Fortement critiqué pour son manque d'expérience, le président gambien Adama Barrow fait face à une opposition de plus en plus audible, qui réclame son départ après sa promesse de n'exercer qu'un mandat de 3 ans. Le successeur de Yahya Jammeh à la tête de l’Etat gambien a renié son serment et a coupé les ponts avec ses alliés d'hier.
« Oui, je ne suis pas allé plus loin que le lycée, mais je me suis fait tout seul. J’ai été assez courageux pour me dresser contre Yahya Jammeh. C’est facile pour vous de me critiquer », se défend-il, dans des propos repris dans le dernier numéro de Jeune Afrique.
Le chef de l’Etat gambien est aujourd'hui à la tête de sa propre coalition, le Parti national du peuple qu'il a lancée fin 2019, rappelle le magazine panafricain.
Un parti dont il pourrait porter les couleurs lors de la présidentielle, en 2021.
« Oui, je ne suis pas allé plus loin que le lycée, mais je me suis fait tout seul. J’ai été assez courageux pour me dresser contre Yahya Jammeh. C’est facile pour vous de me critiquer », se défend-il, dans des propos repris dans le dernier numéro de Jeune Afrique.
Le chef de l’Etat gambien est aujourd'hui à la tête de sa propre coalition, le Parti national du peuple qu'il a lancée fin 2019, rappelle le magazine panafricain.
Un parti dont il pourrait porter les couleurs lors de la présidentielle, en 2021.