Le nom Serigne Diop revient encore dans l’attribution de la deuxième licence de téléphonie mobile à Sentel dont le pouvoir libéral accuse le régime socialiste d’avoir bradé la licence 50 millions de FCFA. Ainsi après la sortie du chargé des élections du Parti Socialiste Serigne Mbaye Thiam qui indiquait sur le site yolele.com que « Me Wade peut demander Serigne Diop comment la deuxième licence de téléphonie mobile a été bradée », c’est autour de Cheikh Tidiane Ndiongue de charger à nouveau le ministère de la communication de l’époque même si Serigne Diop soutient qu’il ne s’occupait pas des aspects financiers, car la commission d’évaluation des offres présidée par le représentant du ministère de l’économie. Ainsi après avoir précisé qu’il n’a jamais été membre de la commission nationale de dépouillement de l’attribution de la deuxième licence de téléphonie mobile à Sentel, Cheikh Tidiane Ndiongue a tenu à rappeler que la commission comprenait 14 membres dont 7 représentants du ministère de la communication, un représentant de la présidence de la République, un représentant de la primature, 2 représentants du ministère de la communication, un représentant des forces armées 1 du ministère de l’industrie et 1 de la Rts. Toujours précise l’ingénieur en télécommunication, la présidence de cette commission nationale de dépouillement était assuré par le directeur de cabinet du ministre de la communication de l’époque le médiateur actuel de la République Serigne Diop.
Lorsque Serigne Diop poursuit Cheikh Tidiane Ndiongue, « m’a informé le 3 mars 1998 de la décision du gouvernement de lancer cet appel d’offres, je lui avait, écrit une lettre le 4 mars pour lui fait savoir que le dossier n’est pas complet qu’il y a des précautions supplémentaires à prendre surtout régler le problème des interconnexions parce qu’il fallait un catalogue pour faire une offre sérieuse d’interconnexion qui porte une offre technique et tarifaire qui devrait être proposée par la Sonatel à l’époque et validée par le directeur de la réglementation des postes et télécommunications ». L’ingénieur en télécommunications ne s’est pas arrêté là. « Lorsque vous regardez la convention de concession qui est au nom de l’Etat du Sénégal avec Sentel Gsm vous verrez le nom du ministre de la communication Serigne Diop », a-t-il ajouté.
La durée des négociations aussi semble irriter, l’ingénieur en télécommunication, Cheikh Tidiane Diongue. « La longueur des négociations semble être à l’origine de cette suspicion », a d’emblée précisé Cheikh Tidiane Diongue. Qui ajoute « Dans ce secteur, pour gagner en efficacité il faut aller vite et dans la transparence ».
Cheikh Tidiane Ndiongue a aussi laissé entendre que les arguments de Millicom ne sont pas à négliger. Car à l’en croire, « le prix de la licence de Sudatel qui évolue dans le mobile, le fixe et l’internet, ne peut pas être une référence pour fixer le prix de la licence de Tigo qui n’évolue que dans le mobile ».
Biram NDIAYE
Source Sununews.com
Lorsque Serigne Diop poursuit Cheikh Tidiane Ndiongue, « m’a informé le 3 mars 1998 de la décision du gouvernement de lancer cet appel d’offres, je lui avait, écrit une lettre le 4 mars pour lui fait savoir que le dossier n’est pas complet qu’il y a des précautions supplémentaires à prendre surtout régler le problème des interconnexions parce qu’il fallait un catalogue pour faire une offre sérieuse d’interconnexion qui porte une offre technique et tarifaire qui devrait être proposée par la Sonatel à l’époque et validée par le directeur de la réglementation des postes et télécommunications ». L’ingénieur en télécommunications ne s’est pas arrêté là. « Lorsque vous regardez la convention de concession qui est au nom de l’Etat du Sénégal avec Sentel Gsm vous verrez le nom du ministre de la communication Serigne Diop », a-t-il ajouté.
La durée des négociations aussi semble irriter, l’ingénieur en télécommunication, Cheikh Tidiane Diongue. « La longueur des négociations semble être à l’origine de cette suspicion », a d’emblée précisé Cheikh Tidiane Diongue. Qui ajoute « Dans ce secteur, pour gagner en efficacité il faut aller vite et dans la transparence ».
Cheikh Tidiane Ndiongue a aussi laissé entendre que les arguments de Millicom ne sont pas à négliger. Car à l’en croire, « le prix de la licence de Sudatel qui évolue dans le mobile, le fixe et l’internet, ne peut pas être une référence pour fixer le prix de la licence de Tigo qui n’évolue que dans le mobile ».
Biram NDIAYE
Source Sununews.com