L’avocat général a demandé à la Cour de revoir à la baisse, les trois années de prison infligées à Cheikh Yérim Seck. Reconnaissant que le journaliste serait certes coupable des faits de viol, il a, toutefois, plaidé dans le sens d’un allègement de la peine. «Cela ne me gênerait pas si la peine est rabaissée», a conclu Djibril Bâ.
Pour les avocats du journaliste, le jugement de première instance doit être tout simplement infirmé. Cela, d’autant que leur client a réitéré ses dénégations. Comme en première instance, Cheikh Yérirm Seck a déclaré à la barre de la Cour d’appel n’avoir pas violé l’étudiante Ndèye Aïssata Tall.
«C’était un flirt qui a débouché sur une relation sexuelle. Ndèye Aïssata ne m’a pas dit qu’elle était vierge. C’est lorsque je l’ai pénétrée profondément qu’elle a crié», s’est-il défendu.
Confortée par les dénégations du prévenu, la défense a estimé que le délit de viol n’est pas établi. «En viol, il n’y a pas de préliminaire», ont-ils argué. Aussi, ont-ils demandé que le certificat médical soit écarté du fait qu’il est mal rédigé et comporte des irrégularités.
Fort de ces arguments, ils ont plaidé la relaxe pure et simple ou à défaut, la relaxe au bénéfice du doute. Au plus, l’un d’eux Me Issa Diop a demandé une disqualification des faits en blessure involontaire.
Pour les avocats de la partie civile, Cheikh Yérim Seck est plus que coupable. C’est pourquoi, ils ont demandé à la Cour de confirmer le premier jugement. Certains d’entre eux ont même demandé que la peine soit durcie, tout comme les dommages et intérêts. Car, Me Borso Pouye a demandé que les trois millions infligés en première instance, soient ramenés à 100 millions de francs Cfa. Délibéré le 22 mars prochain
Pour les avocats du journaliste, le jugement de première instance doit être tout simplement infirmé. Cela, d’autant que leur client a réitéré ses dénégations. Comme en première instance, Cheikh Yérirm Seck a déclaré à la barre de la Cour d’appel n’avoir pas violé l’étudiante Ndèye Aïssata Tall.
«C’était un flirt qui a débouché sur une relation sexuelle. Ndèye Aïssata ne m’a pas dit qu’elle était vierge. C’est lorsque je l’ai pénétrée profondément qu’elle a crié», s’est-il défendu.
Confortée par les dénégations du prévenu, la défense a estimé que le délit de viol n’est pas établi. «En viol, il n’y a pas de préliminaire», ont-ils argué. Aussi, ont-ils demandé que le certificat médical soit écarté du fait qu’il est mal rédigé et comporte des irrégularités.
Fort de ces arguments, ils ont plaidé la relaxe pure et simple ou à défaut, la relaxe au bénéfice du doute. Au plus, l’un d’eux Me Issa Diop a demandé une disqualification des faits en blessure involontaire.
Pour les avocats de la partie civile, Cheikh Yérim Seck est plus que coupable. C’est pourquoi, ils ont demandé à la Cour de confirmer le premier jugement. Certains d’entre eux ont même demandé que la peine soit durcie, tout comme les dommages et intérêts. Car, Me Borso Pouye a demandé que les trois millions infligés en première instance, soient ramenés à 100 millions de francs Cfa. Délibéré le 22 mars prochain