Vous conviendrez avec moi que depuis que la justice a rendu son verdict dans cette affaire il y’a plus d’un an, le problème reste entier malgré la volonté des parties, des parlementaires et des populations de Pout et ses environs.
Je crois dur comme fer que la raison peut transcender une décision de justice et pour cela, les cadres et intellectuels de Pout doivent y jouer un grand rôle car, comme pour paraphraser Jean JAURES dans Discours de la jeunesse, «le courage ce n’est pas de laisser aux mains de la force la solution des conflits que la raison peut résoudre ».
Les populations de Pout et ses environs ne se contenteront point de la décision rendue par la justice sénégalaise car se contenter de cette décision est très peu ordinaire pour se justifier devant l’admirable principe de ce que Pout et ses environs veulent pour parler comme Nietzsche. Les populations de Pout et ses environs veulent une issue heureuse à cette situation qui n’a que trop duré et qui porte un sacré coup au droit légitime de ces milliers de jeunes de trouver un emploi décent en vue de réaliser la vie de leurs rêves.
Si la justice est le meilleur moyen pour résoudre les différends qui peuvent naître entre les personnes physiques ou morales, les maisons de justice n’auraient peut être pas leur raison d’être. Elles ont, rappelons le, cette magnifique et formidable vocation de régler des conflits sans que des tribunaux n’interviennent.
Justement, les cadres de Pout, à l’image de ces maisons de justice, doivent jouer pleinement leur rôle pour amener les deux parties à s’entendre.
Et c’est une opportunité pour moi de lancer un vibrant appel aux principaux concernés à se surpasser en plaçant les intérêts du Sénégal et plus spécifiquement ceux de Pout et ses environs au dessus de tout autre intérêt.
Je n’ai aucun doute que cet appel sera entendu car connaissant les deux parties dans la recherche du bien être des sénégalais.
Les familles religieuses investissent énormément d’argent dans la prise en charge de milliers de talibés compte non tenu des investissements réalisés dans les domaines des infrastructures sanitaires, scolaires, routières, entre autres. Ces efforts évalués se chiffreraient à plusieurs milliards de francs CFA.
De l’autre côté, la société Dangote, en choisissant le Sénégal et particulièrement Pout, contribue, au-delà de la logique de profit, à améliorer les conditions de vie des populations par la création d’emplois.
Ainsi, les familles religieuses et la société Dangote ont forcément et indubitablement un dénominateur commun ; celui de vouloir et de toujours créer un minimum de confort au profit des sénégalais.
En conséquence, la recherche de solution ne doit pas relever du chemin de croix. Et j’interpelle les cadres de Pout qui doivent jouer pleinement leur partition pour qu’enfin les jalons d’un véritable dialogue soient posés dans le but de trouver une solution définitive à cette situation qui ne profite à personne.
Ibrahima GAYE
Commissaire aux Enquêtes Economiques
gayeib@yahoo.fr
Je crois dur comme fer que la raison peut transcender une décision de justice et pour cela, les cadres et intellectuels de Pout doivent y jouer un grand rôle car, comme pour paraphraser Jean JAURES dans Discours de la jeunesse, «le courage ce n’est pas de laisser aux mains de la force la solution des conflits que la raison peut résoudre ».
Les populations de Pout et ses environs ne se contenteront point de la décision rendue par la justice sénégalaise car se contenter de cette décision est très peu ordinaire pour se justifier devant l’admirable principe de ce que Pout et ses environs veulent pour parler comme Nietzsche. Les populations de Pout et ses environs veulent une issue heureuse à cette situation qui n’a que trop duré et qui porte un sacré coup au droit légitime de ces milliers de jeunes de trouver un emploi décent en vue de réaliser la vie de leurs rêves.
Si la justice est le meilleur moyen pour résoudre les différends qui peuvent naître entre les personnes physiques ou morales, les maisons de justice n’auraient peut être pas leur raison d’être. Elles ont, rappelons le, cette magnifique et formidable vocation de régler des conflits sans que des tribunaux n’interviennent.
Justement, les cadres de Pout, à l’image de ces maisons de justice, doivent jouer pleinement leur rôle pour amener les deux parties à s’entendre.
Et c’est une opportunité pour moi de lancer un vibrant appel aux principaux concernés à se surpasser en plaçant les intérêts du Sénégal et plus spécifiquement ceux de Pout et ses environs au dessus de tout autre intérêt.
Je n’ai aucun doute que cet appel sera entendu car connaissant les deux parties dans la recherche du bien être des sénégalais.
Les familles religieuses investissent énormément d’argent dans la prise en charge de milliers de talibés compte non tenu des investissements réalisés dans les domaines des infrastructures sanitaires, scolaires, routières, entre autres. Ces efforts évalués se chiffreraient à plusieurs milliards de francs CFA.
De l’autre côté, la société Dangote, en choisissant le Sénégal et particulièrement Pout, contribue, au-delà de la logique de profit, à améliorer les conditions de vie des populations par la création d’emplois.
Ainsi, les familles religieuses et la société Dangote ont forcément et indubitablement un dénominateur commun ; celui de vouloir et de toujours créer un minimum de confort au profit des sénégalais.
En conséquence, la recherche de solution ne doit pas relever du chemin de croix. Et j’interpelle les cadres de Pout qui doivent jouer pleinement leur partition pour qu’enfin les jalons d’un véritable dialogue soient posés dans le but de trouver une solution définitive à cette situation qui ne profite à personne.
Ibrahima GAYE
Commissaire aux Enquêtes Economiques
gayeib@yahoo.fr