Revenant sur les faits , le journal explique : La quarantaine, Laye Sakho, marié à trois épouses et père de cinq enfants, est d'un tempérament colérique. Mais hier mercredi 10 juillet 2024, il a failli se retrouver en prison à cause de son mauvais caractère. Et ce, même s'il est vrai qu'on lui a fait du tort.
Vers les coups de sept heures du matin, Laye Sakho arrive au marché central Ndoumbé Diop de Diourbel, à bord de sa charrette. Après avoir pris son petit-déjeuner à la gargote «Maïga» d'à côté, il rejoint le commerce de Souleymane Cissé, où il devait décharger des sacs de ciment et du fer destinés à la construction d'un chantier situé à quelques encablures du Lycée d'enseignement général de Ndayane (commune de Diourbel).
Mais le temps que le matériel soit changé sur la charrette, Souleymane Cissé constate la disparition d’une enveloppe dans laquelle il avait gardé de l'argent pour la dépense quotidienne. Et puisqu'il était seul avec Laye Sakho dans la boutique, ses soupçons portent sur le charretier, à qui il demande des comptes. Mais ce dernier pique une colère noire.
Se sentant offensé et blessé dans son orgueil, Laye Sakho s'agrippe à son employeur, le prend au collet et lui administre de violents coups de poing au visage. Les commerçants des alentours viennent secourir Souleymane Cissé, qui venait de perdre trois dents dans l'histoire.
"L’As" rajoute : Dans la foulée, l'épouse du commerçant arrive sur les lieux pour s'enquérir de la situation. Pendant ce temps, Laye Sakho, les mains ensanglantées, est allé se livrer aux gendarmes. Mais l'épouse du commerçant va faire une déclaration, qui va surprendre tout le monde et décanter toute la situation.
En effet, elle a indiqué à son époux que c'est elle-même qui a déplacé l'enveloppe en question, après avoir pris dix mille francs pour faire son marché. Ensuite, elle part soulever une plaque en bois sous laquelle elle avait caché l'argent. Après avoir reçu des soins aux urgences de l'hôpital régional Heinrich Lubke de Diourbel, le commerçant Souleymane Cissé se désiste à porter plainte contre Laye Sakho, qui, heureusement, a pu recouvrer la liberté.
Vers les coups de sept heures du matin, Laye Sakho arrive au marché central Ndoumbé Diop de Diourbel, à bord de sa charrette. Après avoir pris son petit-déjeuner à la gargote «Maïga» d'à côté, il rejoint le commerce de Souleymane Cissé, où il devait décharger des sacs de ciment et du fer destinés à la construction d'un chantier situé à quelques encablures du Lycée d'enseignement général de Ndayane (commune de Diourbel).
Mais le temps que le matériel soit changé sur la charrette, Souleymane Cissé constate la disparition d’une enveloppe dans laquelle il avait gardé de l'argent pour la dépense quotidienne. Et puisqu'il était seul avec Laye Sakho dans la boutique, ses soupçons portent sur le charretier, à qui il demande des comptes. Mais ce dernier pique une colère noire.
Se sentant offensé et blessé dans son orgueil, Laye Sakho s'agrippe à son employeur, le prend au collet et lui administre de violents coups de poing au visage. Les commerçants des alentours viennent secourir Souleymane Cissé, qui venait de perdre trois dents dans l'histoire.
"L’As" rajoute : Dans la foulée, l'épouse du commerçant arrive sur les lieux pour s'enquérir de la situation. Pendant ce temps, Laye Sakho, les mains ensanglantées, est allé se livrer aux gendarmes. Mais l'épouse du commerçant va faire une déclaration, qui va surprendre tout le monde et décanter toute la situation.
En effet, elle a indiqué à son époux que c'est elle-même qui a déplacé l'enveloppe en question, après avoir pris dix mille francs pour faire son marché. Ensuite, elle part soulever une plaque en bois sous laquelle elle avait caché l'argent. Après avoir reçu des soins aux urgences de l'hôpital régional Heinrich Lubke de Diourbel, le commerçant Souleymane Cissé se désiste à porter plainte contre Laye Sakho, qui, heureusement, a pu recouvrer la liberté.