«Nous, nous évitons coûte que coûte la violence, a laissé entendre le président de la Rencontre africaine des droits de l’homme (Raddho). Effectivement, chaque fois qu’il y a eu violence, c’est parce qu’on nous infiltrés pour nous disperser et saboter nos manifestations». C’est pourquoi, lors de la dernière marche (hier) «nous avons lancé un appel solennel à la police un appel solennel de marche non violente. «Certes, on voulait aller jusqu’au ministère de l’Intérieur. Mais le commissaire de police (Arona Sy) nous a appelés pour une discussion. «Il nous a demandés de nous arrêter à la poste (Médina). Et de faire, la prochaine fois, toutes les procédures qui nous permettront, si nous voulons d’aller jusqu’à la Place de l’indépendance. Au cours de notre entretien, il nous a suppliés d’éviter de nouveaux affrontements et la violence. Et Alioune Tine de marteler : «l’attitude des leaders politiques est en phase avec notre ligne (…)».
Dee
Xalima News
Dee
Xalima News