« La commission d’éthique a reconnu implicitement ne pas rapporter la preuve des allégations faites à mon encontre », affirme lamine Diack, dans un document de 5 pages adressé au président Jacques Rogge et aux membres du comité internationale olympique (CIO). Avant de contester s’être placé « dans une situation de conflit d’intérêt » et trouve « regrettable de penser que la révélation par voie de presse de faits infondés a porté atteinte à la réputation du mouvement olympique et constitue une présomption de culpabilité qui pèse sur la victime de ses allégations ».

Le président de la fédération internationale d'athlétisme (Iaaf) a contesté, à ce stade, la compétence de la commission d’éthique pour connaitre des faits qui se sont produit à une époque où il n’était pas encore du CIO et demande à être lavé de tout soupçon, en ne retenant pas l’avertissement suggéré. Lamine Diack a tenu a attirer l’attention de la commission exécutive du CIO sur ces faits importants signalés à la commission d’éthique du CIO sur ces faits importants signalés à la commission d’éthique et dont il n’est fait nullement mention dans ces conclusions rendues le 8 décembre dernier.