Selon l’accusation, plusieurs documents dont certains estampillés secret défense de la Gendarmerie, avait été retrouvés chez le prévenu. Seulement les multiples infractions comme l’atteinte à la sûreté de l’Etat qui planaient sur la tête du prévenu se sont tassées. Il ne reste que les délits de faux en écriture privée, tentative d’escroquerie et usurpation de fonction. Quoi qu’il en soit, beaucoup de non-dits ont marqué ce procès durant lequel plusieurs noms de gradés de la gendarmerie ont circulé. Plusieurs questions sont restées en suspens parce que le prévenu s’est dit gêné de parler de certaines choses.
Toutefois, la seule chose sur laquelle il n’a pas épilogué, ce sont les cartes de visite qu’il a confectionnées avec comme fonction : conseiller spécial. Un acte qu’il justifie par le fait que le chef de l’Etat lui avait donné l’assurance qu’il allait le nommer à ce poste. Dans tous les cas, au moment où le parquet crie à une certaine "légèreté" et "errements" à un haut niveau, la défense minimise et parle de complot. Pour les conseils de Joël Nkouemo, leur client, qui était proche du Général Jean Baptiste Tine, est victime de la succession qui faisait rage au sein du Haut Commandement de la Gendarmerie, à la veille du départ du Général Abdoulaye Fall, rapporte le journal EnQuête.
Toutefois, la seule chose sur laquelle il n’a pas épilogué, ce sont les cartes de visite qu’il a confectionnées avec comme fonction : conseiller spécial. Un acte qu’il justifie par le fait que le chef de l’Etat lui avait donné l’assurance qu’il allait le nommer à ce poste. Dans tous les cas, au moment où le parquet crie à une certaine "légèreté" et "errements" à un haut niveau, la défense minimise et parle de complot. Pour les conseils de Joël Nkouemo, leur client, qui était proche du Général Jean Baptiste Tine, est victime de la succession qui faisait rage au sein du Haut Commandement de la Gendarmerie, à la veille du départ du Général Abdoulaye Fall, rapporte le journal EnQuête.