Ce qui lui a été accordé par le juge. Sur ce, l’ancien directeur de Dakar Dem Dikk explique :
«Vous constaterez également que le 8 janvier dernier, contre toute attente, ce dernier organise une conférence de presse, improvisée sous la dictée politicienne des faucons du Palais, pour venir dire non seulement il n'y a pas de blocage de mes indemnités mais ils ont reconnu la dette. Ils l'ont dit dans la conférence qu'ils me doivent 90 millions. L'aveu est la mère des preuves. Il s’est passé quelque chose car je suis sorti pour remettre ce dernier à sa place, juridiquement et avec des preuves.
Depuis cette date, vous ne l’avez plus vu. Le 20 janvier, il m’adresse un courrier disant qu’au cours d’une réunion, à laquelle avait pris part le président du Conseil d’administration et le ministre Mansour Faye, Maham Diallo n’aurait pas reconnu le document portant sa signature.
C’est le directeur général qui le dit devant témoin ; comme quoi, c’est moi qui serais à l’origine d’un faux, pour me faire remettre des indemnités.
Ce qui est énorme dans un pays quoiqu’on puisse en arriver là. À la politique politicienne et surtout à la manipulation, parce qu’uniquement, j’ai exercé ma liberté d’opinion et d’expression...», s’est expliqué l’avocat, qui estime que «la main de Macky Sall est dans ce dossier. Il me trouvera sur son chemin», avertit-il.
De l’avis de l’ancien Directeur général de la société de transport Dakar Dem Dikk, cette affaire est l’œuvre du président de la République, Macky Sall qui, selon Me Moussa Diop, donne des ordres au président du Conseil d’administration, Maham Diallo.
L’avocat n’a pas manqué de remercier certains administrateurs qui, selon lui, ont refusé parce qu’ils ont subi une pression de revenir sur leur décision, en disant que celle-ci n’a jamais été prise lors d’une réunion.
«Ils ont refusé de suivre les politiciens sous la dictée. Le dossier est purement politique et je vais engager cette bataille», a averti Me Moussa Diop. Celui-ci a mis en garde son successeur : «Personne ne sait vivre pas dans le mensonge, surtout celui organisé. Pour être un bon menteur, il faut avoir une bonne mémoire. Ce n’est pas le cas de l’actuel directeur général de Dakar Dem Dikk malheureusement. Je ne me suis jamais laissé faire et j’irai jusqu’au bout. J’avais dit, sur un plateau télévisé, que quiconque m’attaque, je répliquerai et je me défendrai», dira en guise de conclusion, Me Moussa Diop.
Tribune
«Vous constaterez également que le 8 janvier dernier, contre toute attente, ce dernier organise une conférence de presse, improvisée sous la dictée politicienne des faucons du Palais, pour venir dire non seulement il n'y a pas de blocage de mes indemnités mais ils ont reconnu la dette. Ils l'ont dit dans la conférence qu'ils me doivent 90 millions. L'aveu est la mère des preuves. Il s’est passé quelque chose car je suis sorti pour remettre ce dernier à sa place, juridiquement et avec des preuves.
Depuis cette date, vous ne l’avez plus vu. Le 20 janvier, il m’adresse un courrier disant qu’au cours d’une réunion, à laquelle avait pris part le président du Conseil d’administration et le ministre Mansour Faye, Maham Diallo n’aurait pas reconnu le document portant sa signature.
C’est le directeur général qui le dit devant témoin ; comme quoi, c’est moi qui serais à l’origine d’un faux, pour me faire remettre des indemnités.
Ce qui est énorme dans un pays quoiqu’on puisse en arriver là. À la politique politicienne et surtout à la manipulation, parce qu’uniquement, j’ai exercé ma liberté d’opinion et d’expression...», s’est expliqué l’avocat, qui estime que «la main de Macky Sall est dans ce dossier. Il me trouvera sur son chemin», avertit-il.
De l’avis de l’ancien Directeur général de la société de transport Dakar Dem Dikk, cette affaire est l’œuvre du président de la République, Macky Sall qui, selon Me Moussa Diop, donne des ordres au président du Conseil d’administration, Maham Diallo.
L’avocat n’a pas manqué de remercier certains administrateurs qui, selon lui, ont refusé parce qu’ils ont subi une pression de revenir sur leur décision, en disant que celle-ci n’a jamais été prise lors d’une réunion.
«Ils ont refusé de suivre les politiciens sous la dictée. Le dossier est purement politique et je vais engager cette bataille», a averti Me Moussa Diop. Celui-ci a mis en garde son successeur : «Personne ne sait vivre pas dans le mensonge, surtout celui organisé. Pour être un bon menteur, il faut avoir une bonne mémoire. Ce n’est pas le cas de l’actuel directeur général de Dakar Dem Dikk malheureusement. Je ne me suis jamais laissé faire et j’irai jusqu’au bout. J’avais dit, sur un plateau télévisé, que quiconque m’attaque, je répliquerai et je me défendrai», dira en guise de conclusion, Me Moussa Diop.
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