Oussou, non, Oussou de mère LO tu n’avais pas le droit de nous fairE
Un tel coup ; au fait, frère, as-tu même pensé à Mara-Papy-MammY
Sans compter Mame Marie, Aïda, Ass, Jolicoeur… ? A toute la smalA
Malades incurables victimes inconsolables d’un départ en catiminI
Alors que souffrant mais confiants, pleurant mais priant on attenD
Nuit soir et jour la nouvelle d’une belle victoire signée sur ce vilaiN
Et si niais venin sorti nul ne saura donc jamais de quelle pénombrE
Mais voilà que notre pôle de joie, phare sûr, cousin et frère mieN
Aristocrate et généreux prince, à nous préféra Serigne Lamine BarA
Sénégalais debout, fier et droit dont à jamais, à jamais, à jamais le noM
Si crié si hurlé si vanté si béni ne sera oublié ou omis lors des hommageS
Et nous voici sous les fleurs et les pleurs, encore anéantis par ce traître adieU
Cher héros au joli sourire doux au point de ravir la douce et bonne TamarO
Kaltoum la grande dame remplie, grande âme, de la lumière de Mame MalicK
Non! Avec Oussou je puis l’écrire sans que nul, j’ose le dire, hic et nunC
Démente cette implacable et éternelle leçon apprise de sa si courte viE
Iliens et âmes de la presqu’île sont désormais comme tous les SénégalaiS
Avec au premier rang ses amis le premier et la première d’entre eux seulS
Y aura-t-il un jour, un seul, où notre pensée pourra se détacher de ToubA
Ecoutant le mur murant Touba rendre Touba murmurant, tout bas, SalaM…
CHEIKH KOUREYSSI BA
lilafi19@yahoo.fr
Un tel coup ; au fait, frère, as-tu même pensé à Mara-Papy-MammY
Sans compter Mame Marie, Aïda, Ass, Jolicoeur… ? A toute la smalA
Malades incurables victimes inconsolables d’un départ en catiminI
Alors que souffrant mais confiants, pleurant mais priant on attenD
Nuit soir et jour la nouvelle d’une belle victoire signée sur ce vilaiN
Et si niais venin sorti nul ne saura donc jamais de quelle pénombrE
Mais voilà que notre pôle de joie, phare sûr, cousin et frère mieN
Aristocrate et généreux prince, à nous préféra Serigne Lamine BarA
Sénégalais debout, fier et droit dont à jamais, à jamais, à jamais le noM
Si crié si hurlé si vanté si béni ne sera oublié ou omis lors des hommageS
Et nous voici sous les fleurs et les pleurs, encore anéantis par ce traître adieU
Cher héros au joli sourire doux au point de ravir la douce et bonne TamarO
Kaltoum la grande dame remplie, grande âme, de la lumière de Mame MalicK
Non! Avec Oussou je puis l’écrire sans que nul, j’ose le dire, hic et nunC
Démente cette implacable et éternelle leçon apprise de sa si courte viE
Iliens et âmes de la presqu’île sont désormais comme tous les SénégalaiS
Avec au premier rang ses amis le premier et la première d’entre eux seulS
Y aura-t-il un jour, un seul, où notre pensée pourra se détacher de ToubA
Ecoutant le mur murant Touba rendre Touba murmurant, tout bas, SalaM…
CHEIKH KOUREYSSI BA
lilafi19@yahoo.fr