leral.net | S'informer en temps réel

Actualité dominante : L’échec des négociations entre les syndicats d’enseignants-Etat largement commenté

L’échec des négociations entre les syndicats d’enseignants et le gouvernement est largement commenté par les quotidiens parvenus lundi à l’APS.


Rédigé par leral.net le Lundi 14 Février 2022 à 09:10 | | 0 commentaire(s)|

’Enième échec de la rencontre gouvernement-syndicats : l’école s’enfonce dans la crise’’, alerte "L’As". Les deux parties s’étaient retrouvées samedi pour des négociations.

Selon "Le Soleil", ’’l’Etat propose 69 milliards FCfa’’ pour satisfaire les doléances des enseigants. Mais ces offres ont été ’’jugées insuffisantes par le G7’’, alors que les parents d’élèves ’’haussent le ton’’, pour exiger la reprise des cours.

’’Les enseignants crachent sur l’argent du gouvernement’’, dit "Walf Quotidien".

’’Echec et …impasse !’’, s’exclame "Sud Quotidien", qui écrit : ’’L’Etat met en avant 8 propositions pour un impact budgétaire de 69 milliards. Les syndicats affirment n’avoir rien vu de concret’’.

"Vox Populi" constate que les syndicats d’enseignants, ’’non satisfaits’’, entament leur 9e plan d’action. Le journal ajoute que ’’l’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal (UNSAS) leur vient en soutien et menace de verser tous ses syndicats dans la bataille’’.

"Source A" revient en détail sur la somme de 69 milliards FCfa mis sur la table par le gouvernement, pour une reprise immédiate des cours.

’’Ecole sénégalaise : la crise s’enlise !’’, regrette "EnQuête", qui note : ’’L’Etat a fait une batterie de propositions de sortie de crise. Les syndicats disent niet et crachent sur les 69 milliards du gouvernement’’.

Dans le journal, Abdoulaye Daouda Diallo, ministre du Budget rappelle que l’Etat a déjà consenti un effort de 471,9 milliards FCFA dans le secteur, depuis 2014.

En perspective du remaniement ministériel, "Le Quotidien" s’intéresse au PS, à l’AFP et au Rewmi, ’’des géants aux pieds d’argile". Le journal affiche à Une, ’’Le crédit épuisé des alliés’’.

"L’Observateur" constate que le retard noté dans la nomination d’un Premier ministre, même si la Constitution n’impose pas de délai au président de la République, ’’n’est pas sans conséquence dans le fonctionnement de l’Etat’’.