Maître Ousmane Diagne l'accuse de "tentative de meurtre sur de jeunes manifestants, détention illégale d'arme à feu, mise en danger de la vie d'autrui, violence et voie de fait, et trouble à l'ordre public".
Au cours d'un point de presse, tenu quelques heures après celui de son adversaire, l'acteur politique a déclaré avoir également déposé une plainte pour "diffamation et dénonciation calomnieuse" auprès du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thiès, sous le numéro "1150".
Cela a été l'occasion pour Massaly d'apporter des clarifications concernant les événements du vendredi dernier, dénonçant des "violences inouïes perpétrées par une prétendue opposition en perte de vitesse, manipulée par des forces occultes, pour ternir le visage de notre chère ville de Thiès".
Il affirme qu'il ne peut "laisser passer cela sans dénoncer ces auteurs et fauteurs de troubles" et cite nommément "Ousmane Diagne, maire d'une petite commune, qui a manipulé les jeunes en les mettant comme de la chair à canon pour arriver à ses fins".
Massaly rejette les accusations le concernant, affirmant que "ce dernier, avec ses camarades, dans leurs folies de brûler la ville, essaie de manipuler cette jeunesse pour venir attaquer le siège de mon parti et ma maison familiale. Maître Diagne m'accuse de tenir un pistolet en main pour tuer les jeunes manifestants, ce qui est pur mensonge et calomnie".
Le président de l'UNR s'interroge sur "comment un homme aussi ingrat et malhonnête, connu et reconnu de certains bureaux des tenants du pouvoir pour mendier, s'est permis de s'attaquer au président Macky Sall ?".
Il appelle solennellement les responsables de Benno Bokk Yaakaar, de la mouvance présidentielle et les citoyens à se "lever pour faire face aux ennemis de la République qui ne cherchent qu'à déstabiliser le Sénégal".
Massaly trouve "inacceptable que des énergumènes financés par des forces occultes s'attaquent à un homme de dimension exceptionnelle, le président Macky Sall, qui a transformé le Sénégal dans tous les secteurs et conduit le pays vers l'émergence".
Il refuse que "ces oiseaux de mauvais augure viennent détruire toutes ces avancées (autoroutes, ports de l'émergence, le TER, le BRT, la relance des chemins de fer, les hôpitaux de dernière génération, les universités, etc.), car ce sont des acquis pour les futures générations".
Il rappelle que "la situation actuelle du pays résulte d'une crise institutionnelle créée par l'opposition qui a demandé au président Macky Sall de reporter la Présidentielle".
Le président du Conseil d'administration de l'ONFP en appelle à toute la classe politique, la société civile et les citoyens de tout bord, quant à leur devoir de répondre positivement à l'appel au dialogue national, afin de "sauver le Sénégal des mains des fossoyeurs qui ne cherchent qu'à l'amener vers le chaos". Il attire l'attention des pères et mères de famille pour "veiller sur leurs enfants afin que ces pyromanes ne puissent pas les sacrifier pour un pouvoir qu'ils n'exerceront jamais". Massaly félicite "nos forces de défense et de sécurité qui ont su être à la hauteur pour défendre la République".
Mounirou Mbengue
Au cours d'un point de presse, tenu quelques heures après celui de son adversaire, l'acteur politique a déclaré avoir également déposé une plainte pour "diffamation et dénonciation calomnieuse" auprès du procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thiès, sous le numéro "1150".
Cela a été l'occasion pour Massaly d'apporter des clarifications concernant les événements du vendredi dernier, dénonçant des "violences inouïes perpétrées par une prétendue opposition en perte de vitesse, manipulée par des forces occultes, pour ternir le visage de notre chère ville de Thiès".
Il affirme qu'il ne peut "laisser passer cela sans dénoncer ces auteurs et fauteurs de troubles" et cite nommément "Ousmane Diagne, maire d'une petite commune, qui a manipulé les jeunes en les mettant comme de la chair à canon pour arriver à ses fins".
Massaly rejette les accusations le concernant, affirmant que "ce dernier, avec ses camarades, dans leurs folies de brûler la ville, essaie de manipuler cette jeunesse pour venir attaquer le siège de mon parti et ma maison familiale. Maître Diagne m'accuse de tenir un pistolet en main pour tuer les jeunes manifestants, ce qui est pur mensonge et calomnie".
Le président de l'UNR s'interroge sur "comment un homme aussi ingrat et malhonnête, connu et reconnu de certains bureaux des tenants du pouvoir pour mendier, s'est permis de s'attaquer au président Macky Sall ?".
Il appelle solennellement les responsables de Benno Bokk Yaakaar, de la mouvance présidentielle et les citoyens à se "lever pour faire face aux ennemis de la République qui ne cherchent qu'à déstabiliser le Sénégal".
Massaly trouve "inacceptable que des énergumènes financés par des forces occultes s'attaquent à un homme de dimension exceptionnelle, le président Macky Sall, qui a transformé le Sénégal dans tous les secteurs et conduit le pays vers l'émergence".
Il refuse que "ces oiseaux de mauvais augure viennent détruire toutes ces avancées (autoroutes, ports de l'émergence, le TER, le BRT, la relance des chemins de fer, les hôpitaux de dernière génération, les universités, etc.), car ce sont des acquis pour les futures générations".
Il rappelle que "la situation actuelle du pays résulte d'une crise institutionnelle créée par l'opposition qui a demandé au président Macky Sall de reporter la Présidentielle".
Le président du Conseil d'administration de l'ONFP en appelle à toute la classe politique, la société civile et les citoyens de tout bord, quant à leur devoir de répondre positivement à l'appel au dialogue national, afin de "sauver le Sénégal des mains des fossoyeurs qui ne cherchent qu'à l'amener vers le chaos". Il attire l'attention des pères et mères de famille pour "veiller sur leurs enfants afin que ces pyromanes ne puissent pas les sacrifier pour un pouvoir qu'ils n'exerceront jamais". Massaly félicite "nos forces de défense et de sécurité qui ont su être à la hauteur pour défendre la République".
Mounirou Mbengue