La milliardaire avait investit cette somme dans la société d'audiovisuel de Stéphane Courbit, mis en examen pour "escroquerie" et "recel d'abus de faiblesse" dans l'affaire Bettencourt.
C'est un accord à l'amiable qui a été conclu entre l'un des prévenus du procès Bettencourt qui débute lundi à Bordeaux et la milliardaire et la famille de Liliane Bettencourt. Un accord de restitution de fonds est intervenu entre Stéphane Courbit, et la famille Bettencourt,, aboutissant à un retrait de la constitution de partie civile de celle-ci contre l'entrepreneur audiovisuel, indiquent vendredi 23 janvier des sources concordantes.
L'accord, survenu après de longues semaines de négociations, porte sur la restitution en deux temps des quelque 143,7 millions d'euros (plus des intérêts), que Liliane Bettencourt avait investis dans le groupe de l'entrepreneur audiovisuel, dans des conditions controversées auxquelles s'est intéressée la justice, précise une source proche du dossier. Cet investissement dans la société Lov Group Industrie de Stéphane Courbit avait été réalisé en deux fois, en décembre 2010 puis au printemps 2011, par Liliane Bettencourt, qui, selon les experts, était déjà affaiblie psychologiquement à cette époque.
Un "acte de paix"
Au terme de ce "protocole transactionnel", la famille Bettencourt et Stéphane Courbit "ont mis un terme au différend qui les opposait, suite à l'investissement réalisé de Liliane Bettencourt dans le groupe", et l'héritière de L'Oréal "sort intégralement du capital de Lov Group Industrie", indiquent dans un communiqué conjoint les deux parties. En conséquence de cet accord, "nous retirons notre constitution de partie civile" contre Stéphane Courbit et "nous informerons le tribunal dès lundi de la réalisation de cet accord", précise Me Benoit Ducos-Ader, l'un des avocats bordelais de la milliardaire.
Cet "acte de paix" juridique entre les Bettencourt et Stéphane Courbit ne change toutefois rien à ce stade à l'action publique et aux poursuites contre l'homme d'affaires, qui comparaîtra à partir de lundi à Bordeaux pour abus de faiblesse. Stéphane Courbit est l'un des dix prévenus jugés à partir de lundi, et pour cinq semaines, devant le Tribunal correctionnel de Bordeaux dans le principal volet de l'affaire Bettencourt portant sur de présumés abus de faiblesses aux dépens de la milliardaire.
C'est un accord à l'amiable qui a été conclu entre l'un des prévenus du procès Bettencourt qui débute lundi à Bordeaux et la milliardaire et la famille de Liliane Bettencourt. Un accord de restitution de fonds est intervenu entre Stéphane Courbit, et la famille Bettencourt,, aboutissant à un retrait de la constitution de partie civile de celle-ci contre l'entrepreneur audiovisuel, indiquent vendredi 23 janvier des sources concordantes.
L'accord, survenu après de longues semaines de négociations, porte sur la restitution en deux temps des quelque 143,7 millions d'euros (plus des intérêts), que Liliane Bettencourt avait investis dans le groupe de l'entrepreneur audiovisuel, dans des conditions controversées auxquelles s'est intéressée la justice, précise une source proche du dossier. Cet investissement dans la société Lov Group Industrie de Stéphane Courbit avait été réalisé en deux fois, en décembre 2010 puis au printemps 2011, par Liliane Bettencourt, qui, selon les experts, était déjà affaiblie psychologiquement à cette époque.
Un "acte de paix"
Au terme de ce "protocole transactionnel", la famille Bettencourt et Stéphane Courbit "ont mis un terme au différend qui les opposait, suite à l'investissement réalisé de Liliane Bettencourt dans le groupe", et l'héritière de L'Oréal "sort intégralement du capital de Lov Group Industrie", indiquent dans un communiqué conjoint les deux parties. En conséquence de cet accord, "nous retirons notre constitution de partie civile" contre Stéphane Courbit et "nous informerons le tribunal dès lundi de la réalisation de cet accord", précise Me Benoit Ducos-Ader, l'un des avocats bordelais de la milliardaire.
Cet "acte de paix" juridique entre les Bettencourt et Stéphane Courbit ne change toutefois rien à ce stade à l'action publique et aux poursuites contre l'homme d'affaires, qui comparaîtra à partir de lundi à Bordeaux pour abus de faiblesse. Stéphane Courbit est l'un des dix prévenus jugés à partir de lundi, et pour cinq semaines, devant le Tribunal correctionnel de Bordeaux dans le principal volet de l'affaire Bettencourt portant sur de présumés abus de faiblesses aux dépens de la milliardaire.