Aujourd’hui que la mise à jour a été faite, elle estime que Sonko «n’a plus aucun prétexte» pour ne pas faire sa Dpg. Surtout que, souligne-t-elle, le Président Diomaye avait demandé à l’Assemblée, à travers son président, de faire procéder à la réactualisation de la loi organique, et assuré avoir convaincu son Premier ministre de renoncer à sa Dpg populaire.
«Si Ousmane Sonko ne vient pas à l’Assemblée et décide de ne pas le faire devant cette Assemblée, on pourrait l’assimiler à une offense au chef de l’Etat parce qu’il n’aura pas respecté les instructions de ce dernier», considère la député de Benno.
Sur la dissolution annoncée de l’Assemblée, elle souligne que le Président Diomaye est en droit de le faire au-delà du 12 septembre. «Qu’il dissolve ou pas, ça nous est égal», a-t-elle dit.
Avant d’insister sur la nécessité pour Sonko de faire sa Dpg : «Nous attendons qu’il nous dise ce que c’est le Projet, quelles sont ses priorités ? Ils nous ont dit qu’ils ont plus de 80 projets de loi dans les tiroirs. Alors, il n’y a plus de prétexte.»
«Si Ousmane Sonko ne vient pas à l’Assemblée et décide de ne pas le faire devant cette Assemblée, on pourrait l’assimiler à une offense au chef de l’Etat parce qu’il n’aura pas respecté les instructions de ce dernier», considère la député de Benno.
Sur la dissolution annoncée de l’Assemblée, elle souligne que le Président Diomaye est en droit de le faire au-delà du 12 septembre. «Qu’il dissolve ou pas, ça nous est égal», a-t-elle dit.
Avant d’insister sur la nécessité pour Sonko de faire sa Dpg : «Nous attendons qu’il nous dise ce que c’est le Projet, quelles sont ses priorités ? Ils nous ont dit qu’ils ont plus de 80 projets de loi dans les tiroirs. Alors, il n’y a plus de prétexte.»