Des accusations jugées infondées
Kangué Niang, 28ᵉ suppléante sur la liste nationale de Pastef, a affirmé qu'Adama Diallo aurait utilisé une somme de cinquante millions de francs CFA pour influencer les électeurs de Gossas. Selon elle, cela reviendrait à estimer la valeur des votes à moins de 5000 FCFA par électeur.
Dans une réaction vigoureuse publiée suite à ces accusations, Adama Diallo a qualifié ces propos de « graves » et a critiqué la démarche de son adversaire politique, la qualifiant de « mauvaise perdante ». Il souligne également que cette dernière est « une transfuge du PDS, de la Génération du Concret et de Mbollo Wade », ce qui, selon lui, expliquerait son faible ancrage local.
Un parcours politique revendiqué
Le maire de Gossas a tenu à rappeler les performances électorales de son mouvement Andu Nawle, qu’il décrit comme une structure solide et bien implantée dans la localité. Depuis 2014, le mouvement a remporté plusieurs scrutins : le conseil départemental, trois des six communes du département et un siège au Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT). Lors des législatives de 2017, Andu Nawle, en alliance avec la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), avait également décroché une victoire.
En 2022, Adama Diallo affirme avoir conduit son mouvement à remporter l’intégralité des communes et du conseil départemental, ainsi que les législatives en tant que tête de liste départementale.
Pour l’élu, ces succès successifs traduisent la confiance renouvelée des populations de Gossas envers son équipe. « Accuser les citoyens de Gossas de monnayer leur dignité, c’est manquer de respect à leur engagement démocratique », a-t-il déclaré.
Une plainte pour diffamation
Face à ce qu’il considère comme des attaques injustifiées, Adama Diallo a annoncé son intention de porter plainte contre Kangué Niang pour diffamation, mensonges et atteinte à son honneur. Il demande des excuses publiques à paraître dans La Tribune et à être relayées lors de la revue de presse, ainsi qu’un franc symbolique en guise de réparation.
Le maire de Gossas conclut en affirmant que cette affaire permettra de rappeler l’importance du respect des électeurs et du débat politique, tout en mettant en lumière la légitimité de son leadership dans la commune et au-delà.
Avec Tribune
Kangué Niang, 28ᵉ suppléante sur la liste nationale de Pastef, a affirmé qu'Adama Diallo aurait utilisé une somme de cinquante millions de francs CFA pour influencer les électeurs de Gossas. Selon elle, cela reviendrait à estimer la valeur des votes à moins de 5000 FCFA par électeur.
Dans une réaction vigoureuse publiée suite à ces accusations, Adama Diallo a qualifié ces propos de « graves » et a critiqué la démarche de son adversaire politique, la qualifiant de « mauvaise perdante ». Il souligne également que cette dernière est « une transfuge du PDS, de la Génération du Concret et de Mbollo Wade », ce qui, selon lui, expliquerait son faible ancrage local.
Un parcours politique revendiqué
Le maire de Gossas a tenu à rappeler les performances électorales de son mouvement Andu Nawle, qu’il décrit comme une structure solide et bien implantée dans la localité. Depuis 2014, le mouvement a remporté plusieurs scrutins : le conseil départemental, trois des six communes du département et un siège au Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT). Lors des législatives de 2017, Andu Nawle, en alliance avec la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), avait également décroché une victoire.
En 2022, Adama Diallo affirme avoir conduit son mouvement à remporter l’intégralité des communes et du conseil départemental, ainsi que les législatives en tant que tête de liste départementale.
Pour l’élu, ces succès successifs traduisent la confiance renouvelée des populations de Gossas envers son équipe. « Accuser les citoyens de Gossas de monnayer leur dignité, c’est manquer de respect à leur engagement démocratique », a-t-il déclaré.
Une plainte pour diffamation
Face à ce qu’il considère comme des attaques injustifiées, Adama Diallo a annoncé son intention de porter plainte contre Kangué Niang pour diffamation, mensonges et atteinte à son honneur. Il demande des excuses publiques à paraître dans La Tribune et à être relayées lors de la revue de presse, ainsi qu’un franc symbolique en guise de réparation.
Le maire de Gossas conclut en affirmant que cette affaire permettra de rappeler l’importance du respect des électeurs et du débat politique, tout en mettant en lumière la légitimité de son leadership dans la commune et au-delà.
Avec Tribune