
L’enquête judiciaire menée au Sénégal contre l’homme d’affaires Doro Gaye, dans le cadre du dossier l’opposant à Zakiroulah Sow, est confrontée à un nouvel obstacle : l'absence prolongée du mis en cause, actuellement en France, où il séjourne depuis sa mise sous contrôle judiciaire.
Malgré une demande d’extradition formulée par le magistrat instructeur, la Cour d'appel de Paris a renvoyé l’examen de cette requête au 9 juillet prochain, souffle "Les Échos", repris par "Seneweb".
Le journal rappelle que le 26 mars dernier, les avocats de Doro Gaye ont déposé leurs écritures devant la juridiction française, demandant que leur client ne soit pas renvoyé au Sénégal, invoquant des irrégularités dans la révocation du contrôle judiciaire. Le Parquet général français, souhaitant répondre à ces écritures, a demandé un délai supplémentaire, ce qui a conduit au renvoi de l’affaire, souligne la même source.
Pendant ce temps, poursuit celle-ci, Doro Gaye demeure libre en Europe, en attendant l’audience décisive de juillet.
L’affaire remonte à une plainte déposée par l'homme d'affaires Zakiroulah Sow, qui accuse Doro Gaye de lui avoir extorqué 1,2 milliard de francs Cfa, sous prétexte de la vente d’un terrain situé sur le site de l’ancien Aéroport international Léopold Sédar Senghor (AILSS). Inculpé et placé sous mandat de dépôt, Doro Gaye a reconnu les faits et s’est engagé, via un protocole d’accord, à rembourser la somme par paiements mensuels.
Sur cette base, il avait obtenu une liberté provisoire assortie d’un contrôle judiciaire, dont la violation pouvait entraîner une réincarcération. Mais selon ses avocats, le contrôle judiciaire a été révoqué sans justification claire, suite à un signalement de la partie civile, affirmant que Doro Gaye n’avait pas respecté ses engagements de paiement.
La défense conteste cette révocation, arguant qu’aucune des conditions du contrôle judiciaire ne prévoyait explicitement une révocation en cas de non-paiement. Un recours en annulation de cette ordonnance est d’ailleurs toujours en cours. Pendant ce temps, le magistrat sénégalais a réclamé l’extradition du mis en cause, rembobine "Les Échos".
Malgré une demande d’extradition formulée par le magistrat instructeur, la Cour d'appel de Paris a renvoyé l’examen de cette requête au 9 juillet prochain, souffle "Les Échos", repris par "Seneweb".
Le journal rappelle que le 26 mars dernier, les avocats de Doro Gaye ont déposé leurs écritures devant la juridiction française, demandant que leur client ne soit pas renvoyé au Sénégal, invoquant des irrégularités dans la révocation du contrôle judiciaire. Le Parquet général français, souhaitant répondre à ces écritures, a demandé un délai supplémentaire, ce qui a conduit au renvoi de l’affaire, souligne la même source.
Pendant ce temps, poursuit celle-ci, Doro Gaye demeure libre en Europe, en attendant l’audience décisive de juillet.
L’affaire remonte à une plainte déposée par l'homme d'affaires Zakiroulah Sow, qui accuse Doro Gaye de lui avoir extorqué 1,2 milliard de francs Cfa, sous prétexte de la vente d’un terrain situé sur le site de l’ancien Aéroport international Léopold Sédar Senghor (AILSS). Inculpé et placé sous mandat de dépôt, Doro Gaye a reconnu les faits et s’est engagé, via un protocole d’accord, à rembourser la somme par paiements mensuels.
Sur cette base, il avait obtenu une liberté provisoire assortie d’un contrôle judiciaire, dont la violation pouvait entraîner une réincarcération. Mais selon ses avocats, le contrôle judiciaire a été révoqué sans justification claire, suite à un signalement de la partie civile, affirmant que Doro Gaye n’avait pas respecté ses engagements de paiement.
La défense conteste cette révocation, arguant qu’aucune des conditions du contrôle judiciaire ne prévoyait explicitement une révocation en cas de non-paiement. Un recours en annulation de cette ordonnance est d’ailleurs toujours en cours. Pendant ce temps, le magistrat sénégalais a réclamé l’extradition du mis en cause, rembobine "Les Échos".