«Il nous a récemment renouvelé son intention de démarcher ce combat. Il m’a contacté pour cela. Nous l’avons dit que nous sommes toujours disposés à prendre ce combat. Maintenant, il sait quoi faire pour sceller cette confrontation. Il a promis de revenir sur la table des négociations», confie Pape Dia.
En fait, si Aziz Ndiaye a décidé de revenir sur la table des négociations avec le B52, c’est parce qu’il est coincé à son propre piège. La piste Rocky Balbao, ce sénégalais établi en Suisse, qu’il croyait innovante, pour payer à Bombardier son intransigeance, et gagner en audience auprès de l’opinion, dans sa politique d’innover la lutte, n’a pas prospéré. La quasi-totalité des acteurs la considère comme une « farce ». Ils ne peuvent accepter qu’un anonyme ait le privilège de croiser le « roi des arènes », alors que la marge de potentiels adversaires ne manque pas pour ce dernier. Et devant le désintérêt que risque de susciter Rocky Balbo auprès des annonceurs pas enclin de jumeler leur produit avec un label qui ne mobilise pas, le promoteur tente de jouer au plus malin. Il essaye de faire croire que le « Suisse » est dans ses plans, alors qu’en réalité, il ne vise que Bombardier. Le seul adversaire capable de faire digérer l’échappée d’Eumeu Sène vers Gaston pour un combat contre Yékini.
Alors les partenaires leaders d’Aziz Ndiaye avaient ciblé le leader de Ty Shinger pour une revanche avec Balla Gaye n°2.
Ayant compris la stratégie du promoteur, le camp du Mbourois est resté constant dans sa position. Pape Dia semble le confirmer «Aziz veut bien ce combat. Nous avons également cette volonté. Notre position reste inchangée. C’est un combat qui demande le respect de certaines conditions. Nous ne demandons que ce qui est raisonnable. Il lui suffit de faire un effort pour qu’on s’entende. D’ailleurs on n’en n’était pas loin».
En tout le temps presse pour Aziz Ndiaye. Outre les lenteurs dans la promotion de Modou Lô-Eumeu Sène qu’il envisage d’organiser le 1er janvier, soit dans un mois, il a lourde tâche de trouver, avant cette date, un adversaire à Balla Gaye n°2. Histoire bien faire la promotion de l’événement et d’épater les annonceurs.
Waa Sports
En fait, si Aziz Ndiaye a décidé de revenir sur la table des négociations avec le B52, c’est parce qu’il est coincé à son propre piège. La piste Rocky Balbao, ce sénégalais établi en Suisse, qu’il croyait innovante, pour payer à Bombardier son intransigeance, et gagner en audience auprès de l’opinion, dans sa politique d’innover la lutte, n’a pas prospéré. La quasi-totalité des acteurs la considère comme une « farce ». Ils ne peuvent accepter qu’un anonyme ait le privilège de croiser le « roi des arènes », alors que la marge de potentiels adversaires ne manque pas pour ce dernier. Et devant le désintérêt que risque de susciter Rocky Balbo auprès des annonceurs pas enclin de jumeler leur produit avec un label qui ne mobilise pas, le promoteur tente de jouer au plus malin. Il essaye de faire croire que le « Suisse » est dans ses plans, alors qu’en réalité, il ne vise que Bombardier. Le seul adversaire capable de faire digérer l’échappée d’Eumeu Sène vers Gaston pour un combat contre Yékini.
Alors les partenaires leaders d’Aziz Ndiaye avaient ciblé le leader de Ty Shinger pour une revanche avec Balla Gaye n°2.
Ayant compris la stratégie du promoteur, le camp du Mbourois est resté constant dans sa position. Pape Dia semble le confirmer «Aziz veut bien ce combat. Nous avons également cette volonté. Notre position reste inchangée. C’est un combat qui demande le respect de certaines conditions. Nous ne demandons que ce qui est raisonnable. Il lui suffit de faire un effort pour qu’on s’entende. D’ailleurs on n’en n’était pas loin».
En tout le temps presse pour Aziz Ndiaye. Outre les lenteurs dans la promotion de Modou Lô-Eumeu Sène qu’il envisage d’organiser le 1er janvier, soit dans un mois, il a lourde tâche de trouver, avant cette date, un adversaire à Balla Gaye n°2. Histoire bien faire la promotion de l’événement et d’épater les annonceurs.
Waa Sports