En effet, la représentante du ministère public a estimé que la présence des mineures était nécessaire pour élucider cette affaire.
Face aux magistrats, la prévenue, qui se cachait sous un voile enveloppant sa tête, conteste tous les faits, sauf l’acte contre-nature. A. Mb., âgée de 26 ans, déclare avoir entretenu à deux reprises des relations sexuelles avec la mineure P. Fall.
Tête baissée, elle a dissimulé son visage juvénile sous un voile blanc. Elle déclare regretter son acte, tout en implorant la clémence du tribunal.
“Je vous supplie de m’accorder votre clémence. Mon père est handicapé et malade. Je suis soutien de famille et je viens de finir ma formation. Tout ceci est dû à mes mauvaises fréquentations’’, précise-t-elle.
Sur la manière dont elle a fait la connaissance de la partie civile, P. Fall, elle raconte : “C’est via les réseaux sociaux qu’on s’est connues. Sur son profil, elle avait mentionné qu’elle avait 18 ans. On a sympathisé avant d’échanger nos numéros pour continuer à discuter via Whatsapp. Quand on s’est vues, elle m’a déclaré qu’elle a 19 ans.’’ Poursuivant ses allégations, elle révèle que la mineure est venue lui rendre visite en premier.
“Quand je me suis rendue chez elle, sa maman me l’a confiée, en me demandant de la conseiller, car elle est têtue. Je la considère comme ma petite soeur’’, partage-t-elle. S’agissant de la vidéo qui a fait éclater cette histoire, A. Mb. raconte : “Elle a l’habitude de publier des images obscènes sur les réseaux sociaux. Je lui ai même interdit de faire ce genre de choses. Un jour, alors que j’étais à Saly avec mes camarades de classe pour fêter notre fin de promotion, elle m’a envoyé la vidéo en question que j’ai automatiquement supprimée après l’avoir visionnée.’’
Jurant qu’elle n’a pas diffusé cette vidéo, elle précise que P. Fall a envoyé le film à M. D. qui, à son tour, l’a partagé avec ses amies. Ne reconnaissant pas tous les faits, la parquetière a sollicité le renvoi pour la comparution de la mineure P. Fall.
L’affaire renvoyée jusqu’au 28 octobre, la demande de mise en liberté provisoire introduite par le conseil de la partie civile, a été rejetée par le tribunal.
Enquête
Face aux magistrats, la prévenue, qui se cachait sous un voile enveloppant sa tête, conteste tous les faits, sauf l’acte contre-nature. A. Mb., âgée de 26 ans, déclare avoir entretenu à deux reprises des relations sexuelles avec la mineure P. Fall.
Tête baissée, elle a dissimulé son visage juvénile sous un voile blanc. Elle déclare regretter son acte, tout en implorant la clémence du tribunal.
“Je vous supplie de m’accorder votre clémence. Mon père est handicapé et malade. Je suis soutien de famille et je viens de finir ma formation. Tout ceci est dû à mes mauvaises fréquentations’’, précise-t-elle.
Sur la manière dont elle a fait la connaissance de la partie civile, P. Fall, elle raconte : “C’est via les réseaux sociaux qu’on s’est connues. Sur son profil, elle avait mentionné qu’elle avait 18 ans. On a sympathisé avant d’échanger nos numéros pour continuer à discuter via Whatsapp. Quand on s’est vues, elle m’a déclaré qu’elle a 19 ans.’’ Poursuivant ses allégations, elle révèle que la mineure est venue lui rendre visite en premier.
“Quand je me suis rendue chez elle, sa maman me l’a confiée, en me demandant de la conseiller, car elle est têtue. Je la considère comme ma petite soeur’’, partage-t-elle. S’agissant de la vidéo qui a fait éclater cette histoire, A. Mb. raconte : “Elle a l’habitude de publier des images obscènes sur les réseaux sociaux. Je lui ai même interdit de faire ce genre de choses. Un jour, alors que j’étais à Saly avec mes camarades de classe pour fêter notre fin de promotion, elle m’a envoyé la vidéo en question que j’ai automatiquement supprimée après l’avoir visionnée.’’
Jurant qu’elle n’a pas diffusé cette vidéo, elle précise que P. Fall a envoyé le film à M. D. qui, à son tour, l’a partagé avec ses amies. Ne reconnaissant pas tous les faits, la parquetière a sollicité le renvoi pour la comparution de la mineure P. Fall.
L’affaire renvoyée jusqu’au 28 octobre, la demande de mise en liberté provisoire introduite par le conseil de la partie civile, a été rejetée par le tribunal.
Enquête