Vous venez d’être installée à votre nouveau poste d’administratrice de la Place du souvenir africain, quels sentiments vous anime actuellement ?
C’est un sentiment de fierté que je ressens. Mes premiers mots seront des mots de remerciement à l’endroit du président de la République M. Macky Sall, du Premier ministre M. Mahammed Dionne et du ministre de la Culture et de la Communication M. Mbagnick Ndiaye. Je leur dis merci pour avoir bien voulu placer leur confiance en moi pour diriger la Place du souvenir africain. Comme je l’ai dit tout à l’heure dans mon discours, je tâcherai de mériter cette confiance et d’apporter ma petite pierre dans l’édifice de notre nation.
L’association des animateurs et conseillers aux affaires culturelles a sorti un communiqué pour s’insurger contre votre nomination, que leur répondez-vous ?
Je n’ai pas à leur répondre du tout. Elle doit être nommée ou pas, ce n’est pas à moi qu’on doit poser cette question-là. Tout ce que je peux dire, c’est que je suis une citoyenne sénégalaise à qui on a voulu faire confiance et à qui on a confié certaines choses. Je vais essayer de relever le défi comme tous les citoyens sénégalais qui occupent des postes de responsabilité dans ce pays-là. J’essaierai et je ferai de mon mieux pour occuper ce poste. Je réussirai ou pas, Dieu Seul sait et l’avenir nous le dira. A eux, je lance un appel ; je leur dis : venez prendre la Place du souvenir parce qu’elle est aux culturels. Elle est à la culture. Elle doit être aussi au tourisme, donc travaillons ensemble pour animer cette place-là.
Vous pensez avoir les compétences pour manager cet espace ?
Incha’Allah, cela également l’avenir nous le dira. Les Sénégalais auront tout le temps d’apprécier.
Votre nomination n’est-elle pas politique ?
Certains l’ont dit juste parce que je suis coordonnatrice adjointe du mouvement fekke ma ci boole. Mais avant cela, je suis une citoyenne sénégalaise comme j’ai eu à le dire. Et c’est ce qui m’importe. Je vais tâcher de relever ce grand défi et challenge. La seule lecture que j’ai de ma nomination, c’est que je suis une Sénégalaise. Maintenant, ma nomination est politique ou ne l’est pas, allez poser la question à ceux qui m’ont nommée.
Depuis sa création, la PSA n’a pas vraiment de contenus, qu’est-ce que vous comptez y apporter pour la promouvoir ?
Comme j’ai dit tantôt dans mon discours, la Place du souvenir, c’est un bijou qui doit être le point de rendez-vous de toutes les activités socioculturelles de ce pays-là et même touristiques. On essaiera avec de l’imagination, des idées, du partenariat et notre carnet d’adresses de développer des activités. Mais comme je l’ai déjà dit, ce sera aux culturels et c’est à eux de développer cette place. Très très bientôt, dans un open press, nous allons communiquer notre feuille de route.
Vous faites de la politique, vous êtes animatrice télé et maintenant administratrice de la PSA comment comptez-vous allier toutes ces casquettes ?
Je sais que cela ne sera pas de tout repos mais comme c’est une mission d’Etat qui m’a été confiée, je fais un focus sur ça. Je serai concentrée sur ça. Njegemar ne peut pas disparaître du paysage audiovisuel. Elle n’est plus une simple émission, elle est devenue une institution et on sera là. Comment ? On y réfléchit mais on essaiera de respecter le rendez-vous avec les téléspectateurs. De toute façon, on est en train de voir.
EnQuête
C’est un sentiment de fierté que je ressens. Mes premiers mots seront des mots de remerciement à l’endroit du président de la République M. Macky Sall, du Premier ministre M. Mahammed Dionne et du ministre de la Culture et de la Communication M. Mbagnick Ndiaye. Je leur dis merci pour avoir bien voulu placer leur confiance en moi pour diriger la Place du souvenir africain. Comme je l’ai dit tout à l’heure dans mon discours, je tâcherai de mériter cette confiance et d’apporter ma petite pierre dans l’édifice de notre nation.
L’association des animateurs et conseillers aux affaires culturelles a sorti un communiqué pour s’insurger contre votre nomination, que leur répondez-vous ?
Je n’ai pas à leur répondre du tout. Elle doit être nommée ou pas, ce n’est pas à moi qu’on doit poser cette question-là. Tout ce que je peux dire, c’est que je suis une citoyenne sénégalaise à qui on a voulu faire confiance et à qui on a confié certaines choses. Je vais essayer de relever le défi comme tous les citoyens sénégalais qui occupent des postes de responsabilité dans ce pays-là. J’essaierai et je ferai de mon mieux pour occuper ce poste. Je réussirai ou pas, Dieu Seul sait et l’avenir nous le dira. A eux, je lance un appel ; je leur dis : venez prendre la Place du souvenir parce qu’elle est aux culturels. Elle est à la culture. Elle doit être aussi au tourisme, donc travaillons ensemble pour animer cette place-là.
Vous pensez avoir les compétences pour manager cet espace ?
Incha’Allah, cela également l’avenir nous le dira. Les Sénégalais auront tout le temps d’apprécier.
Votre nomination n’est-elle pas politique ?
Certains l’ont dit juste parce que je suis coordonnatrice adjointe du mouvement fekke ma ci boole. Mais avant cela, je suis une citoyenne sénégalaise comme j’ai eu à le dire. Et c’est ce qui m’importe. Je vais tâcher de relever ce grand défi et challenge. La seule lecture que j’ai de ma nomination, c’est que je suis une Sénégalaise. Maintenant, ma nomination est politique ou ne l’est pas, allez poser la question à ceux qui m’ont nommée.
Depuis sa création, la PSA n’a pas vraiment de contenus, qu’est-ce que vous comptez y apporter pour la promouvoir ?
Comme j’ai dit tantôt dans mon discours, la Place du souvenir, c’est un bijou qui doit être le point de rendez-vous de toutes les activités socioculturelles de ce pays-là et même touristiques. On essaiera avec de l’imagination, des idées, du partenariat et notre carnet d’adresses de développer des activités. Mais comme je l’ai déjà dit, ce sera aux culturels et c’est à eux de développer cette place. Très très bientôt, dans un open press, nous allons communiquer notre feuille de route.
Vous faites de la politique, vous êtes animatrice télé et maintenant administratrice de la PSA comment comptez-vous allier toutes ces casquettes ?
Je sais que cela ne sera pas de tout repos mais comme c’est une mission d’Etat qui m’a été confiée, je fais un focus sur ça. Je serai concentrée sur ça. Njegemar ne peut pas disparaître du paysage audiovisuel. Elle n’est plus une simple émission, elle est devenue une institution et on sera là. Comment ? On y réfléchit mais on essaiera de respecter le rendez-vous avec les téléspectateurs. De toute façon, on est en train de voir.
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