boye signalent une augmentation du nombre de jeunes qui tentent de rejoindre les îles Canaries dans l'espoir d'une vie meilleure, mais souvent au péril de leur vie.
Les autorités locales et les organisations de la société civile sont appelées à enquêter sur cette affaire et à prendre des mesures pour prévenir de telles situations à l'avenir, tout en garantissant le respect des droits des communautés locales et des petits agriculteurs.
Les chefs villageois environnants sont reçus chaque fin du mois par un représentant de GCO. Nous allons y revenir.