Sakory Kâ dit Papis Kâ, frère de Doudou Kâ, a été arrêté hier par la DIC, selon plusieurs sites, notamment "Kéwoulo". D’ailleurs, selon ce dernier site, les policiers qui avaient déjà arrêté Sakory Kâ dit Papis dans la matinée, ont procédé, hier en début d’après-midi, à la perquisition du domicile familial de Doudou Kâ, à Nord Foire. Selon des sources judiciaires, Sakory Kâ travaillait avec Jérôme Bandiacky, qui lui fournissait “des gros bras” pour assurer la sécurité des domiciles de l’ancien ministre de l’Economie de Macky Sall.
A en croire des sources proches de l’ancien régime, Papis Kâ qui était aussi l’homme de confiance de son grand frère, avait à de nombreuses reprises, fait appel aux services de Jérôme Bandiacky alias "Sniper", avant de couper les ponts avant lui. Certainement frustré par le fait que les frères Kâ l’aient «abandonné» et décidé de travailler directement avec ses hommes, Sniper avait, à de nombreuses reprises, fait savoir que Doudou Kâ et son clan l’avaient lâché. “Ils m’ont trahi”, répétait-il à qui voulait l’entendre. Et c’est ce que Jérôme Bandiacky, arrêté par la DIC et qui a été trouvé porteur d’une arme sans autorisation, a fait savoir aux policiers. “C’est Sakory Kâ, le jeune frère de Doudou Kâ, qui m'a vendu un fusil mitrailleur”, a-t-il également ajouté.
Forts de cette information, les policiers qui se sont rendus au domicile des Kâ, dans le cadre d’une perquisition, ont saisi « un fusil» et «une arme de poing. » Selon les premières informations en possession de "Kéwoulo", « ces armes avaient appartenu au père de Doudou Kâ, un ancien commandant de Douanes décédé depuis plus d’un an. Et au décès du patriarche, les armes ont été enregistrées au nom de son fils, Papis, resté comme le gardien du temple ». Le jeune homme passera sa première nuit en garde-à-vue dans les locaux de la DIC.
Le Témoin
A en croire des sources proches de l’ancien régime, Papis Kâ qui était aussi l’homme de confiance de son grand frère, avait à de nombreuses reprises, fait appel aux services de Jérôme Bandiacky alias "Sniper", avant de couper les ponts avant lui. Certainement frustré par le fait que les frères Kâ l’aient «abandonné» et décidé de travailler directement avec ses hommes, Sniper avait, à de nombreuses reprises, fait savoir que Doudou Kâ et son clan l’avaient lâché. “Ils m’ont trahi”, répétait-il à qui voulait l’entendre. Et c’est ce que Jérôme Bandiacky, arrêté par la DIC et qui a été trouvé porteur d’une arme sans autorisation, a fait savoir aux policiers. “C’est Sakory Kâ, le jeune frère de Doudou Kâ, qui m'a vendu un fusil mitrailleur”, a-t-il également ajouté.
Forts de cette information, les policiers qui se sont rendus au domicile des Kâ, dans le cadre d’une perquisition, ont saisi « un fusil» et «une arme de poing. » Selon les premières informations en possession de "Kéwoulo", « ces armes avaient appartenu au père de Doudou Kâ, un ancien commandant de Douanes décédé depuis plus d’un an. Et au décès du patriarche, les armes ont été enregistrées au nom de son fils, Papis, resté comme le gardien du temple ». Le jeune homme passera sa première nuit en garde-à-vue dans les locaux de la DIC.
Le Témoin